Présentation
Throk Shakirr
« Je suis Grand. Je suis Fort. Mes ennemis ploient devant moi. » - Throk, deux ans avant son incarcération.
Fiche du condamné n° 344 433, Throk Shakirr alias « L’Etrangleur de Gutenborg »
Âge : 33 ans
Race et ethnie : Garzok.
Traits raciaux :
- Endurance : Capacité de tenir longtemps avec un effort constant et continu.
- Vision nocturne : Capacité de voir de nuit, à la lueur
Description physique et de la personnalité :
Date d’arrestation : 15ème jour de Nárla de l’an 1 de notre ère.
Durée de la condamnation : Perpétuité.
Raison de la condamnation : Meurtre sauvage sur émissaire-recruteur officiel de l’Impératrice Noire Oaxaca par strangulation.
Signes distinctifs :
- Yeux rouges ; peau vert olive ; chevelure et barbe drues, longues et foncées ; canines antérieures proéminentes. Le condamné a les oreilles et la lèvre inférieure percées d’anneaux de fer, et porte sur tout le corps de nombreuses cicatrices, stigmate de ses anciens combats dans les Marais de Gutenborg. La pointe de son oreille gauche est partiellement arrachée, souvenir d’une lutte des premiers jours avec les gardiens du Camp de la Déportation. Mesure plus de deux mètres dix, pour une carrure épaisse et musclée, digne d’un puissant guerrier.
- Violent, colérique, peut être pris de crises de rage incontrôlables et imprévisibles. Peu enclin au dialogue, quel que soit le moment. Dévotion ostentatoire occasionnelle notée pour Ter Zignok - Yuimen. Peut s’avérer concentré et silencieux s’il est seul. Supporte mal la présence d’autres sujets aux alentours, jusqu’à se montrer sauvage à leur encontre. Conseil : isolement forcé.
Biographie générale :
Eléments biographiques connus :
- Né au sein d’un ancien clan siégeant à la lisière des Marais de Gutenborg, aujourd’hui éparpillé parmi l’armée de terre de l’Impératrice Noire. Connu par les siens pour être un chasseur puissant, et un combattant sanguinaire et sans pitié, téméraire au-delà de toute raison. Aurait tué à mains nues un Brok’nud.
A massacré l’émissaire recruteur de l’armée d’Oaxaca qui avait pris contact avec son clan pour recruter les garzoks prêts pour la guerre suite au retour des Treize Lieutenants d’Oaxaca en l’étranglant sauvagement, parce qu’il refusait de partir de son Clan. S’est ensuite fait battre à mort par l’escorte de ce dernier, ne survivant que par chance à leurs coups. L’incident aurait drastiquement réduit ses capacités au combat par la suite. Son arrestation a été commandée par un sergent des troupes oaxiennes orques pour l’humilier, lui refusant une mort au combat.
- Violence extrême envers les gardiens dans les premiers jours de sa présence au Camp de la Déportation. Matage en règle à répétitions nombreuses jusqu’à ce qu’il comprenne la hiérarchie du camp.
Plusieurs victimes parmi les prisonniers. Humaines, elfes et gobelines. Des hères sans force qu’il a massacrés sans raison apparente, à mains nues.
Couramment utilisé par les gardiens pour des combats d’arène au sein du bagne. Souvent favori des tours de paris, de par sa carrure et son esprit sans pitié : là où un combat jusqu’à l’abandon est suffisant, il ne fait aucune pitié à ses adversaires, les menant jusqu’à la mort, ou combattant jusqu’à l’inconscience.
Présence quotidienne à la mine de granit pour le déplacement de blocs importants et la taille grossière de ceux-ci.
Signature du responsable :
Liam de Falek, Directeur du Camp de la Déportation d'Omyre.
Croyances :
L'individu n'est pas un pratiquant zélé de la religion, même pour un Garzok. Il en réfère quelques fois à Moura, Yuimen et Thimoros, mais les autres ne sont que tromperie et inutilité, pour lui. Il refuse de reconnaître la vocation divine de personnages comme Oaxaca, ou des autres dieux mineurs.