Présentation
Vohl Del'Yant

Race et ethnie :Humain d’Ynorie
Traits raciaux :
- Veille prolongée : Le personnage peut, au besoin, pousser son corps à rester réveillé et aux aguets, relativement vigilant encore, pour un période allant jusqu'à 4 jours sans sommeil, avec risque de visions voire même d'halucinations, tout de même. Il subit néanmoins un fort contre-coup de fatigue après.
- Veille prolongée améliorée : Le personnage peut, au besoin, pousser son corps à rester réveillé et relativement en forme, lui permettant même de combattre, de courir, de nager ... pour une période allant jusqu'à 4 jours sans sommeil. Il subit néanmoins un fort contre-coup de fatigue après.
Condition : Nécessite Veille prolongée
Description physique et de la personnalité :
Vohl est un humain d’Ynorie que la nature a doté d’une composition plutôt robuste. L’éducation rigoureuse auquel son oncle l’a soumis dès l’enfance l’a doté d’un corps musculeux, d’une hygiène de vie plus que convenable et d’une révérence profonde envers les valeurs de respect de soi. Par des entrainements matinaux réguliers, héritage des traditions paternelles, Vohl s’est approprié chaque centimètre carré de son mètre 85, et en use avec une dextérité surprenante compte tenu de sa largeur d’épaule et de ses 90 kilos.
L’admiration que Vohl voue à son oncle, et la carrière militaire de son père, ont beaucoup influencé la façon de penser de Vohl. Tandis que Rehnger, son oncle, lui inculquait le respect sacré de la famille, l’environnement martial a forgé au-dessus de ce respect un contrôle d’acier sur ses actions et ses réactions, tandis que l’initiation aux stratégies militaires et politiques a laissé croître un esprit affuté, qui cherche les opportunités. Vohl n’a qu’une parole, et une volonté de fer : lorsque les embûches se dressent devant lui, la motivation de Vohl s’accroit.
Néanmoins, cette tendance à l’obstination ne le transforme pas en être monomaniaque : il sait attendre le bon moment…lorsque la chance lui sourit si besoin est ! En revanche, s’il sait se montrer patient, il se montre intransigeant lorsqu’il faut respecter un délai. En embrassant lui aussi une carrière militaire dont le début fut brillant, il a appris à enfermer ses sentiments, ses pensées et ses réflexions derrière ses yeux d’un noir profond comme l’onix.
L’admiration que Vohl voue à son oncle, et la carrière militaire de son père, ont beaucoup influencé la façon de penser de Vohl. Tandis que Rehnger, son oncle, lui inculquait le respect sacré de la famille, l’environnement martial a forgé au-dessus de ce respect un contrôle d’acier sur ses actions et ses réactions, tandis que l’initiation aux stratégies militaires et politiques a laissé croître un esprit affuté, qui cherche les opportunités. Vohl n’a qu’une parole, et une volonté de fer : lorsque les embûches se dressent devant lui, la motivation de Vohl s’accroit.
Néanmoins, cette tendance à l’obstination ne le transforme pas en être monomaniaque : il sait attendre le bon moment…lorsque la chance lui sourit si besoin est ! En revanche, s’il sait se montrer patient, il se montre intransigeant lorsqu’il faut respecter un délai. En embrassant lui aussi une carrière militaire dont le début fut brillant, il a appris à enfermer ses sentiments, ses pensées et ses réflexions derrière ses yeux d’un noir profond comme l’onix.
Biographie générale :
L’histoire de sa vie commençait mal : une mère qui meurt en couches alors qu’elle donne naissance à une petite sœur fragile, tandis que Vohl n’a que deux ans…et un père qui doit partir au front pour participer à la guerre contre les Orques du Nord.
L’Ynorie n’est pas une nation où les enfants seuls ont de grandes chances de survie. Heureusement, leur père les confie à son beau-frère, qui est un ancien général : après une grave blessure aux hanches, Rehnger fut placé à l’écart des zones de combats, et pu ainsi mettre son brillant esprit de tacticien au service des éminences grises de la cité.
Rapidement instruit aussi bien sur les techniques politiques que sur celles militaires par les bons offices de son oncle, Vohl fait preuve d’un esprit non moins brillant que celui de son oncle. Grâce à son statut et à ses connaissances, Rehnger le fait placer dans une école où il apprendra à lire, écrire, compter. Peu intéressé par l’Histoire et la géographie, Vohl retient toutefois les leçons du passé, à la façon détachée d’un analyste : différents facteurs, différentes ressources, une série d’évènements, un résultat. Son talent de simulation des situations n’est découvert que relativement tard, lorsqu’il rejoint son père au front.
Le jeune homme, agé de 18 ans lorsqu’il s’engage dans l’armée, retrouve son père comme supérieur hierarchique. C’est l’occasion de tisser des liens qui n’ont pu s’approfondir lors des brefs retours à la maison de son père pendant ses permissions. Presque 3 ans s’écoulent et les liens familliaux ne cessent de se renforcer. Durant ces trois ans, le père et le fils partagent presque toutes leurs expériences : renforcer les défenses des avant-postes, maintenir les lignes de cargaisons qui acheminent la nourriture et les armes, organiser les assauts, établir les itinéraires des patrouilles… la connaissance des réalités du terrain sont un nouvel enseignement que son père lui permet d’accumuler en plus du savoir théorique qu’il a déjà acquis. Dans le même temps, les escarmouches et les guérillas sont une mine d’or pour qu’une jeune recrue fasse ses armes.
La vie, toutefois, réserve des surprises…lors d’un assaut sur un avant-poste, le commandant de la garnison est atteint d’une flèche perdue. Evacué, la blessure s’infecte néanmoins et le commandant finit par rendre son dernier soupir. Dans la même attaque, le père de Vohl est malencontreusement pris pour un ennemi dans la confusion du combat, comme deux autres successeurs potentiels du commandant. C’est le chef de patrouille du bataillon de Vohl qui est désigné pour prendre la place de commandant. Vohl, à qui son oncle fait régulièrement le bilan sur la balance du pouvoir à Ynorie et sur son instabilité permanente, n’ignore rien du mariage qui s’arrangeait entre le nouveau commandant et la fille d’une des familles en pleine ascension politique.
Vohl connaît le jeu politique…mais son éducation l’a formé à loyauté familiale plus qu’à la loyauté à la patrie, et au respect de la vie plus qu’aux carnages sanglants… déchiré entre la vendetta et la soumission à l’autorité, Vohl prend la fuite, désertant son poste et s’exposant aux sévères punitions du royaume en guerre. Après s’être caché durant de longues semaines dans les batiments publiques des quartiers riches de la ville d'Oranan, Vohl prend sa décision. Le voilà lancé sur une vendetta qui lui prendra peut-être des années, à vivre dans l’ombre, à se cacher, à fuir dans d'autres villes et à tuer…pour enfin retrouver la paix.
(Et débarasser pour son bien la nation d’Ynorie des rats qui en arpentent les rues même de jour…)
Une vie s’éteint…un destin se forge…
(La Roue a été mise en mouvement, ne croyez pas pouvoir l’arrêter aussi facilement que vous l’avez lancée…goutez à l’ironie du destin…le mouvement maintien la vie, mais il la prend aussi ! La liberté permet ce mouvement ! Que Rana me soit favorable, je vais faire en sorte que la Roue tourne une fois de plus !)
L’Ynorie n’est pas une nation où les enfants seuls ont de grandes chances de survie. Heureusement, leur père les confie à son beau-frère, qui est un ancien général : après une grave blessure aux hanches, Rehnger fut placé à l’écart des zones de combats, et pu ainsi mettre son brillant esprit de tacticien au service des éminences grises de la cité.
Rapidement instruit aussi bien sur les techniques politiques que sur celles militaires par les bons offices de son oncle, Vohl fait preuve d’un esprit non moins brillant que celui de son oncle. Grâce à son statut et à ses connaissances, Rehnger le fait placer dans une école où il apprendra à lire, écrire, compter. Peu intéressé par l’Histoire et la géographie, Vohl retient toutefois les leçons du passé, à la façon détachée d’un analyste : différents facteurs, différentes ressources, une série d’évènements, un résultat. Son talent de simulation des situations n’est découvert que relativement tard, lorsqu’il rejoint son père au front.
Le jeune homme, agé de 18 ans lorsqu’il s’engage dans l’armée, retrouve son père comme supérieur hierarchique. C’est l’occasion de tisser des liens qui n’ont pu s’approfondir lors des brefs retours à la maison de son père pendant ses permissions. Presque 3 ans s’écoulent et les liens familliaux ne cessent de se renforcer. Durant ces trois ans, le père et le fils partagent presque toutes leurs expériences : renforcer les défenses des avant-postes, maintenir les lignes de cargaisons qui acheminent la nourriture et les armes, organiser les assauts, établir les itinéraires des patrouilles… la connaissance des réalités du terrain sont un nouvel enseignement que son père lui permet d’accumuler en plus du savoir théorique qu’il a déjà acquis. Dans le même temps, les escarmouches et les guérillas sont une mine d’or pour qu’une jeune recrue fasse ses armes.
La vie, toutefois, réserve des surprises…lors d’un assaut sur un avant-poste, le commandant de la garnison est atteint d’une flèche perdue. Evacué, la blessure s’infecte néanmoins et le commandant finit par rendre son dernier soupir. Dans la même attaque, le père de Vohl est malencontreusement pris pour un ennemi dans la confusion du combat, comme deux autres successeurs potentiels du commandant. C’est le chef de patrouille du bataillon de Vohl qui est désigné pour prendre la place de commandant. Vohl, à qui son oncle fait régulièrement le bilan sur la balance du pouvoir à Ynorie et sur son instabilité permanente, n’ignore rien du mariage qui s’arrangeait entre le nouveau commandant et la fille d’une des familles en pleine ascension politique.
Vohl connaît le jeu politique…mais son éducation l’a formé à loyauté familiale plus qu’à la loyauté à la patrie, et au respect de la vie plus qu’aux carnages sanglants… déchiré entre la vendetta et la soumission à l’autorité, Vohl prend la fuite, désertant son poste et s’exposant aux sévères punitions du royaume en guerre. Après s’être caché durant de longues semaines dans les batiments publiques des quartiers riches de la ville d'Oranan, Vohl prend sa décision. Le voilà lancé sur une vendetta qui lui prendra peut-être des années, à vivre dans l’ombre, à se cacher, à fuir dans d'autres villes et à tuer…pour enfin retrouver la paix.
(Et débarasser pour son bien la nation d’Ynorie des rats qui en arpentent les rues même de jour…)
Une vie s’éteint…un destin se forge…
(La Roue a été mise en mouvement, ne croyez pas pouvoir l’arrêter aussi facilement que vous l’avez lancée…goutez à l’ironie du destin…le mouvement maintien la vie, mais il la prend aussi ! La liberté permet ce mouvement ! Que Rana me soit favorable, je vais faire en sorte que la Roue tourne une fois de plus !)
Croyances :
Issu d'une famille noble et militaire, Vohl aurait pu n'hériter que d'un esprit cartésien, orienté vers l'ordre et le respect de la hiérarchie. Il a toutefois su forger sa propre conception du monde, et bien que restant lucide sur l'intérêt d'une situation stable, il rend davantage grâce aux changements, aux retournements de situations et à la liberté. Conformément à l'éducation religieuse qu'il a choisit de suivre avant de suivre la voie des armes, sa foi est très largement dirigée vers Rana, déesse du vent et du changement, de la liberté et de la non-destinée. Certains de ses précepteurs étaient notamment issus du culte de Rana. Ces précepteurs ont pu, en plus de son éducation, lui inculquer ainsi un certain savoir religieux.
La divinité teinte la plupart de ses décisions, et est pour lui bien plus qu'un être suprême : c'est à la fois son objectif et son espoir. Ses prières sont régulières bien que discrètes : il ne fait pas étalage de sa foi car il la considère comme naturelle et ne concernant en rien les autres. Ainsi, il n'entame que rarement d'oraisons ou de sermons concernant la Déesse ou ses valeurs; lorsqu'il le fait, c'est en tout cas avec un public ciblé. Les allusions subtiles à la déesse sont toutefois courantes dans son langage et sa façon de penser. Son adoration a fortement déteint sur sa petite soeur, Ellanor Del'Yant.
La divinité teinte la plupart de ses décisions, et est pour lui bien plus qu'un être suprême : c'est à la fois son objectif et son espoir. Ses prières sont régulières bien que discrètes : il ne fait pas étalage de sa foi car il la considère comme naturelle et ne concernant en rien les autres. Ainsi, il n'entame que rarement d'oraisons ou de sermons concernant la Déesse ou ses valeurs; lorsqu'il le fait, c'est en tout cas avec un public ciblé. Les allusions subtiles à la déesse sont toutefois courantes dans son langage et sa façon de penser. Son adoration a fortement déteint sur sa petite soeur, Ellanor Del'Yant.