Présentation
Maximilien
Âge : 18 ans
Race et ethnie : Humain (Varrockien)
Traits raciaux :
- Equilibriste : Grâce à sa dextérité, le personnage est capable de ne pas tomber, même dans des situations précaires (Ex : marche sur un toit, marche sur une rambarde de navire en pleine mer,...).
- Équilibriste amélioré : Grâce à sa dextérité, le personnage est capable de se battre, de faire des mouvements vifs ... même dans des situations précaires (ex : sur un toit, sur une rambarde de navire en pleine mer, ...).
Description physique et de la personnalité :
Je suis un jeune homme assez petit et d'apparence svelte, bien que je ne sois pas quelqu'un que l'on pourrait qualifier de maigrichon. Effectivement, mes muscles ne sont pas ceux du barbare sur-développé mais plutôt ceux de l'honnête travailleur ayant eu une vie de dur labeur. Tout ce qu'il y a de plus banal pour les gens du peuple comme moi. Petite particularité, j'ai les yeux vairon. Mis à part cela, je ne sors pas de l'ordinaire. J'ai les cheveux bruns, coupés court. Au niveau de ma pilosité, je possède une légère petite barbe ainsi qu'une moustache que je prends le temps de tailler chaque jour afin de ne pas avoir l'apparence d'une personne négligée. Mon teint de peau est assez clair, bien qu'un petit peu bronzé en été.
Pour ce qui est de mon caractère, je me considère comme quelqu'un de juste. Je n'ai jamais rechigné à aider mon père et mon grand frère quand il le fallait. D'ailleurs, je ne comprends pas comment certains peuvent rester oisifs et ne rien faire de leur vie. Bien sûr, je ne dis pas que je n'ai jamais eu envie d'une journée peinard, mais je ne pourrai supporter le déshonneur d'être un parasite pour ma famille. Pour moi, ce n'est pas à sa classe sociale mais à ces actes que l'on juge un homme.
Pour ce qui est de mon caractère, je me considère comme quelqu'un de juste. Je n'ai jamais rechigné à aider mon père et mon grand frère quand il le fallait. D'ailleurs, je ne comprends pas comment certains peuvent rester oisifs et ne rien faire de leur vie. Bien sûr, je ne dis pas que je n'ai jamais eu envie d'une journée peinard, mais je ne pourrai supporter le déshonneur d'être un parasite pour ma famille. Pour moi, ce n'est pas à sa classe sociale mais à ces actes que l'on juge un homme.
Biographie générale :
Pour ce qui est de mon enfance, elle s'est passée d'une façon assez commune pour les personnes de mon rang. Une journée type était organisée de cette façon :
Le matin j'aidais mon père à la boutique familiale, principalement en contribuant au rangement du matériel de pêche dans la réserve du magasin. Il m'est aussi arrivé d'être au contact des clients, même si c'est plus mon frère aîné qui s'occupait de seconder père à cette tâche.
L'après-midi, j'avais quartier libre. Je la passais à m'amuser avec d'autres enfants de mon âge. Ces jeux consistaient surtout à faire des acrobaties et autres cabrioles en cachette de nos parents qui jugeaient cela trop dangereux. D'ailleurs, quand j'y repense, il est vrai que l'on risquaient de mauvaises chutes pouvant nous handicaper pour la vie. Mais bon, comme tous les gosses de cet âge, notre insouciance nous faisait oublier ce détail.
Sinon, quand nous ne faisions pas les pitres, ils nous arrivaient de nous bagarrer avec la bande d'enfants de la ruelle d'à côté. Bien que je ne sois pas le plus fort de mon groupe, j'ai vite appris à placer de bons coups pour m'en sortir. Sauf quand je prenais des bleus sur les parties visibles de mon corps. Car, comme tout bon chef de famille, mon père savait manier le martinet quand il fallait me corriger.
Enfin, deux heures avant le repas du soir, je devais me rendre au temple de Moura afin d'en apprendre plus sur la religion et de suivre des cours de lecture pendant que mon frère se consacrait aux mathématiques avec son précepteur. Car, bien que ne vivant pas dans la misère, notre famille ne pouvait se permettre de payer pour l'éducation de ces deux enfants. Le temple était donc un bon compromis. Je ne suis pas délaissé et, cela prouve notre dévotion envers la déesse afin qu'elle continue à apporter sa bénédiction sur notre commerce.
Maintenant adulte et, ayant déjà mon frère qui a repris la boutique familiale, je décide d'aller postuler à la milice de Yarthiss pour gagner honnêtement ma vie.
Le matin j'aidais mon père à la boutique familiale, principalement en contribuant au rangement du matériel de pêche dans la réserve du magasin. Il m'est aussi arrivé d'être au contact des clients, même si c'est plus mon frère aîné qui s'occupait de seconder père à cette tâche.
L'après-midi, j'avais quartier libre. Je la passais à m'amuser avec d'autres enfants de mon âge. Ces jeux consistaient surtout à faire des acrobaties et autres cabrioles en cachette de nos parents qui jugeaient cela trop dangereux. D'ailleurs, quand j'y repense, il est vrai que l'on risquaient de mauvaises chutes pouvant nous handicaper pour la vie. Mais bon, comme tous les gosses de cet âge, notre insouciance nous faisait oublier ce détail.
Sinon, quand nous ne faisions pas les pitres, ils nous arrivaient de nous bagarrer avec la bande d'enfants de la ruelle d'à côté. Bien que je ne sois pas le plus fort de mon groupe, j'ai vite appris à placer de bons coups pour m'en sortir. Sauf quand je prenais des bleus sur les parties visibles de mon corps. Car, comme tout bon chef de famille, mon père savait manier le martinet quand il fallait me corriger.
Enfin, deux heures avant le repas du soir, je devais me rendre au temple de Moura afin d'en apprendre plus sur la religion et de suivre des cours de lecture pendant que mon frère se consacrait aux mathématiques avec son précepteur. Car, bien que ne vivant pas dans la misère, notre famille ne pouvait se permettre de payer pour l'éducation de ces deux enfants. Le temple était donc un bon compromis. Je ne suis pas délaissé et, cela prouve notre dévotion envers la déesse afin qu'elle continue à apporter sa bénédiction sur notre commerce.
Maintenant adulte et, ayant déjà mon frère qui a repris la boutique familiale, je décide d'aller postuler à la milice de Yarthiss pour gagner honnêtement ma vie.
Croyances :
Comme la plupart des citoyens de Yarthiss, j'ai connaissance de la majorité des divinités du panthéon et je les respecte. Cependant, même s'il m'arrive occasionnellement de prier d'autres dieux pour des événements précis (comme par exemple Phaitos lors d'un enterrement), mes prières sont souvent destinées à Moura. Principalement pour deux raisons.
La première est toute simple, une partie de mon éducation m'a était donné par les prêtres de son culte. La deuxième est plus personnelle. J'ai grandi dans l'état d'esprit que tout homme devait mériter ses possessions au dur labeur de son travail, de ce fait, il est tout à fait normal que je me sois tourné vers la déesse prônant des valeurs comme la Force sous toutes ces formes et l'instinct de survie. Je ne suis pas du genre à attendre une grâce divine pour recevoir ce que je veux. Ma vie, je la gagne à la sueur de mon front !
La première est toute simple, une partie de mon éducation m'a était donné par les prêtres de son culte. La deuxième est plus personnelle. J'ai grandi dans l'état d'esprit que tout homme devait mériter ses possessions au dur labeur de son travail, de ce fait, il est tout à fait normal que je me sois tourné vers la déesse prônant des valeurs comme la Force sous toutes ces formes et l'instinct de survie. Je ne suis pas du genre à attendre une grâce divine pour recevoir ce que je veux. Ma vie, je la gagne à la sueur de mon front !