Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

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Yuimen
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Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

Message par Yuimen » sam. 19 janv. 2019 22:15

Thimoros




Présentation :

Thimoros est foncièrement mauvais : dieu du mal, de la souffrance et de la guerre. Ceux qui le servent sont cruels et mauvais. Il s’entend bien avec son frère Phaïtos, les deux dieux partageant leur connaissance de la magie noire, toutefois il existe une certaine rivalité fraternelle entre les deux. Pernicieux et vicieux, il a déjà trahi son frère lors de l’enquête imposée par les autres Dieux pour connaître l’origine du dragon noir.

Ses relations avec les autres dieux sont plutôt désastreuses en particulier avec Gaïa qui est son exacte opposée et contre qui il a débuté une guerre dans le désert de Sarnissa conduisant à l’intervention des autres dieux et surtout à l’intervention de Zewen en personne le septième jour de la guerre pour y mettre un terme. Il est ainsi le premier responsable de la retraite forcée des Dieux vers Nyr’Ermansi, ce que lui reprochent de nombreux Dieux.

Père d’Oaxaca, sa fille issue de son union avec une Ermansi, une mortelle, cela lui a valu la colère de Zewen le menaçant de perdre sa divinité s’ils ne privaient pas la mère de l’enfant et sa fille de leur immortalité chèrement acquise. Thimoros a une certaine inimitié envers Zewen depuis ce jour.

Elément associé : Ombre
Fonction(s) : Dieu de la Guerre et des Ravages

Thimoros demeure sur Nyr’Ermansi.

Peuples vénérant Thimoros :

En tant que dieu principal : En tant que dieu mineur : En tant que courant minoritaire :

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Yuimen
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Re: Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

Message par Yuimen » sam. 19 janv. 2019 22:23

Chez les Shaakts





Vision de la divinité :

Thimoros s’est adapté à la vision particulière des shaakts à son égard, devenant ainsi pour ce peuple la terrifiante Valshabarath. Valshabarath est un mélange entre une shaakt et une araignée, possédant les huit pattes et le corps d’une araignée mais le buste et la tête d’une shaakt. Valshabarath, déesse malfaisante, s’oppose évidemment à Angharradh, la déesse tutélaire des Hinïons. Elle tient une place importante dans la vie quotidienne des shaakts qui vénèrent sa cruauté et sa puissance, mais également de cadeaux comme l’octroi d’araignées pour la guerre.


Organisation du culte :

Autorités religieuses :

Seules les femmes ont la possibilité de devenir prêtresses, les hommes ne peuvent être que de simples fidèles.

Il y a donc plusieurs niveaux au sein d'un temple :

  • Fidèle : Simple croyant de Valshabarath qui doit se rendre aux cérémonies, souvent en cachette car il est rarement bon de se faire voir dans le temple. Tous les shaakts sont en principe au minimum des fidèles et doivent ainsi la prier quotidiennement sous peine de subir le courroux des prêtresses. Les fidèles masculins doivent prier à l’extérieur du temple, l’intérieur étant réservé aux femmes, ces dernières peuvent à tout moment interrompre la prière d’un shaakt.
  • Fanatique : Elles sont pour la plupart rattaché à un temple ou à un prêtre itinérant, elles ont pour fonction d'aider leur maîtresse ou leur temple à bien fonctionner et s'assurent de l'entretien des locaux par exemple. Elles servent aussi d'assistant lors des sacrifices en passant les divers outils imaginés par des centaines de prêtresses au cours des années. Elles portent une simple robe arborant le symbole de Valshabarath.
  • Prêtresse : Quand elles deviennent prêtresses, elles ont un choix à faire : devenir prêtresse itinérante afin d'apporter la souffrance à travers le monde ou se rattacher à un temple. Elles ont chacun la charge d'une fanatique pour l'itinérant et de parfois plusieurs pour ceux des temples. Elles ont en charge leur apprentissage de la magie noire, des règles du culte, de l’apprentissage de la torture physique et psychologique ainsi que l’apprentissage de l’obéissance aveugle envers Valshabarath.
    Elles portent une longue robe mauve arborant le symbole de Valshabarath. Leurs rôles consistent en la préparation des cérémonies sacrificielles et leur exécution afin qu'elles durent le plus longtemps possible. Ce sont des experts en magie noire ainsi qu'en anatomie afin de pouvoir torturer leurs victimes sans les tuer pendant un temps allant jusqu'à une semaine pour les plus doués.
  • Grande Prêtresse : Unique pour chaque temple, elle est le maître des lieux. Elle a le droit de vie et de mort sur tous ses subordonnés. Elles connaissent toutes les secrets de la magie obscure. Elles se chargent de toute la logistique du temple et des règles à appliquer, elles décident aussi des cérémonies et autres fêtes religieuses. Elles arborent la même robe que les prêtres, mais celle-ci est plus richement décorée. Elles arborent également le pendentif de leur déesse tutélaire : l’araignée.

Organisation militaire affiliée à Valshabarath :
  • Les sœurs du massacre : Ce sont des shaakts fanatiques qui ont échoué aux épreuves imposées par les temples pour devenir prêtresse. Au lieu de les renvoyer dans leur famille, elles deviennent de redoutables combattantes de mêlée quémandant la pitié de Valshabarath à leur égard. Souvent armées d’une paire de dagues ou d’épées courtes, dépourvues d’armure et peu vêtues, elles se jettent à l’assaut des lignes d’ennemis avec toute la rage caractéristique des elfes noirs.
  • Les chasseuses de Valshabarath : Si les Hinïons et Taurions ont une maîtrise bien plus perfectionnée à l’arc que les shaakts, ces derniers sont bien plus vicieux et ont une meilleure maîtrise que leurs consœurs des techniques d’embuscade. Ce sont des prêtresses itinérantes la plupart du temps et surtout des éradicatrices au service de leur déesse. Leur premier objectif est l’assassinat de personnalités imminentes, ensuite elles servent d’éclaireuses et enfin, elles chassent les Vierges de l’arc, ces dernières terrifiant les armées shaakts.

Fêtes, cérémonies, rituels :

Il y a 3 cérémonies d’intronisation, qui permettent de monter en grade dans la hiérarchie du temple.
  • Or'shansene, le sacrifice : Les fanatiques doivent passer différentes épreuves pour espérer entrer dans l’un des temples shaakts. Les épreuves reposent sur ce que savent le mieux faire les elfes noirs : agir avec cruauté. Les femelles amènent en sacrifice des hommes, qu’ils soient esclaves ou shaakts, plus les actes sont infâmes et terribles, plus elles ont de chance de servir des prêtresses puissantes. Il faut attendre par là des actes de torture physique tout autant que psychologiquement et les mâles d’une même famille ne sont jamais à l’abri de servir comme sacrifice.
  • Dalharil de Valshabarath, les filles de Valshabarath : Les fanatiques entraînées depuis maintenant cinq années doivent s’affronter les unes contre les autres, celles étant victorieuses deviennent des prêtresses, les perdantes apportent déshonneur à leur famille et deviennent les sœurs du massacre pour obtenir le pardon de la déesse.
  • Etholusin, l’Elue : Une fois tous les siècles, les prêtresses se réunissent en conclaves pour « discuter » de la prêtresse accédant au rang prestigieux de grande prêtresse. Tous les moyens sont bon pour obtenir le poste, cela va de l’empoisonnement au massacre de ses concurrentes dès lors que les portes du conclave se ferment. La grande prêtresse est toujours une prêtresse ayant attirée l’attention de Valshabarath en raison de sa cruauté exemplaire, de sa dévotion sans faille et de sa fourberie légendaire.

Il existe une unique fête de Valshabarath, celle-ci s’avère toutefois d’une grande importance.
  • Linth'el's Isto, la nuit des chaudrons : Les shaakts vénérant la violence et accordant une grande importance au sang, il n’est pas difficile d’imaginer le contenu de ces chaudrons placés sur la place publique. Cette fête est bimensuelle et consiste à sacrifier les esclaves pour honorer la déesse. Les effusions de sang et les orgies vont de paire lors de cette nuit.

Dogmes religieux :

Coutumes de prières :

Il n’y a pas vraiment de coutume particulière pour prier Valshabarath. Il est seulement préférable, quand on la prie, de se mettre dans une position de soumission face au dieu. Le plus généralement, cette position est allongée sur le ventre, les bras tendus vers l'avant afin de bien montrer son infériorité par rapport au dieu.

Interdits religieux :

Ils sont au nombre de 2 :
  • Il est interdit de prier d’autres dieux que la déesse, même si certains temples autorisent de prier Phaïtos et Thimoros (ce dernier n’étant pas reconnu comme tel du fait de sa représentation masculine)
  • Il leur est également interdit de manquer de respect à leur(s) supérieur(s) hiérarchiques, ainsi que de blasphémer contre Valshabarath

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Re: Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

Message par Yuimen » sam. 19 janv. 2019 22:27

Chez les Garzoks


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Vision de la divinité :


Thimoros apparaît parfois sous les traits d’un homme, parfois sous les traits d’un terrifiant garzok. Les garzoks prient Thimoros sans pour autant absolument le vénérer, après tout ce dernier a peu fait pour leur peuple contrairement à sa fille, Oaxaca. Thimoros est le symbole de la guerre, de la sauvagerie des Garzoks, ces derniers le craignant à juste titre et lui faisant des offrandes avant chaque combat.


Organisation du culte :

Les Garzoks n’ont pas de réelle structure religieuse, si bien que le culte de Thimoros en lui-même ne possède que peu de rangs.
  • Prêtre : Les Garzoks devenant prêtre de Thimoros ont le choix entre deux voies : officier auprès d’un temple ou d’un petit autel le plus souvent et ainsi organiser des messes noires. Leurs rôles consistent en la préparation des cérémonies sacrificielles et leur exécution afin qu'elles durent le plus longtemps possible. Ou de devenir prêtre itinérant, parcourant alors la campagne en compagnie des armées d’Oaxaca pour attirer les faveurs de Thimoros avant chaque bataille. De ce fait, ils jouissent d’un certain prestige vis-à-vis des autres Garzoks. Toutefois si la bataille est perdue, ils sont les premiers à être tenus responsables et à être accusés de ne pas avoir suffisamment prié Thimoros. Ce sont des experts en magie noire et nécessairement en combat puisqu’il leur arrive de participer aux guerres provoquées par Oaxaca.
  • Grand Prêtre : Ils officient dans un temple à Omyre et connaissent tous les secrets de la magie obscure. Ils se chargent de toute la logistique du temple et des règles à appliquer, ils décident aussi des cérémonies et autres fêtes religieuses. Ils arborent une toge noire et tâchée de sang le plus souvent et exhibent le pendentif du dieu noir et ont parfois une crosse en olath surmontée d'une lame rappelant la queue d'un scorpion ou d’un scorpion entier, symbole de la divinité.

Fêtes, cérémonies, rituels :


Il y a 3 cérémonies d’intronisation, qui permettent de monter en grade dans la hiérarchie du temple.
  • Ignesia : Rite selon lequel un simple fidèle devient un fanatique attaché au temple. Lors de cette cérémonie sous l’égide du prêtre qui deviendra son mentor, celui-ci torture le candidat jusqu'à ce que ce dernier l'arrête ou qu'il meure. Plus il souffre, mieux il est accepté par ses supérieurs. Une bonne quantité des candidats finissent par mourir, la souffrance étant trop forte.
  • Haténesia : Cérémonie où un fanatique est nommé prêtre. Il doit trouver une victime et la sacrifier en l'honneur de son dieu, plus le sacrifice est ignoble et dure longtemps, mieux c'est.
  • Rijgnesia : Cérémonie lors de laquelle un prêtre succède au précédent grand prêtre, c'est le plus doué en magie noire qui est nommé. Il doit lors de cette messe sacrifier plusieurs victimes en même temps comme pour la cérémonie précédente.
  • Le solstice d'hivers nommée Ghwar : chaque membre du temple, qu'il soit fanatique ou grand prêtre, doit sacrifier quelqu'un ou un animal à Thimoros tout en la faisant souffrir un maximum.
  • Les jeux de Thimoros : les garzoks friands de combats et en particulier de combats dans l’arène d’Omyre ont décidé d’initier une fête en honorant Thimoros. Les jeux de Thimoros sont organisés chaque semaine.

Dogmes religieux :

Coutumes de prières :

Les Garzoks préfèrent le prier sur le champ de bataille par des chansons guerrières et en lui faisant des offrandes.

Interdits religieux :

Ils sont au nombre de 2 :

  • Les partisans d’un temple, qu’importe leur grade, sont interdits de séjour dans tous les temples hormis ceux de Phaïtos et de Jerì bien que pratiquement personne ne sache qu'il existe. De même, il est proscrit de se faire soigner par la magie blanche. Si on doit souffrir par une blessure ou autre chose, autant en profiter pour prier son dieu.
  • Il leur est également interdit de manquer de respect à leur(s) supérieur(s) hiérarchiques, ainsi que de blasphémer contre Thimoros ou sa fille Oaxaca.

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Re: Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

Message par Yuimen » sam. 19 janv. 2019 22:38

Chez les Kendrans


Vision de la divinité :

Thimoros est prié relativement secrètement par la société Kendrane même s’il existe un temple en son honneur à Kendra-Kâr. Ceux qui le prient cherchent avant tout à obtenir ses faveurs pour que le commerce illégal continue de prospérer.


Organisation du culte :

Il y a plusieurs niveaux au sein d'un temple :

  • Fidèle : Simple croyant de Thimoros qui se rend aux cérémonies, souvent en cachette car il est rarement bon de se faire voir dans le temple. Il n'a rien d'autre à faire que de prier.
  • Fanatique : Ils sont pour la plupart rattaché à un temple ou à un prêtre itinérant, ils ont pour fonction d'aider leur maître ou leur temple à bien fonctionner et s'assurent de l'entretien des locaux par exemple. Ils servent aussi d'assistant lors des sacrifices en passant les divers outils imaginés par des centaines de prêtres au cours des années. Ils portent comme les fanatiques de Phaïtos, une longue bure noire retenue par une corde noire. Ces fanatiques sont aussi couverts de cicatrices à cause de leur rite de passage.
  • Prêtre : Quand ils deviennent prêtres, ils ont un choix à faire: devenir prêtre itinérant afin d'apporter la souffrance à travers le monde ou se rattacher à un temple. Ils ont chacun la charge d'un fanatique pour l'itinérant et de parfois plusieurs pour ceux des temples. Ils ont en charge leur apprentissage de la magie noire, des règles du culte et des bonnes manières de faire souffrir sans tuer.
    Ils sont vêtus longue robe noire à grand capuchon retenue à la taille par une ceinture rouge sang, qui leur couvre entièrement le corps, du cou jusqu'aux pieds. Le bas de la robe est orné d’une bande de tissu rouge. Ils portent un signe quelconque représentant leur dieu que ce soit des scarifications, des tatouages, des pendentifs ou autres choses.
    Leurs rôles sont la préparation des cérémonies sacrificielles et leur exécution afin qu'elles durent le plus longtemps possible. Ce sont des experts en magie noire ainsi qu'en anatomie afin de pouvoir torturer leurs victimes sans les tuer pendant un temps allant jusqu'à une semaine pour les plus doués.
  • Grand Prêtre : Unique pour chaque temple, il est le maître des lieux. Il a le droit de vie et de mort sur tous ses subordonnés. Ils connaissent tous les secrets de la magie obscure. Ils se chargent de toute la logistique du temple et des règles à appliquer, ils décident aussi des cérémonies et autres fêtes religieuses. Ils arborent la même robe que les prêtres, mis à part des manches et le bord du capuchon teinté en rouge sang. Ils arborent également le pendentif du dieu noir et ont parfois une crosse en argent surmontée d'une lame rappelant la queue d'un scorpion ou d’un scorpion entier, symbole de la divinité.

Fêtes, cérémonies, rituels :

Il y a 3 cérémonies d’intronisation, qui permettent de monter en grade dans la hiérarchie du temple.
  • Ignesia : Rite selon lequel un simple fidèle devient un fanatique attaché au temple. Lors de cette cérémonie sous l’égide du prêtre qui deviendra son mentor, celui-ci torture le candidat jusqu'à ce que ce dernier l'arrête ou qu'il meure. Plus il souffre, mieux il est accepté par ses supérieurs. Une bonne quantité des candidats finissent par mourir, la souffrance étant trop forte.
  • Haténesia : Cérémonie où un fanatique est nommé prêtre. Il doit trouver une victime et la sacrifier en l'honneur de son dieu, plus le sacrifice est ignoble et dure longtemps, mieux c'est.
  • Rijgnesia : Cérémonie lors de laquelle un prêtre succède au précédent grand prêtre, c'est le plus doué en magie noire qui est nommé. Il doit lors de cette messe sacrifier plusieurs victimes en même temps comme pour la cérémonie précédente.
  • Ghwar : lors du solstice d'hiver chaque membre du temple, qu'il soit fanatique ou grand prêtre, doit sacrifier quelqu'un ou un animal à Thimoros tout en la faisant souffrir un maximum.
Dogmes religieux :

Coutumes de prières :

La prière se fait allongé sur le sol, dans une position de soumission préférablement.

Interdits religieux :

Ils sont au nombre de 2 :
  • Les partisans d’un temple, qu’importe leur grade, sont interdits de séjour dans tous les temples hormis ceux de Phaïtos et de Jerì bien que pratiquement personne ne sache qu'il existe. De même, il est proscrit de se faire soigner par la magie blanche. Si on doit souffrir par une blessure ou autre chose, autant en profiter pour prier son dieu.
  • Il leur est également interdit de manquer de respect à leur(s) supérieur(s) hiérarchiques, ainsi que de blasphémer contre Thimoros.

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Re: Thimoros, dieu de l'Ombre et de la Guerre

Message par Yuimen » lun. 4 nov. 2019 09:28

Chez les Ayajpak
Oovoniat, la grand-mère araignée

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Vision de la divinité :

De toutes les divinités des Ayajpak, c'est la plus mystérieuse et la moins vénérée, tout en étant censé être la plus importante ! Elle est née d'un dieu sans nom, jamais vénéré ni représenté, dont elle est aussi l'épouse et qui correspond probablement à Zewen. Ensemble, ils ont donné naissance à Shezal Macktotl et aux jumeaux Utu et Huarakoatli. Ooviniat serait issue d'une vision positive de Valshabarat apportée par les orgami associée au « père » et à la « mère » des liykors, qui faisaient autrefois partie du peuple Ayajpak. Oovoniat apparaît comme une femme araignée aux multiples visages, généralement très vieille. Elle est au-delà des notions de bien et de mal, et peut être aussi redoutable qu'attentionnée. Elle représente la grand-mère attentionnée, la mère protectrice et la fille fidèle. Elle intervient parfois auprès de ses enfants pour calmer leurs querelles, et protège aussi volontiers les mortels. Pour autant, sa puissance et sa volonté de garder l'équilibre coûte que coûte lui donnent un côté effrayant, de sorte qu'elle est la déesse qu'on adore... mais de loin.


Organisation du culte :

Oovoniat ne fait l'objet d'aucun culte précis. Elle est parfois invoquée par les différents prêtres en des occasions, par exemple pour un accouchement, mais ne fait l'objet d'aucun culte particulier. Elle est surtout mentionnée dans les légendes et les rituels d'autres dieux.


Dogmes religieux :

Ooviniat enseigne une règle : les parents doivent aimer leurs enfants et les enfants doivent aimer leurs parents. Les liens de la famille sont les plus forts et l'acte de donner la vie est le plus sacré. Pour autant, la mort viendra briser cela, car le monde est un cycle où les générations se succèdent, inéluctablement.

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