Présentation
Mercurio
Âge : 27 ans
Race et ethnie : Humoran
Traits raciaux :
- Crocs et griffes : Ils sont dotés d'une dentition faite pour arracher la chair, et de griffes leur permettant toutes sortes de choses.
- Puissance surhumaine: (Trait du bâtard Humain) Le personnage est capable, en poussant ses muscles à leur limite, de soulever une lourde charge (jusqu'à 250 kg) ou de déplacer un objet très lourd (jusqu'à 100 kg sur 100m)
Physiquement, son côté woran est largement dominant et il a pris l'habitude d'être pris pour l'un d'eux.
Il faut dire que sa tête n'a rien d'humain, qu'il est capable de rétracter ses griffes, de rugir, de ronronner et de hérisser ses poils.
Cependant, à y regarder de plus près, on peut constater que son côté humain a atténué beaucoup des caractéristiques worannes ; il est omnivore, ne possède aucune vibrisse, ses muscles sont moins proéminents, sa fourrure est moins touffue, ses crocs sont plus courts et moins aiguisés, ses griffes ressemblent plus à des ongles grisâtres rétractables qu'autre chose...
Psychologiquement, son côté woran est par contre très en retrait, ne s'exprimant qu’occasionnellement lorsqu'il est en situation de survie, le poussant à être plus agressif, rugir, courir, sauter et grimper.
D'un naturel nonchalant, affichant constamment un air las, il se balade constamment pieds-nus dans son pantalon blanc usé qui s'est assombri de saletés aux chevilles et avec sa veste de cuir qui est rempli de petites poches dans lesquelles il cache sa flasque d'alcool et quelques potions pour ses soins.
Son calme apparent est cependant trompeur ; il cache une personnalité sanguine, fière et dirigiste qui le mène souvent à s'énerver de manière ridicule, ce qui est rendu d'autant plus facile par son alcoolisme, sa franchise parfois déconcertante, sa tendance à jurer et à insulter tout le monde instinctivement et son côté ignare.
Il est principalement indifférent avec tout le monde et méprisant envers toutes formes de hiérarchie, son côté amical ne se déployant qu'auprès des gens qu'il a appris à apprécier sur la longueur ou dans certains environnements comme les tavernes et les bordels où il se sent toujours très à l'aise.
Son mentor a malgré tout réussi l'exploit de le faire changer de comportement lorsqu'il s'agit d'agir en soigneur, il peut alors se montrer excessivement patient, organisé et méticuleux, même sous l'effet de l'alcool. On voit bien alors qu'il sait ce qu'il fait.
Malgré ses débuts laborieux dans la piraterie, il a fini par s'attacher à l'équipe du navire "La Rascasse Volante".
Sa responsabilité de maître d'équipage le pousse à essayer de mieux comprendre chacun d'eux et à maintenir le moral au plus hauté
Il faut dire que sa tête n'a rien d'humain, qu'il est capable de rétracter ses griffes, de rugir, de ronronner et de hérisser ses poils.
Cependant, à y regarder de plus près, on peut constater que son côté humain a atténué beaucoup des caractéristiques worannes ; il est omnivore, ne possède aucune vibrisse, ses muscles sont moins proéminents, sa fourrure est moins touffue, ses crocs sont plus courts et moins aiguisés, ses griffes ressemblent plus à des ongles grisâtres rétractables qu'autre chose...
Psychologiquement, son côté woran est par contre très en retrait, ne s'exprimant qu’occasionnellement lorsqu'il est en situation de survie, le poussant à être plus agressif, rugir, courir, sauter et grimper.
D'un naturel nonchalant, affichant constamment un air las, il se balade constamment pieds-nus dans son pantalon blanc usé qui s'est assombri de saletés aux chevilles et avec sa veste de cuir qui est rempli de petites poches dans lesquelles il cache sa flasque d'alcool et quelques potions pour ses soins.
Son calme apparent est cependant trompeur ; il cache une personnalité sanguine, fière et dirigiste qui le mène souvent à s'énerver de manière ridicule, ce qui est rendu d'autant plus facile par son alcoolisme, sa franchise parfois déconcertante, sa tendance à jurer et à insulter tout le monde instinctivement et son côté ignare.
Il est principalement indifférent avec tout le monde et méprisant envers toutes formes de hiérarchie, son côté amical ne se déployant qu'auprès des gens qu'il a appris à apprécier sur la longueur ou dans certains environnements comme les tavernes et les bordels où il se sent toujours très à l'aise.
Son mentor a malgré tout réussi l'exploit de le faire changer de comportement lorsqu'il s'agit d'agir en soigneur, il peut alors se montrer excessivement patient, organisé et méticuleux, même sous l'effet de l'alcool. On voit bien alors qu'il sait ce qu'il fait.
Malgré ses débuts laborieux dans la piraterie, il a fini par s'attacher à l'équipe du navire "La Rascasse Volante".
Sa responsabilité de maître d'équipage le pousse à essayer de mieux comprendre chacun d'eux et à maintenir le moral au plus hauté
Biographie générale :
Mercurio est un humoran, fruit d'une conception très maculée entre une prostituée kendrane de Dahràm et un woran tigré venu s’alléger la bourse pendant une escale.
Il a ainsi vécu son enfance dans l'oisiveté la plus totale grâce à la rigueur professionnelle de sa mère, à passer le plus clair de son temps dans les tavernes, auberges et bordels du port.
La plupart du temps, c'était juste un salle gosse qui comblait son ennui en tourmentant animaux errants et vagabonds endormis, en filoutant les marchands ambulants et les voyageurs de passage ou en gribouillant des propos injurieux à propos des "peaux-bleues" sur les murs du temple de Moura.
Et lorsqu'il n'était pas occupé à se rendre insupportable, il passait beaucoup de temps à écouter les récits aussi épiques qu'alcoolisés des marins et des pirates avec un regard niais d'admiration ou à se déniaiser avec les non moins admirables collègues de sa mère.
Puis sa mère est morte, d'une maladie que tous ceux qui la connaissait avaient préféré taire la pourtant évidente cause.
Il a été triste un temps, puis bon, la vie continuait. Et il lui fallait maintenant se résoudre à travailler.
Mercurio ne voulait cependant pas poursuivre la carrière exemplaire de sa mère : ça lui aurait laissé un goût amer au travers de la gorge.
Il fut cependant engagé un temps comme gorille dans son ancien bordel, travaillant en parallèle sur les docks et arrondissant sa paie avec des actes de petites criminalités ; vols, cambriolages et recels.
Sa tentative de devenir un assassin de coupe-gorge a cependant mis fin à son potentiel avenir dans la criminalité urbaine : Sa première cible l'a laissé à moitié mort.
C'est ainsi qu'il fut emmené à Alkrim, le rebouteux. N'ayant pas de quoi payer ses soins, il lui proposa de devenir apprenti sans paie.
Le vieil homme devint rapidement une figure paternelle ; il lui appris la médecine, la pharmacologie et la magie de soin.
Puis Alkrim est mort. De vieillesse.
Il a été triste un temps, puis bon, la vie continuait. Et le rebouteux, maintenant, c'était lui.
Il continua ainsi plusieurs années jusqu'à ce jour où Dahràm avait fini par lui sortir par les yeux.
Sur un coup de tête, il se fit recruté par "La Confrérie d'Outremer" pour devenir pirate.
Il quitta ainsi pour la première fois de sa vie Dahràm et vécut des aventures aussi rocambolesques que traumatisantes au travers des mers avec eux qu'il est toujours ravi d'aller raconter à son tour dans les tavernes.
Malgré une tentative de mutinerie de sa part, il devint maître d'équipage sur le navire "La Rascasse Volante" tout en continuant son rôle de soigneur.
Il a ainsi vécu son enfance dans l'oisiveté la plus totale grâce à la rigueur professionnelle de sa mère, à passer le plus clair de son temps dans les tavernes, auberges et bordels du port.
La plupart du temps, c'était juste un salle gosse qui comblait son ennui en tourmentant animaux errants et vagabonds endormis, en filoutant les marchands ambulants et les voyageurs de passage ou en gribouillant des propos injurieux à propos des "peaux-bleues" sur les murs du temple de Moura.
Et lorsqu'il n'était pas occupé à se rendre insupportable, il passait beaucoup de temps à écouter les récits aussi épiques qu'alcoolisés des marins et des pirates avec un regard niais d'admiration ou à se déniaiser avec les non moins admirables collègues de sa mère.
Puis sa mère est morte, d'une maladie que tous ceux qui la connaissait avaient préféré taire la pourtant évidente cause.
Il a été triste un temps, puis bon, la vie continuait. Et il lui fallait maintenant se résoudre à travailler.
Mercurio ne voulait cependant pas poursuivre la carrière exemplaire de sa mère : ça lui aurait laissé un goût amer au travers de la gorge.
Il fut cependant engagé un temps comme gorille dans son ancien bordel, travaillant en parallèle sur les docks et arrondissant sa paie avec des actes de petites criminalités ; vols, cambriolages et recels.
Sa tentative de devenir un assassin de coupe-gorge a cependant mis fin à son potentiel avenir dans la criminalité urbaine : Sa première cible l'a laissé à moitié mort.
C'est ainsi qu'il fut emmené à Alkrim, le rebouteux. N'ayant pas de quoi payer ses soins, il lui proposa de devenir apprenti sans paie.
Le vieil homme devint rapidement une figure paternelle ; il lui appris la médecine, la pharmacologie et la magie de soin.
Puis Alkrim est mort. De vieillesse.
Il a été triste un temps, puis bon, la vie continuait. Et le rebouteux, maintenant, c'était lui.
Il continua ainsi plusieurs années jusqu'à ce jour où Dahràm avait fini par lui sortir par les yeux.
Sur un coup de tête, il se fit recruté par "La Confrérie d'Outremer" pour devenir pirate.
Il quitta ainsi pour la première fois de sa vie Dahràm et vécut des aventures aussi rocambolesques que traumatisantes au travers des mers avec eux qu'il est toujours ravi d'aller raconter à son tour dans les tavernes.
Malgré une tentative de mutinerie de sa part, il devint maître d'équipage sur le navire "La Rascasse Volante" tout en continuant son rôle de soigneur.
Croyances :
Mercurio a un rapport très particulier avec la religion.
L'existence des dieux est une évidence pour lui, il a même eu l'horreur de rencontrer la fille de Thimoros et est persuadé d'avoir survécu à son dragon noir grâce à un miracle de Gaïa. Il reste pourtant excessivement ignorant en matière de religion, outre quelques notions qu'Alkrim lui a inculqué concernant Jeri et Gaïa.
Il regarde cependant les cultes religieux avec méfiance et condescendance ; prier lui semble aussi inutile que ridicule
L'existence des dieux est une évidence pour lui, il a même eu l'horreur de rencontrer la fille de Thimoros et est persuadé d'avoir survécu à son dragon noir grâce à un miracle de Gaïa. Il reste pourtant excessivement ignorant en matière de religion, outre quelques notions qu'Alkrim lui a inculqué concernant Jeri et Gaïa.
Il regarde cependant les cultes religieux avec méfiance et condescendance ; prier lui semble aussi inutile que ridicule