Sirat souriait derrière son casque, la capacité de son armure et de son heaume lui plaisait et le rassurait dans ses choix et voir ces ennemis prostrés et abasourdit par l'étonnement lui plaisait encore plus. La confusion ne dura pas, un garzok puissant s'avança deux haches a la main, les crocs protubérants sortant de sa gueule nauséabonde. En dessous des poutres de bois ses hommes ragaillardis prirent les armes, portés par leur chef. Il vit et entendit deux archers bander leurs arcs. Il cria d'un ton autoritaire.
Essayez rien, sinon vous allez crever là. Donnez vos armes, et on vous épargne !
Mais l'humoran n'était nullement impressionner. Il répondit d’un ton similaire voir plus ferme encore.
- Où est ton honneur soldat, tu ne te présentes même pas. Je suis "celui qui chante", j'ai marché avec vos frères dans les plaines d'Aliaénon. Mon fléau en est la preuve.
Il montra son marteau dégainé qu'il brandissait devant lui.
- Dis a tes deux archers de baisser leurs armes. Comment crois-tu que nous vous avons trouvé dans votre trou ! Vous devriez courir dans les plaines armes aux poings, au lieu de cela, vous vous terrez dans un grenier comme des rats. Je viens prendre possession de tes hommes et te rendre ta fierté. Sois tu me suis en tant que chef sois tu me défies et sur ton sang et ton cadavre tes hommes me suivront. Rengaine tes haches Guerrier !
Les peaux vertes restèrent interdites. Les paroles du zélote avait raisonné dans le grenier et dans leur cœur. Même celui qui avait prit la parole eu un instant de flottement. Mais il n’avait pas laché ses haches.
]Ah ! On peut dire que t'as des couilles, le poilu. Mais ici c'est Karsinar le chef, pas toi. Et j'recois d'ordres que de lui. Alors faites pas les cons tous les deux et rendez-vous de suite. Je le répéterai plus.
Sirat fronça les sourcils sous son casque. Dommage, son rêve, de posséder des hommes n’était que partit remise. Il était temps de passer à l’action, quinze contre deux, c’était parfait juste ce qu’ils leur faillaient.
Un murmure a sa compagne contre son dos.
Sibelle ferme les yeux.
Et un regard sur cette masse éructant avec ses deux haches.
Tu as choisi ton destin !
Un flash de lumière se répandit dans la pièce enveloppant et éblouissant tous les garzok. Presque instantanément, un bruit rapide accompagna cette décharge de lumière et il retomba sur les grognements des peaux vertes aveugles.
Sirat s’approcha prudemment du garzok avec ses deux haches et il visa sa tête et la frappa puissamment afin qu’elle explose sous le choc.
HRP : Utilisation capa magelmane : Aura Intimidante et effet bourreau des ombres marteau de lumière