Présentation
Ezak

Âge : 19 ans
Race et ethnie : Humain (Kendran/Ynorien)
Traits raciaux :
- Sommeil équipé : permet de se reposer aussi bien avec son équipement complet sur lui que sans. Permet de supprimer les malus de regain d'énergie lors d'un sommeil en armure.
- Résistance à l'alcool : Limite les effets nocifs des alcools, permet de tenir bien plus de verres sans être ivre et avant le coma éthylique.
Description physique et de la personnalité :
Bien que je sois métis, on peut dire que le phénotype Kendran est chez moi celui qui a pris le dessus. J'ai hérité de la grande taille de cette partie de mon identité. Je mesure près d’un mètre quatre-vingt. J’ai aussi hérité de leur teint pâle sur une peau qui porte les stigmates de mes récents combats. Notamment une légère tâche sur le côté droit de mon cou, résultat d’une brulure plutôt sévère. Que dire de mes longs cheveux blonds ? Quand je ne les attachent pas en une queue de cheval, ils tombent souvent en quelques mèches négligés devant mon regard. C’est d’ailleurs ce dernier qui trahit mon sang Ynorien. Mes yeux plutôt bridés encadrent des iris d’un gris glacial. Fut-il un temps, ils n’étaient que le reflet de mon dédain sur les autres. Aujourd’hui, je peux constater qu’un autre sentiment s’y mêle. Ils transpirent d’une colère froide qui est prête à jaillir à tout moment. Il faut dire que malgré le masque de dédain que je m’amuse à porter lors de mes sorties publiques, mes yeux trahissent souvent mes sentiments. Bien sûr, comment passer sous silence la prothèse bionique qui me fait office de jambe gauche mais que je cache soigneusement sous mes bottes. En ce qui concerne le reste, on peut dire j’ai la démarche altière. Toujours la tête haute, le regard fier et le dos bien droit. Il ne peut être fait aucun doute quant à mon origine sociale quand on me voit.
Lorsque j’allai sur les routes du vaste monde je ne servais que mes propres intérêts. Aujourd’hui, les choses ont évolués et je désire un peu plus m’impliquer dans l’Histoire du monde dans lequel je vis. Je pense être fait pour diriger, pour exister, pour me montrer aux yeux du monde. J’estime qu’il mérite d’être changé. Je me dois d’y apposer ma marque rien que par respect pour mes ambitions. Il faut dire que je suis bien souvent esclave de mes passions dévorantes.
Je suis fier de mes origines. J’ai tendance à croire que seuls les individus nobles méritent de l’intérêt. Qu’elles le soient de naissance ou dans l’attitude. Les relations tendues avec ma famille sont probablement les seules coupables de mon caractère de feu. Parfois j’explose, j’ordonne, je me moque ouvertement, je menace et désir la mort de ceux qui me manquent de respect. En générale, les individus trop gentils me révulsent. J’aime les personnes de caractère. Ceux qui n’ont pas peur d’agir, même si c’est en mal. Au final, je déteste ces personnes dites parfaites et pourtant j’attends de tous ceux qui sont amenés à me fréquenter une fidélité et une droiture irréprochables. J’estime qu’il n’y a rien de plus haïssable qu’un traître ou un lâche. Ajoutez à cela quelques traits de caractères et vous aurez toute la mesure de mon personnage : Colérique, lunatique, opportuniste, égo mal placé, un tantinet fanfaron et très joueur.
Pourtant, tout cela n’arrive pas à faire de moi un asocial. Au contraire, je suis quelqu’un de bonne compagnie quand on gagne mon respect. Je suis fidèle aux amitiés, que j’ai d’ailleurs souvent du mal à tisser. Par suffisance, par envie ou par maladresse… Qui sait ? J’ai encore beaucoup de mal à me comprendre moi-même. Preuve que je me cherche encore sous mes fausses certitudes... Mon objectif ? Prendre ce qui m'est dû et m'élever dans les hautes sphères. Jusqu’où ? Je n'en ai pas la moindre idée mais j'ai la secrète impression que je ne connais pas de limite. Après tout, ne suis-je pas un D'Arkasse ?
Lorsque j’allai sur les routes du vaste monde je ne servais que mes propres intérêts. Aujourd’hui, les choses ont évolués et je désire un peu plus m’impliquer dans l’Histoire du monde dans lequel je vis. Je pense être fait pour diriger, pour exister, pour me montrer aux yeux du monde. J’estime qu’il mérite d’être changé. Je me dois d’y apposer ma marque rien que par respect pour mes ambitions. Il faut dire que je suis bien souvent esclave de mes passions dévorantes.
Je suis fier de mes origines. J’ai tendance à croire que seuls les individus nobles méritent de l’intérêt. Qu’elles le soient de naissance ou dans l’attitude. Les relations tendues avec ma famille sont probablement les seules coupables de mon caractère de feu. Parfois j’explose, j’ordonne, je me moque ouvertement, je menace et désir la mort de ceux qui me manquent de respect. En générale, les individus trop gentils me révulsent. J’aime les personnes de caractère. Ceux qui n’ont pas peur d’agir, même si c’est en mal. Au final, je déteste ces personnes dites parfaites et pourtant j’attends de tous ceux qui sont amenés à me fréquenter une fidélité et une droiture irréprochables. J’estime qu’il n’y a rien de plus haïssable qu’un traître ou un lâche. Ajoutez à cela quelques traits de caractères et vous aurez toute la mesure de mon personnage : Colérique, lunatique, opportuniste, égo mal placé, un tantinet fanfaron et très joueur.
Pourtant, tout cela n’arrive pas à faire de moi un asocial. Au contraire, je suis quelqu’un de bonne compagnie quand on gagne mon respect. Je suis fidèle aux amitiés, que j’ai d’ailleurs souvent du mal à tisser. Par suffisance, par envie ou par maladresse… Qui sait ? J’ai encore beaucoup de mal à me comprendre moi-même. Preuve que je me cherche encore sous mes fausses certitudes... Mon objectif ? Prendre ce qui m'est dû et m'élever dans les hautes sphères. Jusqu’où ? Je n'en ai pas la moindre idée mais j'ai la secrète impression que je ne connais pas de limite. Après tout, ne suis-je pas un D'Arkasse ?
Biographie générale :
Ezak fait parti de l’illustre lignée D’Arkasse. Une famille Kendrane qui à collectionner les titres et les terres. Nul ne sait pourquoi du jour au lendemain ils ont perdu leurs privilèges. Certains racontent que Vandrak D’Arkasse aurait trahi la confiance de la famille royale et vu le retrait de ses terres et ses titres appartenant à la Maison. D’autres racontent encore qu’ils ne sont que les victimes d’un système nobiliaire toujours plus gourmand ayant voulu leur disparition. Quoi qu’il ai pu se passer jadis, si ce nom à encore un impact à l’oreille de certains, c’est aujourd’hui du côté d’Oranan qu’il est le plus connu. Vandrak, le chef de la famille s’exila en Ynorie, où avec ses richesses restantes il s’acheta une terre et bâtit une guilde marchande avec laquelle il réussit à gagner en influence. Il s’assura même un mariage avec une jeune femme d’un clan locale plus que respectable. Elle donna naissance à deux garçons : Elan et Ezak, mais elle mourut en donnant naissance au dernier. Ce «matricide» fut peut-être la raison du rejet du cadet. En effet, son frère s'était toujours montré comme le fils favori. On le disait plus doué, plus charmant, plus obéissant en opposition à lui, n’en faisant qu’à sa tête.
C’est donc dans une rivalité fraternelle qu’ils grandirent. Aux premiers âges, cela resta bon enfant. Ils n'étaient que deux frère se chamaillant mais s’aimant malgré tout. Mais en grandissant, alors que les ambitions d’Ezak commencèrent à prendre forme, c’est une véritable haine qui les déchira. Elle atteint son paroxysme un jour ou après une querelle ils prirent les armes et manquèrent de s’entretuer. C’est ainsi qu’Elan décida de quitter le domicile familial, laissant volontiers la place d'hériter à son frère car il ne pouvait plus supporter cette situation qu’il jugeait invivable. Vandrak, fou de rage d’avoir perdu son fils prodige mit Ezak à la porte. Il lui coupa les vivres, et il lui interdit de remettre les pieds dans le domaine.
C’est donc dans une rivalité fraternelle qu’ils grandirent. Aux premiers âges, cela resta bon enfant. Ils n'étaient que deux frère se chamaillant mais s’aimant malgré tout. Mais en grandissant, alors que les ambitions d’Ezak commencèrent à prendre forme, c’est une véritable haine qui les déchira. Elle atteint son paroxysme un jour ou après une querelle ils prirent les armes et manquèrent de s’entretuer. C’est ainsi qu’Elan décida de quitter le domicile familial, laissant volontiers la place d'hériter à son frère car il ne pouvait plus supporter cette situation qu’il jugeait invivable. Vandrak, fou de rage d’avoir perdu son fils prodige mit Ezak à la porte. Il lui coupa les vivres, et il lui interdit de remettre les pieds dans le domaine.
Croyances :
Ezak ne croit en aucun dieu. Il ne supporte pas l’idée d’une entité supérieure à lui. Il les rejettent clairement et n’hésite pas à le faire savoir. Cela fait d’ailleurs de lui un blasphémateur appliqué.