Race et ethnie : Aldryde
Caractéristiques raciales :
- Vol
- Petite taille (27cm)
Classe de départ : Magique
Description physique et de la personnalité :
Eyriella a la peau blanche légèrement dorée par le soleil, des cheveux longs d'un roux de feu dont elle est très fière et une taille de 27cm. Ses habits verts sont en Silm plus épais que la normale, faits sur mesure. Sa ceinture multi-fonction lui a été confectionnée par l'artisane de Grottenbois, il peut contenir deux fioles au total. Il arrive que lors de cérémonies ou d'évènements particuliers elle se teigne en partie le visage de vert au niveau des yeux (voire avatar).
Ses ailes de plumes blanches sont repliées la plupart du temps lorsqu'elle ne vole pas, et sont d'une envergure harmonieuse par rapport à sa taille d'aldryde.
Ingénue, plutôt inculte et illettrée, Eyriella est une Aldryde assez naïve, rêveuse et aventureuse. Son sens de l'humour est très développée de par ses croyances, et elle n'est pas en reste pour une petite farce ou une boutade bien sentie lorsque l'occasion se présente. Elle n'est cependant pas stupide, loin de là ! Sa nature la pousse à aider son prochain, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle est devenue guérisseuse au sein de sa famille aldryde. Pour elle, la souffrance est le mal, et chacun mérite d'en être dispensé dans la mesure de ses propres compétences.
Biographie générale :
Eyriella est née et a vécu toute sa vie à Grottenbois, localisée dans une grotte située derrière une cascade de rivière. Il s'agit d'une masure aldrydique ayant la particularité de n'abriter plus qu'un vieux aldryde mâle dans son sous-sol, donc en voie d'extinction.
On lui a raconté qu'elle se trouvait dans une forêt appartenant au « duché de Gamérian », ce qui n'a pas grand-sens pour elle. Et même que sa forêt natale se nommait « chat qui ment », un nom original selon elle.
L'agglomération humaine la plus proche de sa grotte se trouve être « Mélisse et rats ».
C'est durant sa 66ème année qu'Eyriella découvrit ses capacités naissantes pour la magie, et plus particulièrement celle de la lumière. Ainsi, elle se pencha plus avant sur le petite culte que dévouait Grottenbois à la Déesse Arvoreen, représentant pour toutes le sourire qui illumine un visage en même temps que sa journée. Elle tâcha même de faire sienne la lumière de l'extérieur afin de développer ses pouvoirs, mais sans grand succès jusqu'à présent.
Ainsi, son adolescence aldrydique se déroula entre tâches ménagères quotidiennes, enseignements sur les plantes et les animaux de la forêt auprès des akrillas, rires et farces enfantines, et l'apprentissage à la fois de sa magie guérisseuse, qu'elle mit à profit pour soigner son peuple et prendre soin des animaux de la forêt, mais également de la musique : le chant et la flûte traversière. Elle reçu d'ailleurs une très belle flûte traversière de la part d'une cousine à elle lorsqu'elle devint majeure. Du reste, elle n'a pas pu devenir une akrilla et cela l'a beaucoup chagriné car elle prenait très à cœur le devenir de son village et voulait devenir elle-même mère...
A un rêve secret : pouvoir convoler à nouveau en noce nuptiale et parvenir à mettre au monde au moins un cocon. Pour cela, elle sait qu'il est inutile qu'elle reste à Grottenbois et qu'il va lui falloir parcourir Yuimen.
[HRP : je compte commencer à voir directement dans la forêt du châtiment, en partant de Grottenbois, si ça vous convient ?]
Croyances :
Culte régulier à Avoreen Pétale d'Or, en général dès le matin par un rire chanté à sa gloire, suivi d'une petite improvisation musicale à la flûte sur le thème de la joie et des cabrioles lumineuses....
Compétence/Sort de combat de départ : Souffle de Gaïa
Objets de Départ :
- Petite gourde magique (4/4 doses de potion de mana)
- Petite potion de mana
- Flûte traversière personnelle
- Objets rp : une petite tente de teinte automnale ainsi qu'une couverture de voyage, un peu de ficelle, quelques yus aldrydiques, une gourde, une petite trousse de toilette contenant du savon, un peigne et un peu de maquillage, et le tout dans un grand sac en cuir léger qu'elle porte au bas des reins, pour ne pas que ses ailes la dérange.
