L’Atrocissime Tour du Vilain Sekteg Nawouël

[Nhaundar]

L’opération serpent-ninja est un franc succès ! Non seulement je suis arrivée vers la porte d’où est venu ce maudit…ce truc tout moche, mais en plus j’y arrive sans me faire repérer ! Me voilà devant un dilemme. La grande porte d’or comporte une poignée, que je ne suis pas sûr être en mesure d’ouvrir. Il va me falloir me creuser les boules et me sortir les aiguilles pour parvenir. Reste que je n’ai pas la moindre idée de comment faire.

(Maiiis ! Faut-il le faire ? Que va-t-il se passer si j’ouvre la grande ?)

La crainte de déclencher quelque chose que je ne devrais pas, nait en moi ! Cette chose verdâtre est passée par une porte plus petite, essayons déjà de l’ouvrir avant quoi que ce soit ! Je m’attelle à attraper la poignée et à l’ouvrir en essayant de m’accrocher sous la porte grâce à mes si solides brindilles. Si ça ne marche pas, il faudra essayer de tirer en faisant des bonds vers le sol. En plus de faire du bruit avec les boules, ça risque de faire mal si je tombe tête la première !

[Azra]

Le gobelin semblait en avoir pour son compte. De toute façon, il l'avait un peu mérité. Cependant, la fée remarqua une... guirlande ? ... qui essayait d'ouvrir la porte au loin. Elle s'envola dans sa direction pour l'aider à examiner les portes.

"Besoin d'aide par ici ?"

Elle nota également un... tas de chocolat ? ... qui tomba du plafond. Il se passait décidément bien des choses étranges, ici. Mais bon, elle n'avait pas faim, pour l'instant. Elle saisie la guirlande, qui semblait peiner à atteindre la poignée, et entrepris de la soulever pour l'y emmener.

[Yliria]

Yaaha ! Mon attaque, vive puissante, foncttttionne et voilà que le gobelin lâche son arme. Vaillants compagnons venus me prêter main forte, le petit pain et la botte achèvent de le mettre à terre, à notre mercccci. Victorieux ! J'entends le petit pain demander où est No-Hell et je plussssssoie sssson actttion. Il va nous dire la vérité ! J'entends alors la fée nous appeler, demandant de l'aide en désignant une porte que la guirlande esseeeaie d'ouvrir.

Je m'enroule autour des bras du gobelin pour l'empêcher de bouger, mais sssuis de tout façççon bien incapable d'aider à ouvrir une porte. Pas de bras, pas de chocho.. de poignée ouvrables, donc je me contente d'empêcher ccccette ssssaleté de bouger. Mais voilà que le petit fondant au chocolat nous rejoint en tombant du plafond, un cadeau s'écrasant avec lui. Quelle étrange vision que voicccci, mais savatriccce s'il en est. Peut-être que lui pourra ouvrir la porte ? Je demande également à la chaussssse qui botte des arrières-trains de gobelins

- Pensssses-tu pouvoir les aider ? Enfonccccer la porte à coup de botte ? Nous retenons cccce fiéfé gredin et il nous dira où est No-Hell !

[Mathis]

Une belle équipe hétéroclite que nous étions . Le gobelin en avait eu pour son compte: morsure, coup dans le ventre, coup de pied dans le derrière et voilà que le petit pin Dépise remettait ça... tout en interrogeant le gobelin que le serpent venait de ligoter les bras en se nouant autour.

"Oh... là tu en fais trop petit pain... Il n'est pas nécessaire de le torturer... nous ne sommes pas des vilains. "

Puis faisant face au vilain gobelin, les deux lacets sur les bases de ma botte, à la façon d'un humain qui se met les mains sur les hanches, j'interrogeai gentiment notre prisonnier.

" Tout d'abord, pourquoi as-tu enlevé notre Père No-Hell ? Et ensuite, pourquoi l'avoir fait ? "

Puis réfléchissant, elle se reprit...

"Tu n'as pas eu de cadeaux et tu veux te venger ? Tu sais, si tu fais des efforts pour être gentil tu auras droit toi aussi à un cadeau ! "

Puis répondant au serpent.

"Je veux d'abord entendre les réponses du gobelin, et ensuite, si c'est encore nécessaire, j'irai donner un coup de botte. "

[Cromax]

12/12

Le Bonhomme de neige n’eut pas à ouvrir les cadeaux pour savoir à qui ils étaient destinés. Des initiales étaient peintes sur chacun d’eux : un « K » sur le bleu au nœud rose, un « SS » sur le rouge au ruban blanc, un « E » sur le vert orné de rouge, un « G » sur le rose noué de vert, et un « PD » sur le blanc et or. L’être de neige eut une intuition : les ouvrir maintenant gâcherait la surprise aux destinataires des présents. Curieux, tout de même : il ne semblait pas y en avoir pour lui. Un signe du destin ? Une vilaine farce de Nawouël ? Un message caché du Père No-Hell ? Il arriva près des autres les bras chargés de ses paquets, en tout cas.

En bas, Nawouël subissait un douloureux interrogatoire : mordu à l’oreille par le biscuit, qui n’eut pas la force dans la mâchoire pour arracher un bout de celle-ci, maintenu par le serpent rouge et blanc et enseveli sous les questions de la botte. Il hurla de douleur avant de répondre de sa voix criarde.

« Aaaaieuuuh ! Arrêtez, vers de terre ! Vous trouverez jamais No-Hell ! J’aurai mis fin à ses jours avant. Na ! Maintenant c’est moi le Papa Nawouël. Et c’est moi qui vais faire des cadeaux maintenant. »

Il regarda un instant la botte, d’un air fâché.

« Moi, on m’a jamais fait d’cadeau dans ma vie, c’est pas juste. Du coup j’me suis servi. Tout seul ! »

Une étincelle maligne cligna dans son regard. L’instant d’après, le biscuit tomba sur le trône rouge et la prise de Simp lui échappa : Nawouël avait tout simplement disparu en un clin d’œil, sans laisser la moindre trace, à part son étrange baguette neigeuse, traînant toujours au sol. Il allait être plus coriace que prévu, avec les pouvoirs volés au Père No-Hell.

La guirlande et la fée, de leur côté, parvinrent d’un commun effort à ouvrir la petite porte encastrée dans la grande. Devant eux s’ouvrit un couloir aux tailles… curieusement petites par rapport à la grande porte. Humaines, en tout cas. Deux mètres de plafond, approximativement, même si deux lustres d’apparence lourde pesaient sur cette hauteur. Sept portes s’ouvraient à deux : trois à droite, trois à gauche, et une tout au fond, différentes des premières : verte enchâssée d’un losange rouge, là où les autres étaient de simples portes de bois croisées de fer. Curiosité notable : elles n’avaient pas de poignées.

Ainsi, tous rassemblés dans la grande salle, la neige éparpillée au sol protégeant le bonhomme des flammes alentours et lui permettant de se reconstituer, un nouveau chapitre de leur aventure débutait…



[HJ : Félicitations à SIMP LE SERPENT SUCRÉ pour avoir déniché le mot « Pitrerie » qu’avait caché Kyrielle dans son post. C’était le dernier à trouver, le jeu des mots s’arrête là. Mais je reviendrai bientôt à la charge avec un nouveau jeu, peut-être, qui saura plus vous impliquer ! En attendant… à vous de jouer !]

[Héliodrianna Mulcibur]

Je constate avec plaisir que la neige a remplacée l'atmosphère de feu. Et alors que j'assiste à la disparition du père Nawouël alors que je me rapproche de mes compagnons je les interpelles.

- Les gars! J'ai trouvé des cadeaux là-haut! Il y un cadeau pour Greta, pour Pain Dépise, pour Enguerrande, et Kyrielle et pour Simp le Serpent! Je suis sur que le Père No-Hell vous à laissé ces cadeaux pour vous aider a le retrouver.

Je donne ou dépose le cadeau pour chacun et ramasse la baguette.

- Qu'est ce que c'est ça? C'était au gobelin vert qui usurpe l'identité et les pouvoir du Père No-Hell?

Je l'agite dans le vide.

[Mathis]

Et voilà que j'avais trouvé ce qui avait blessé le gobelin... il n'avait jamais eu de cadeau de sa vie. Étant plutôt débrouillarde et n'ayant jamais eu deux pieds dans ma bottine, j'avais une réplique toute prête, mais j'ai pas eu le temps de lui dire qu'il avait disparu, laissant le serpent et Pin Dépice sur le trône.

De leur côté, la fée et Enguerrande avaient réussi à ouvrir la porte, je pensais les rejoindre, lorsque mon attention se porta sur le bonhomme de neige, non loin d'un amas de chocolat. Il nous distribua des cadeaux qu'il avait apparemment trouvé à l'étage supérieur. Puis, ce bonhomme, pourvu d'un cervelle d'eau gelée ramassa la baguette magique et l'agita.

"Attention malheureux, tu peux nous tuer, on ne connait pas les pouvoirs de cette baguette. "

Puis m'adressant aux quatre: "Allons rejoindre Kyrielle et Enguerrande"

Cela dit, je bondis vers la porte tout en ramassant le cadeau au passage. Je n'avais aucunement l'intention de l'ouvrir, je savais ce que j'allais en faire, ou plutôt à qui j'allais l'offrir.

Le corridor était sombre, lugubre même, éclairé par la faible lumière de lustres bas et aborant sept portes. Trois de chaque côté et une au fond.

"On dirait bien des cellules !" M'exclamai-je horrifié avant de bondir à toute allure vers celle du fond. Elle était plus grosse, plus protégée et ornée de rouge.

Frappant de petits coups de botte sur la porte, je demandai:

"Père No-Hell, .. Père No-Hell... Êtes-vous là ? "

[TheGentleMad]

Tandis que je m'acharne sur son oreille, le gobelin disparait subitement, me glissant entre les dents. C'est alors que le bonhomme de neige arrive avec des cadeaux pleins les bras pour nous les distribuer. Alors que je commence à ouvrir le mien, il se met à agiter la baguette du gobelin, aussitôt réprimandé par Greta. La botte nous incite a lors à rejoindre Kyrielle et Enguerrande qui ont ouvert la porte au fond de la salle. Tout en déballant mon cadeau, testant au passage si l'emballage est comestible, je les rejoins dans un couloir avec sept portes sans poignée. Tandis que Greta appelle No-Hell, je réfléchis à haute voix:

"Sept portes et on est sept... Examinons les pour voir s'il y a des inscriptions cachées. Ne nous séparons pas trop vite."

Sitôt mon cadeau déballé, je m’attèle à cette tâche.

[Azra]

La porte s'ouvrit sur un petit couloir curieusement étriqué par rapport à ce à quoi ils auraient pu s'attendre. Sept portes sans moyen apparent de les ouvrir s'y trouvaient. Kyrielle renifla d'inquiétude, et ce fut Greta la botte qui résuma le mieux sa pensée en disant que cela ressemblait à des cellules.

Cependant, voilà que le bonhomme de neige se présenta... avec des cadeaux ! La fée oublia immédiatement tout cela et regarda le paquet qu'il lui tendait en murmurant :

"C'est pour moi ? C'est la première fois qu'on m'offre un cadeau !"

A ne ivre que la nuit, il n'y avait pas grand monde pour la côtoyer et lui en offrir, effectivement. Aussi, les yeux humides, elle se jeta dessus pour le déballer !

[Nhaundar]

Grâce à l’aide de la petite créature ailée, nous parvenons à ouvrir la porte. La présence du couloir garnis de portes, dans une ambiance loin de l’esprit de No-Hell. En plus de ça elles n’avaient pas de poignée ! C’est la déclaration de la botte qui résume assez bien la décoration du coin en trouvant que cela représentait des cellules.

Plus nous nous enfonçons dans la maison et plus je me dis qu’il y a quand même un truc qui cloche concernant la dimension. Il doit falloir une sacrée cheminée pour chauffer autant d’espace sous plafond !

Bref. Je prends le temps de revenir vers les autres. Apparemment, le bonhomme de neige apporte des cadeaux avec non nom dessus ! Même si l’étrange créature qui est responsable du rapt du père No-Hell, elle a également déclaré n’avoir jamais reçu de cadeau. L’espace d’un instant, l’idée de lui offrir le mien me passe par la tête.

(Non ! Un cadeau doit être personnel, une recherche minutieuse de ce que la personne souhaite réellement ! En offrant le mien je ne ferais que de la simplicité pour trouver un cadeau et il n’est pas sûr qu’il lui plaise. D’ailleurs, je pense déjà quoi offrir si jamais l’occasion devait se présenter.)

Sur ce, j’imite les autres en ouvrant le cadeau vert orné de rouge avec un « E » écrit dessus.

[Yliria]

Dissssparu l'huluberlu de gobelin mutin ! Lui qui pensssse pouvoir prendre la placccce de No-ll, quelle idée ssstupide ! Je m'en vais de ssssuite lui faire comprendre ma façççççon de pensssser. La guirlande a réusssssi à ouvrir la grande porte avec l'aide de la fée, aussssi commencccé-je à m'en approcher lorsssssque le bonhomme de neige nous mène des cadeaux. Chacun avec nos inittttiales desssus. Voilà qui est étrange... Je ne m'approche pas de cccelui portant mes initttiales et vais plutôt examiner les portes présentes dans le couloir à présent ouvert.

Nulle part il n'y a de poignée, mais une est différente des autres, ausssi je vais l'examiner en détail, peut-être donne-t-elle un indicccce sur comment ouvrir les portes... Il y a sssssix portes... et autant de cadeaux... peut-être un lien ? Dans le doute j'obssserve les autres ouvrir leurs présents, m'éloignant rapidement du bonhomme qui agite cccette maudite baguette. Pas quesssstion d'être refroidi. Sssssi tout sssse passssse bien j'ouvrirai ausssi mon présent... mais autant rester prudent.

[Akihito]

Mon exploration se solde par une cucurieuse découverte. Un cacadeau ! Tout rouge, tout brillant. Mais qui a bien pu le laisser là ? Une question que je n'ai que le temps de me poser car horreur !


"AAAAAH ! UNE BOUBOUCHE GEANTE QUI VEUT M'AVALER TOUT ROND !"


L'ouverture dans le sol ne me laisse aucune chance, et m'avale tout rond avec le cadeau. Je dévale alors le plus grand toboggan du monde, avec vrille, looping et salto ! J'ne oublie presque ma peur et commence à ririre aux éclats. Ca, c'est amusant ! Malheureusement pour Ignim le cacaoté, le toboggan fini par se finir et méméjecte dans une salle, avec tout pleins de visages familiers. Lilibellule ! Sussucre ! Painpain et bobotte ! Ils sont tous là ! Et même...


"Tête de morve !"


Ce vil faquin est là aussi ! Sauf qu'après avoir été assaillit par tout les autres, le voilà qu'il didisparait. Ma chute s'achève enfin, et étant tout en feu, elle ne me fait pas de bobo. Mes narines frétillent de plus belle en voyant tout plein de torches autour de moi. Du feu ! je me précipite pour les miams sur le champ.


[...] (Trans-for-ma-tion !)


L'effet est progressif, mais peu à peu, mon moi enfantin me laisse la place. J'ai toujours trouvé curieux ce don de vieillir à mesure que j'accumule des flammes, pour redevenir un enfant une fois celles ci relâchées. Qu'a donc fait mini moi depuis que je lui ai laissé les commandes...?

Oh.

Il m'a encore fourré dans une situation pas possible celui là. Enfin bon, sauver le Père No-Hell est tout de même capital, autant pour lui que pour moi. Mais manque de chance, mes compagnons d'infortune ne risque pas d'apprécier mes compétences pyrotechniques, entre les faire fondre et les brûler... Autant garder cette armure providentielle de chocolat. Usant de mes pouvoirs calorifiques, je la fait sécher en partie en la carbonisant en croûtes noirâtres : ça sera plus commode que de se balader enduit de chocolat.


" 'Ignim le cacaoté'... Qu'est-ce qu'il faut pas entendre..."


J'en ai presque honte. Mais bon, il faut progresser et aller chercher ce satané Segtek. Mon cadeau sous le bras, je m'approche tout en restant à bonne distance du groupe. Une curieuse salle avec 7 portes. 7 portes... Autant que nous le sommes. Ce qui me semble un peu gros comme coïncidence, comme le souligne également le petit bonhomme en pain d'épice. J'ignore s'ils le savent, mais je dois leur transmettre au moins cette information.


"Le père No-Hell est en vie, et quelque part dans cette maison. Ce Segtek l'a menacé il y a quelques minutes de cela, j'ai assister à la scène via une sphère magique. Mais il compte le tuer, d'une façon ou d'une autre : le temps presse."

[Cromax]

13/12

Sept portes, comme sept sauveurs. Et puis quoi encore ? Vous espériez que cette maisonnée avait été faite pour vos petites emplettes ? Greta, attirée par la plus grosse, accompagnée du serpentin, pensait-elle l’ouvrir d’un coup d’elle-même ? Ils se retrouvèrent bien dépourvus quand personne ne répondu…dit. Zut.

Ils remarquèrent pourtant, soit dit en passant, que le losange rouge était creux, que de six pièces il était nécessiteux. Six reliques rougeoyantes à encastrer, pour le père No-Hell libérer, c’était pas trop trop demander à cette équipe de bras ca…d’âmes soudées.

Puis ceux qui ouvraient leur cadeau,
c’était la fête, c’était l’gros lot.

Un manteau extensible protection anti-aquosité pour le biscuit, plus une dizaine de steaks de rennes bien cuits (et son papier… c’était du papier). Du sable doré hyper dur pour la p’tite fée, histoire de percer toutes les paupières et cornées. Même des grands ou des petits ayant passé l’âge du bébé. Une bombe de spray ignifugé contentât la belle guirlande, ses boules seraient donc protégées des flammes d’Ignim fort grandissantes.

Puis le bonhomme super neigeux
Qui aspergea le mec en feu,
D’une neige naissante hyper blanche
Qui vint presqu’comme une avalanche.
Les flammes étaient plus fortes pourtant,
Que ce beau et doux manteau blanc.

Quant à des inscriptions cachées,
Ils n’en eurent qu’une en vérité :
« Veuillez frapper pour entrer »
Une consigne pour teubés.

(et c’est pas très gentil de la part de l’architecte de vous considérer comme tel !!)


[HJ : Hem. Petite inspiration rythmique. désolé.]

[Mathis]

Réalisant que tous les cadeaux distribués étaient spécialement choisis pour les destinataires prévus. Je compris donc que même si je donnais le mien au gobelin, il ne serait pas très content. Je décidai donc de déballer mon cadeau. Aidé de mes lacet, je défis le paquet tout en écoutant ce que faisait les autres.

Apparemment, il y avait une inscription qui indiquait qu'il fallait frapper pour entrer. Mais ça ne fonctionnait pas pour la porte du fond puisque je l'avais essayé. L'examinant plus en détail, je vis qu'il avait une losange rouge comportant six creux. Six creux, six portes.

Sans perdre une seconde, je décidai de frapper à la porte qui était tout juste à la gauche de celle que je présumais être celle du Père-No- Hell.

"J'essaie celle-ci ! " Dis-je pour prévenir les autres.

Et du bout de la botte, je frappai poliment

"Toc, toc, toc..."


(((- Greta déballe son cadeau
- Greta frappe à la 3eme porte à gauche)))

[Nhaundar]

Une Bombe de spray ignifugé ! En voilà un cadeau particulièrement utile. Plus besoin d'avoir peur des grandes méchantes flammes et me dévorent ! Je vais pouvoir foncer dans la gueule du loup. D'ailleurs, en parlant de gueule, ces portes y ressemblent quand même pas mal. On dirait un traquenard pour chacun de nous. La bobotte semble vouloir de quoi il en retourne et c'est armé d'un spay que je la suis. Je vois que sur la porte centrale, un trou en forme de losange est en place et que visiblement six pièces s'y encastrent.

(Nous pourrions travailler de concert, une porte à la fois, mais nous perdrions un temps considérable alors que No-Hell approche !)

Le spray enroulé autour de mon corps, la brindille fière et les boules luisantes, j'imite la chaussure et frappe à mon tour sur la porte en usant du spray. Ma tête n'est pas assez solide et mes boules sont fragiles pardi !

[Azra]

Dans la boite, Kyrielle, totue émue, trouva un sachet de sable dorée, en tout point merveilleux, avec ses paillettes qui étincelaient. Les yeux humides, elle pensa au père No-hell, qui avait disparu. Était-ce lui qui avait offert ces cadeaux ? Elle en avait si chaud au coeur qu'elle resta quelques instants immobile et silencieuse. Elle devait le retrouver ! Le libérer de cet étrange gobelin !

Alors, elle se rua sur la première porte à droite. Un message signalait de frapper, ce qui n'était pas dans ses habitudes, mais elle s'exécuta. Si le père No-hell était là, elle comptait bien le trouver !

[TheGentleMad]

Dans mon cadeau, je découvre une magnifique tenue imperméable que j'enfile aussitôt ainsi qu'une dizaine de steaks que j'avale goulument après avoir recraché le morceau de papier qui n'avait pas le moindre goût. En inspectant les portes, je vois sur celle du fond un creux en losange qui semble devoir être rempli par six morceaux. Voyant Greta commencer à frapper à une porte, je l'imite en frappant sur la première porte à gauche après avoir lu une inscription indiquant qu'il suffisait de faire cela pour que ces portes sans poignées s'ouvrent.

[Héliodrianna Mulcibur]

J'arrête d'agiter la baguette quand je m'aperçois que la flamme prend un bain de neige qui visiblement n'as pas l'air de l'affecter plus que ça.

- Veuillez m'excuser, ce n'était pas intentionnel, je voulais voir ce que cette baguette pouvais faire. Et je vais la garder, elle est bien utile. Je n'ai pas eu de cadeau pour vous, malheureusement, mais à en croire ce que vous tenez sous le bras, vous avez été gâté. J'espère que cela vous sera utile.

Sans attendre, je me dirige vers le fond de la pièce, là où se trouve l'ouverture menant sur les 7 portes et m'approche de la seconde, sur la droite.

- Veuillez frapper pour entrer. C'est une consigne pour impoli ça.

Respectant la consigne de bienséance, je toque à là-dite porte, espérant pouvoir voir ce qui se trouve derrière avant d'entrer. Je ne souhaites pas tomber sur un environnement qui ne me convient pas.

- Ce n'est pas rouge, donc pas de feu, ni de chaleur. S'il vous plait, j'y suis allergique...

[Yliria]

Sssssi porte ssssans poignée, alors coups il faut frapper. Du moins j'imagine...

Première porte à droite, me voilà. Frappons avec le bout de la queue, hisssstoire de ne pas sssse fracasssser la tête. Trois petits coups et puis sss'en vont

[Cromax]

14/12

Greta, avant de frapper à la porte choisie, ouvrit son cadeau et y découvrit un flacon de parfum désinfectant. L’idéal si elle voulait se débarrasser de la mauvaise odeur qu’elle laissait derrière elle traîner. Accompagnant le petit flacon, un fin morceau de tissu était caché, sans doute pour la faire reluire de toute sa prime beauté, d’un rouge éclatant. Une fois cela ouvert, elle se tourna vers la troisième porte à gauche et y frappa trois petits coups. Comme indiqué, celle-ci s’ouvrit. Mais Greta ne put voir ce qui se trouvait dedans : une chape d’obscurité des plus sombres masquait toute possibilité d’y voir dedans. C’était comme un brouillard, mais entièrement noir. Elle put apercevoir, pourtant, à une dizaine de mètres d’elle, une étrange lueur rougeâtre, assez petite. Comme un rubis magique abandonné là dans l’obscurité.

À son côté, la Guirlande avait frappé à son tour la porte au losange rouge. En vain hélas : celle-ci ne donna pas plus de réponse que lorsque la botte avait essayé.

La petite fée, de son côté, accompagnée de Simp le petit serpent, avait frappé la première porte à droite. Celle-ci s’ouvrit sur… un mur de pierre. Une paroi granuleuse ne laissant aucun passage. Comme si la pièce elle-même était condamnée. Le duo se retrouva bien embêté.

Le petit biscuit se gava des steaks bien cuits à sa disposition. Et il fit bien : l’instant d’après, ce qui était un petit bout de pâtisserie devint une énormité toute faite de muscles en pain d’épice et en sucreries. Une sorte de Hulk bodybuildé et shooté aux stéroïdes anabolisants. Encore bien qu’il n’eut pas plus à manger, sans quoi il n’aurait pas pu entrer dans le couloir, où il devait déjà se baisser pour passer les portes ou ne pas se cogner aux lustres. Un monstre de sucre, prêt à tout défoncer. Lorsqu’il frappa la première porte à gauche, il manqua de peu de la fracasser. Presque de peur, elle s’ouvrit précipitamment pour dévoiler à Pin une salle curieuse, presque vide. Toute en longueur, presque sept mètres de long, elle ne contenait qu’une sorte de cage en métal fermement ancrée dans le sol. Celle-ci était munie d’un étrange objet à sa base :

À travers les plaques de métal de la cage, il put deviner un reflet rouge, entrevoir un rubis posé sur un socle. La seule autre singularité de la pièce était un trou dans le plafond, près de l’entrée, d’où sortaient des étincelles bleutées :

La seconde porte à droite, frappée délicatement par le bonhomme de neige, s’ouvrit sur… un mur d’eau. Translucide, il laissait apparaître une pièce aux dimensions gargantuesques, entièrement remplie d’eau. Une eau qui, heureusement, ne s’écoula pas dans le couloir. Tout au fond de cette pièce, à près de 100 mètres de là, éclairées par des reflets bleutés, une pierre d’u rouge de sang était posée sur un piédestal.

Deux portes étaient encore fermées : la seconde à gauche et la troisième à droite. Mais n’avaient-ils pas déjà suffisamment à faire avec ces curieuses énigmes derrières celles ouvertes ? C’était à eux de réfléchir. Et d’agir.

[TheGentleMad]

L'effet de la nourriture est immédiat: je deviens aussitôt un colosse obligé de se baisser pour tenir dans le couloir. Ma porte s'ouvre sur une salle avec une grille en métal et un objet bien étrange que je ne sais identifier. Autour de moi, Greta a ouvert une salle plongée dans l'obscurité, Simp et Kyrielle ont ouvert une porte murée et le bonhomme de neige a découvert une pièce remplie d'eau. Voyant tout cela je déclare:

"Je ne sais pas résoudre cette énigme, je vous la laisse. Hors de question que j'aille dans une salle remplie d'eau. Je peux par contre essayer de défoncer ce mur ."

Tout en me dirigeant vers la porte murée, j'ouvre les dernières portes fermées à l'aide de pichenettes en profitant de ma grande taille. Après m'être reculé pour prendre un peu d'élan malgré l'espace restreint, je me jette en avant en espérant que ma force suffira à passer outre ce mur.

[Mathis]

Je fus bien contente de mon cadeau. Un bout de tissu pour me faire reluire et un désinfectant pour enlever les odeurs de pieds... Je vais l'utiliser, mais sans le dire au Père No-Hell... il serait attristé de connaître l'odeur que ses pieds ont laissés en mon for intérieur.

Comme il était annoncé, les portes s'ouvrirent dès que nous eûmes frappé. Pour ma part, je vis une pièce sombre avec au fond un petit rubis. Il était évident que nous devions prendre ces rubis et les enchasser dans le losange de la porte central. Par contre, il aurait été naif de penser qu'il serait facile de les ramasser. D'autres portes s'ouvrirent et l'on put voir un mur de brique, une salle pleine d'eau, une drôle de cage métallique avec un étrange dispositif et des étincelles bleutés.

Le petit Pin Dépise désormais grand choisit une autre porte que celle sur laquelle il avait frappé. Donc tout en se dirigeant vers le mur de brique, il toqua les autres portes afin de les ouvrir.

"Pin Dépise a raison ! Choisissons les portes selon nos compétences."

Je regardai une fois de plus la pièce sombre devant moi, puis je souris et me retournai vers le couloir (faisant donc dos à la porte). Je fis quelques petits pas rapide puis je bondis sur le lustre et attrapa une bougie avec mes lacets. ET sautai de nouveau au sol afin que mon poids ne déséquilibre pas trop le lustre.

Je plaçai sécuritairement la bougie dans ma botte et éclairée de sa lumière j'entrai dans la pièce.

Il ne me restait plus qu'à cueillir le petit rubis, en ressortir et enchasser le rubis dans le losange de la porte du fond.

[Azra]

Sssimp vint l'aider à ouvrir la porte... qui ne révéla qu'un mur de pierre. Quel idiot pouvait bien mettre une porte devant un mur ? A moins que...

À côté, le pain d'épice était subitement devenu gigantesque en mangeant quelques friandises. Rien d'anormal dans le monde féérique de No-hell, en somme. La fée l'appela :

"Toi qui a l'air si grand et si fort, pourrais-tu vérifier qu'il s'agit bien d'un mur plein ? Peut-être pourrais-tu nous tailler un passage dedans..."

[Héliodrianna Mulcibur]

- Si je m'attendais à ça!

Je suis stupéfait. Moi qui voulais éviter la chaleur, je me retrouve face à de l'eau! Autant signer sa mort tout de suite. Je pris un pas de recule pour voir ce que contient les portes ouvertes par les autres, notamment les deux dernières, ouverte par Pin. Puis j'agite ma baguette devant ma porte en espérant faire geler l'eau face a moi.

[Nhaundar]

La porte ne s’ouvre pas. Dans mon empressement, je me suis trompé de cible et j’ai frappé à la même porte que la botte. De ce que je comprends des différentes réactions de mes compatriotes, les portes s’ouvrent sur un passage particulier, un défi à la hauteur des capacités et faiblesses de chacun. Reste encore à savoir quelle pièce me convient. Avant de me lancer dans une vaine tentative, allons ouvrir les portes restantes, ou laisser ce gros morceau de gâteau le faire à ma place et inspecter les autres accès !