Re: Les Ruines de Nayssan
Posté : mar. 11 mai 2021 23:17
Chapitre V - Suite - Précédemment
L’extinction des seules torches n’y faisant rien, le sergent Kiyoheiki occulte la lueur émise par son casque pour nous plonger dans une parfaite obscurité. Plusieurs cliquetis inquiétants résonnent autours de nous, suivis du bruit sourd des frottements de la pierre. L’appel d’air qui s’ensuit, accompagné d’une vague de poussière, m’informe qu’un passage s’est ouvert devant nous.
Je toussote pour soulager ma gorge et emboite le pas de mes compagnons lorsque nous disposons à nouveau d’une source de lumière. Nous débouchons dans une pièce aux allures d’appartement. Je me faufile entre table et cuisinière, prenant garde de ne pas trop approcher le lit, sur lequel git une créature humanoïde, et accède à la seconde partie de la pièce. Nous sommes dans les quartiers d’un érudit, à en croire la tonne de livres et fioles qui jonchent les étagères. La salle se pare également d’un bureau et d’une large table sur laquelle trône plusieurs ustensiles métalliques similaires à ceux présents dans la salle où nous avons affronté la goule. L’issue est scellée par une vaste porte de pierre vers laquelle je me dirige immédiatement. Le battant, clos par une large serrure, comporte un simple anneau métallique. Je ne perçois aucune lumière émanant de la serrure, signe que la salle suivante est vide de toute présence.
Une traction de l’anneau nous révèle que la porte est fermée ; impossible donc de continuer sans avoir au préalable déverrouillé la serrure. Nous nous accordons pour examiner chacun une partie de la pièce. Je commence par le bureau, qui me semble être l’endroit le plus logique pour y ranger une clé. Je détaille chaque tiroir, examine le contenu de chaque ustensile, soulève ce qu’il reste de papiers. Une fois mon examen terminé, je me dirige vers les étagères, pour y inspecter les livres. Non pas que j’espère y trouver quelque information, les ouvrages sont probablement rédigés dans la même langue que les énigmes, mais ces grands volumes me semblent parfaits pour qui voudraient y dissimuler quelconque objet ; une clé par exemple.
Suite
(Hrp : jette un œil par la serrure, inspecte le bureau puis les étagères)
L’extinction des seules torches n’y faisant rien, le sergent Kiyoheiki occulte la lueur émise par son casque pour nous plonger dans une parfaite obscurité. Plusieurs cliquetis inquiétants résonnent autours de nous, suivis du bruit sourd des frottements de la pierre. L’appel d’air qui s’ensuit, accompagné d’une vague de poussière, m’informe qu’un passage s’est ouvert devant nous.
Je toussote pour soulager ma gorge et emboite le pas de mes compagnons lorsque nous disposons à nouveau d’une source de lumière. Nous débouchons dans une pièce aux allures d’appartement. Je me faufile entre table et cuisinière, prenant garde de ne pas trop approcher le lit, sur lequel git une créature humanoïde, et accède à la seconde partie de la pièce. Nous sommes dans les quartiers d’un érudit, à en croire la tonne de livres et fioles qui jonchent les étagères. La salle se pare également d’un bureau et d’une large table sur laquelle trône plusieurs ustensiles métalliques similaires à ceux présents dans la salle où nous avons affronté la goule. L’issue est scellée par une vaste porte de pierre vers laquelle je me dirige immédiatement. Le battant, clos par une large serrure, comporte un simple anneau métallique. Je ne perçois aucune lumière émanant de la serrure, signe que la salle suivante est vide de toute présence.
Une traction de l’anneau nous révèle que la porte est fermée ; impossible donc de continuer sans avoir au préalable déverrouillé la serrure. Nous nous accordons pour examiner chacun une partie de la pièce. Je commence par le bureau, qui me semble être l’endroit le plus logique pour y ranger une clé. Je détaille chaque tiroir, examine le contenu de chaque ustensile, soulève ce qu’il reste de papiers. Une fois mon examen terminé, je me dirige vers les étagères, pour y inspecter les livres. Non pas que j’espère y trouver quelque information, les ouvrages sont probablement rédigés dans la même langue que les énigmes, mais ces grands volumes me semblent parfaits pour qui voudraient y dissimuler quelconque objet ; une clé par exemple.
Suite
(Hrp : jette un œil par la serrure, inspecte le bureau puis les étagères)