Présentation
Ezak
Âge : 22 ans
Race et ethnie : Humain (Kendran/Ynorien)
Traits raciaux :
- Sommeil équipé : permet de se reposer aussi bien avec son équipement complet sur lui que sans. Permet de supprimer les malus de regain d'énergie lors d'un sommeil en armure.
- Résistance à l'alcool : Limite les effets nocifs des alcools, permet de tenir bien plus de verres sans être ivre et avant le coma éthylique.
Description physique et de la personnalité :
Ezak est un métis, on peut dire que le phénotype kendran est chez lui celui qui a pris le dessus. Il a la haute taille des humains de Kendra-Kâr. Il mesure près d’un mètre quatre-vingts. Il a aussi hérité de leur teint, une peau pâle qui porte les stigmates de ses combats. La plus visible est une tâche de brulure sur le côté droit de son cou, résultat d’une brulure plutôt sévère. Ses longs cheveux blonds, il les a aussi hérités de ses ancêtres kendrans. Quand il ne les attache pas en une queue de cheval, ils tombent souvent en quelques mèches négligés devant son regard. C’est d’ailleurs ce dernier qui trahit son sang ynorien. Ses yeux en amandes encadrent des iris d’un gris glacial. Fut-il un temps, ils n’étaient que le reflet de son dédain sur les autres mais ils transpirent d’une colère froide qui est prête à jaillir à tout moment. Il faut dire que malgré le masque de dédain qu’il s’amuse à porter lors de ses sorties publiques, ses yeux trahissent souvent mes sentiments. Bien sûr, comment passer sous silence sa prothèse bionique qui lui fait office de jambe gauche mais qu’il cache soigneusement sous ses bottes.
Ezak est un personnage fier de ses origines, bien que sa fibre kendranne soit plus développée que sa fibre Ynorienne. Terres sur lesquelles il a pourtant grandit. La faute à une mère absente qui n’a pas eu le loisir de lui transmettre toute sa culture et à une figure paternelle kendranne qu’il a adulé depuis sa plus tendre enfance. Il éprouve tout de même un doux sentiment pour sa terre natale et ses traditions qu’il a tenté de protéger lors de son passage forcé dans les rangs d’Omyre, mais son regard est irrémédiablement tourné vers Kendra-Kâr. Sans doute d’aucuns verraient là, les résultat d’un manque d’affection paternelle qu’il cherche à combler. Il faut dire aussi qu’il est fier de ses origines nobles et qu’il désir donner à son nom un prestige inégalé par ses ancêtres, croyant fermement qu’en tant que descendant, il est redevable envers ses aïeux et à ceux qui lui succèderont un jour. Ezak a beaucoup de colère en lui, ainsi, il n’est pas rare qu’il explose. Quand il s’adonne à son art face à un ennemi, il devient sauvage, presque animal, laissant déborder toute sa rage. Celle-ci, qui était diffuse, se concentre aujourd’hui presqu’exclusivement contre Omyre qu’il déteste par-dessus tout, voyant en elle une maladie à éradiquer de la surface de Nirtim. Il a également une haine viscérale pour les peaux vertes qu’il hérité de sa culture et de son éducation mais aussi pour les avoir fréquenté. Il juge sa culture et la leur incompatible et irréconciliable et pense qu’ils sont voués à se détruire.
Justement, de ses culture, il a hérité de l’orgueil des kendrans et de ses origines nobiliaires. Son port altier est évident, avec sa démarche fière, sa tête haute et son regard perçant qui semble juger tout ce sur quoi il se pose. Il ne laisse aucun doute quant à ses origines. C’est également un homme avec un fort franc parlé et il ne se gêne pas pour affirmer ses idées, fussent-elles clivantes. Il adore provoquer et sortir de leur zones de conforts ses interlocuteurs. D’ailleurs, il ne se gêne pas non plus pour dire à tout un chacun ce qu’il pense d’eux, se faisant parfois un malin plaisir à utiliser la langue, qu’il maîtrise telle une lame pour vitupérer les individus contre lesquels il peut avoir des griefs, n’ayant pas peur d’aller jusqu’à l’altercation physique. Si ce n’est pas par la parole, il le fait aussi par l’attitude. Il sait faire démonstration aisément de fameux orgueil kendran par le regard et l’ignorance pour faire sentir à l’autre qu’il ne le considère pas.
Une attitude distante et orgueilleuse qui passe au second plan avec les proches. En effet, lorsqu’il apprécie un individu, il se débarrasse de ces constructions culturelles et sociales , en s’ouvrant à l’autre, faisant montre de son caractère taquin, enjoué et fanfaron, De bonne humeur, c’est un grand enfant et si il est difficile à conquérir, c’est tout entier qu’il s’offre quand il le fait.
Au combat, il fait preuve d’une technique millimétrée dans sa maîtrise des armes, mélangeant les écoles rigoureuses kendranne et ynorienne, mais elle est mise au service de la brutalité et de la barbarie de ses gestes. Il peut avoir l’air d’être en transe, totalement absorbée par ses instincts meurtriers.
Ezak est un personnage fier de ses origines, bien que sa fibre kendranne soit plus développée que sa fibre Ynorienne. Terres sur lesquelles il a pourtant grandit. La faute à une mère absente qui n’a pas eu le loisir de lui transmettre toute sa culture et à une figure paternelle kendranne qu’il a adulé depuis sa plus tendre enfance. Il éprouve tout de même un doux sentiment pour sa terre natale et ses traditions qu’il a tenté de protéger lors de son passage forcé dans les rangs d’Omyre, mais son regard est irrémédiablement tourné vers Kendra-Kâr. Sans doute d’aucuns verraient là, les résultat d’un manque d’affection paternelle qu’il cherche à combler. Il faut dire aussi qu’il est fier de ses origines nobles et qu’il désir donner à son nom un prestige inégalé par ses ancêtres, croyant fermement qu’en tant que descendant, il est redevable envers ses aïeux et à ceux qui lui succèderont un jour. Ezak a beaucoup de colère en lui, ainsi, il n’est pas rare qu’il explose. Quand il s’adonne à son art face à un ennemi, il devient sauvage, presque animal, laissant déborder toute sa rage. Celle-ci, qui était diffuse, se concentre aujourd’hui presqu’exclusivement contre Omyre qu’il déteste par-dessus tout, voyant en elle une maladie à éradiquer de la surface de Nirtim. Il a également une haine viscérale pour les peaux vertes qu’il hérité de sa culture et de son éducation mais aussi pour les avoir fréquenté. Il juge sa culture et la leur incompatible et irréconciliable et pense qu’ils sont voués à se détruire.
Justement, de ses culture, il a hérité de l’orgueil des kendrans et de ses origines nobiliaires. Son port altier est évident, avec sa démarche fière, sa tête haute et son regard perçant qui semble juger tout ce sur quoi il se pose. Il ne laisse aucun doute quant à ses origines. C’est également un homme avec un fort franc parlé et il ne se gêne pas pour affirmer ses idées, fussent-elles clivantes. Il adore provoquer et sortir de leur zones de conforts ses interlocuteurs. D’ailleurs, il ne se gêne pas non plus pour dire à tout un chacun ce qu’il pense d’eux, se faisant parfois un malin plaisir à utiliser la langue, qu’il maîtrise telle une lame pour vitupérer les individus contre lesquels il peut avoir des griefs, n’ayant pas peur d’aller jusqu’à l’altercation physique. Si ce n’est pas par la parole, il le fait aussi par l’attitude. Il sait faire démonstration aisément de fameux orgueil kendran par le regard et l’ignorance pour faire sentir à l’autre qu’il ne le considère pas.
Une attitude distante et orgueilleuse qui passe au second plan avec les proches. En effet, lorsqu’il apprécie un individu, il se débarrasse de ces constructions culturelles et sociales , en s’ouvrant à l’autre, faisant montre de son caractère taquin, enjoué et fanfaron, De bonne humeur, c’est un grand enfant et si il est difficile à conquérir, c’est tout entier qu’il s’offre quand il le fait.
Au combat, il fait preuve d’une technique millimétrée dans sa maîtrise des armes, mélangeant les écoles rigoureuses kendranne et ynorienne, mais elle est mise au service de la brutalité et de la barbarie de ses gestes. Il peut avoir l’air d’être en transe, totalement absorbée par ses instincts meurtriers.
Biographie générale :
Ezak fait parti de l’illustre lignée D’Arkasse. Une famille Kendrane qui à collectionner les titres et les terres. Nul ne sait pourquoi du jour au lendemain ils ont perdu leurs privilèges. Certains racontent que Vandrak D’Arkasse aurait trahi la confiance de la famille royale et vu le retrait de ses terres et ses titres appartenant à la Maison. D’autres racontent encore qu’ils ne sont que les victimes d’un système nobiliaire toujours plus gourmand ayant voulu leur disparition. Quoi qu’il ai pu se passer jadis, si ce nom à encore un impact à l’oreille de certain c’est aujourd’hui du côté d’Oranan qu’il est le plus connu. Vandrak, le chef de la famille s’exila en Ynorie, ou avec ses richesses restantes il s’acheta une terre et bâtit une guilde marchande avec laquelle il réussit à gagner en influence. Il s’assura même un mariage avec une jeune femme d’un clan locale plus que respectable. Elle donna naissance à deux garçons : Elan et Ezak, mais elle mourut en donnant naissance à ce dernier. Ce «matricide» fut peut-être la raison du rejet du cadet. En effet, son frère s'était toujours montré comme le fils favori. On le disait plus doué, plus charmant, plus obéissant en opposition à lui, n’en faisant qu’à sa tête.
C’est donc dans une rivalité fraternelle qu’ils grandirent. Aux premiers âges, cela resta bon enfant. Ils n'étaient que deux frère se chamaillant mais s’aimant malgré tout. Mais en grandissant, alors que les ambitions d’Ezak commencèrent à prendre forme, c’est une véritable haine qui les déchira. Elle atteint son paroxysme un jour ou après une querelle ils prirent les armes et manquèrent de s’entretuer. C’est ainsi qu’Elan décida de quitter le domicile familial, laissant volontiers la place d'hériter à son frère car il ne pouvait plus supporter cette situation qu’il jugeait invivable. Vandrak, fou de rage d’avoir perdu son fils prodige mit Ezak à la porte. Il lui coupa les vivres, et il lui interdit de remettre les pieds dans le domaine.
C’est donc dans une rivalité fraternelle qu’ils grandirent. Aux premiers âges, cela resta bon enfant. Ils n'étaient que deux frère se chamaillant mais s’aimant malgré tout. Mais en grandissant, alors que les ambitions d’Ezak commencèrent à prendre forme, c’est une véritable haine qui les déchira. Elle atteint son paroxysme un jour ou après une querelle ils prirent les armes et manquèrent de s’entretuer. C’est ainsi qu’Elan décida de quitter le domicile familial, laissant volontiers la place d'hériter à son frère car il ne pouvait plus supporter cette situation qu’il jugeait invivable. Vandrak, fou de rage d’avoir perdu son fils prodige mit Ezak à la porte. Il lui coupa les vivres, et il lui interdit de remettre les pieds dans le domaine.
Croyances :
Ezak haïssait les dieux pour ce qu’ils représentaient à ses yeux et leur absence. Depuis l’intervention de Brytha et des dieux élémentaires par le biais de leurs émissaires durant la bataille de Kôchii, il est plongé dans un trouble existentiel et est plus ouvert sur la question, voulant en savoir plus avant de se faire une idée définitive. Une chose est sûre pour le moment, il a énormément de respect pour Brytha sans lui vouer un véritable culte.