Présentation
Maâra
Âge : 110 ans
Race et ethnie : Elfe gris
Traits raciaux :
- Méditation : Ne dorment pas. Ils n'ont besoin que de deux heures de méditation pour récupérer leur énergie.
- Vision d'elfe : Les elfes gris, explorateurs et issus d'un monde géré par le Fluide de Vision, les sindeldi sont dotés d'une vue plus fine et performante que la moyenne.
- Faible constitution : Légers, ils ont les os fins et peuvent aisément se les briser en cas de mauvaise chute
Description physique et de la personnalité :
Maâra est très grande et extrêmement mince. Elle a de longs cheveux blancs et raides retenus par un serre-tête orné d'un corbeau, une peau de porcelaine grise que les plus aimables qualifient de terne, des yeux gris presque translucides et de longues oreilles d'elfes. Sa minceur donne l'impression qu'une forte rafale pourrait la soulever. Elle est pour ainsi dire inexpressive, son visage bien que beau au premier regard semble constamment éteint, comme en perpétuelle méditation.
Mais Maâra est une fausse calme.
Si elle semble impassible, c'est que le monde autour d'elle, les gens qu'elle côtoie, la nature, la vie, ne l'intéresse pas ou peu. En réalité, Maâra est un ermite des relations sociales. Elle ne comprend ni le second degré ni les sous-entendus, elle ne maitrise pas l'ironie et a comme oublié le sens du mot humour. Sa réserve envers les autres est souvent prise pour du dédain et la frontière est mince.
Têtue et bornée, elle ne sait absolument pas gérer ses émotions et peut exploser sans sommation, ni plus ni moins comme une enfant.
Pour parfaire l'être étrange qu'est Maâra, tout ce qui est beau, agréable, sympathique, reposant aux yeux du communs des mortels lui est imperméable. Elle aime la nuit, le froid, le brouillard, l'odeur de putréfaction, l'humidité, la jungle, les mourants, la pureté de la mort … au mieux, l'odeur d'un vieux parchemin poussiéreux.
Mais Maâra est une fausse calme.
Si elle semble impassible, c'est que le monde autour d'elle, les gens qu'elle côtoie, la nature, la vie, ne l'intéresse pas ou peu. En réalité, Maâra est un ermite des relations sociales. Elle ne comprend ni le second degré ni les sous-entendus, elle ne maitrise pas l'ironie et a comme oublié le sens du mot humour. Sa réserve envers les autres est souvent prise pour du dédain et la frontière est mince.
Têtue et bornée, elle ne sait absolument pas gérer ses émotions et peut exploser sans sommation, ni plus ni moins comme une enfant.
Pour parfaire l'être étrange qu'est Maâra, tout ce qui est beau, agréable, sympathique, reposant aux yeux du communs des mortels lui est imperméable. Elle aime la nuit, le froid, le brouillard, l'odeur de putréfaction, l'humidité, la jungle, les mourants, la pureté de la mort … au mieux, l'odeur d'un vieux parchemin poussiéreux.
Biographie générale :
Maâra est née dans la ville fortifiée de Balsinh. Fille d'un couple de Niraëls qui consacrent leur temps à la conception d'Aniathy, elle a reçu une éducation classique et la fortune de ses parents lui a valu une enfance pour le moins facile.
Pourtant, très tôt elle fût considérée comme une enfant "à part". Sombre, solitaire, fuyante. Au lieu de sagement écouter les précepteurs leur louer la supériorité des siens de longues heures durant, elle ne cessait de les questionner sur leur monde d'origine, leur créatrice née de l'union de fluides de lumière et d'Obscurité, la disparition brutale des magiciens. Elle comprit vite qu'avec le temps, leur nouveau monde qu'était Yuimen, qu'ils semblaient pourtant ne pas vouloir accepter comme tel avait finit par les influencer jusque dans leur essence. Ne pouvant plus puiser leur force et vivre de l'union de fluides contraires … ils finirent, comme tous les autres peuples, par rejeter ce qui était ici considéré comme le Mal : les fluides d'Obscurité.
Et Maâra comprit très tôt qu'elle les possédait et qu'elle devait le cacher, au moins jusqu'à l'adolescence et le choix de sa voie.
La voie la moins honorable et qui ferait d'elle une exilée, peut-être à vie : Maenauster. Un choix particulièrement facile pourtant pour elle qui n'avait d'affection que pour sa sœur aînée, partit depuis une soixantaine d'année sillonner Yuimen au sein des Vagabonds.
Elle partit pour Xaoranh, laissant ses parents cois, trop occupés à idéaliser leurs créations.
Des dizaines d'années durant, elle vécut dans le temple de Phaitos aux côtés d'un maître autoritaire et trop vieux pour savoir être paternaliste. Il lui apprit beaucoup sur les fluides, sur le Dieu de la mort, sur les rituels de leur ordre et celui de Thimoros, sur le respect qu'elle se doit d'avoir envers le Mort et bien d'autres choses encore qui la passionnait au plus haut point. Quand elle n'était pas au temple, elle parcourait les plaines d'Indiûmé ou les abords de la jungle de Nésindra.
Toujours aussi sombre, toujours aussi solitaire, toujours aussi fuyante … mais dans son élément, sans peur, sans tabou.
Pourtant, très tôt elle fût considérée comme une enfant "à part". Sombre, solitaire, fuyante. Au lieu de sagement écouter les précepteurs leur louer la supériorité des siens de longues heures durant, elle ne cessait de les questionner sur leur monde d'origine, leur créatrice née de l'union de fluides de lumière et d'Obscurité, la disparition brutale des magiciens. Elle comprit vite qu'avec le temps, leur nouveau monde qu'était Yuimen, qu'ils semblaient pourtant ne pas vouloir accepter comme tel avait finit par les influencer jusque dans leur essence. Ne pouvant plus puiser leur force et vivre de l'union de fluides contraires … ils finirent, comme tous les autres peuples, par rejeter ce qui était ici considéré comme le Mal : les fluides d'Obscurité.
Et Maâra comprit très tôt qu'elle les possédait et qu'elle devait le cacher, au moins jusqu'à l'adolescence et le choix de sa voie.
La voie la moins honorable et qui ferait d'elle une exilée, peut-être à vie : Maenauster. Un choix particulièrement facile pourtant pour elle qui n'avait d'affection que pour sa sœur aînée, partit depuis une soixantaine d'année sillonner Yuimen au sein des Vagabonds.
Elle partit pour Xaoranh, laissant ses parents cois, trop occupés à idéaliser leurs créations.
Des dizaines d'années durant, elle vécut dans le temple de Phaitos aux côtés d'un maître autoritaire et trop vieux pour savoir être paternaliste. Il lui apprit beaucoup sur les fluides, sur le Dieu de la mort, sur les rituels de leur ordre et celui de Thimoros, sur le respect qu'elle se doit d'avoir envers le Mort et bien d'autres choses encore qui la passionnait au plus haut point. Quand elle n'était pas au temple, elle parcourait les plaines d'Indiûmé ou les abords de la jungle de Nésindra.
Toujours aussi sombre, toujours aussi solitaire, toujours aussi fuyante … mais dans son élément, sans peur, sans tabou.
Croyances :
Maâra vénère la Mort et son Gardien. Elle nomme souvent Sithi dans ces prières pour se donner du courage, pour ne pas oublier d'où elle vient et de qui lui vient sa force première. Elle sait que les Dieux de Yuimen existent mais savoir et connaître sont deux choses différentes et la considération qu'elle a pour eux tient pour ce qu'ils sont, rien de plus.
Elle éprouve cependant une grande méfiance envers Brytha qu'elle considère comme une usurpatrice.
Elle éprouve cependant une grande méfiance envers Brytha qu'elle considère comme une usurpatrice.