Fafnir Forgeclaire

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Fafnir Forgeclaire
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Fafnir Forgeclaire

Message par Fafnir Forgeclaire » ven. 28 mai 2021 23:57

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Nom : Fafnir Forgeclaire
Race et ethnie : Thorkin
Caractéristiques raciales :
  • Infravision : Adaptés aux environnements les plus sombres, leur acuité visuelle dans l'obscurité totale est parfaite.
  • Sensibilité à la lumière : Peu habitués aux environnements lumineux, ils sont facilement éblouis lorsque confrontés à la lumière vive.
  • Robustesse : Trapus, leur robuste charpente leur permet de résister aux efforts physiques rudes et ponctuels.
  • Solidité corporelle : Leurs os sont épais et solides, presque incassables, et leur peau est épaisse.
  • Faible agilité : L’anatomie qui fait la robustesse des nains les rend également bien moins souples et agiles que la moyenne des mortels, et ils sont ainsi peu enclins aux cabrioles.
Âge : 30 ans
Classe de départ : Mêlée


Description physique et de la personnalité :

T’es une vraie Thorkin, Fafnir. Oui je sais c’est surprenant avec tes 1m22 – tu y tiens à tes deux centimètres – et ta carrure charpentée. T’as les épaules carrées, les bras et les jambes épais et t’as une espèce de crinière blonde touffue sur le crâne que tu ne t’embêtes pas à coiffer, préférant en faire deux couettes sur l’arrière de la tête avec la majeure partie et laisser le reste se balader à sa guise. Ça te donne un genre un peu à toi. C’est un peu ta seule coquetterie, on va dire.
Ton visage est rond et un peu joufflu, comme ceux des bons vivants dont tu fais partie, mais t’as le nez un peu de travers à cause des bagarres auxquelles t’as l’habitude de participer. Et de causer aussi. Au moins t’as de grands yeux verts parfaitement symétriques et des sourcils pas trop touffus comparés au commun des Thorkins et, franchement, tu apprécies, c’est moins chiant à entretenir que les broussailles de certains.
Ta voix est puissante et grave, on t’entend de loin quand tu l’ouvres vu que t’as l’habitude de gueuler comme si tout le monde était sourd. Faut dire qu’entre les bruits de la forge familiale et la musique et les bastons de la taverne, t’as rarement connu d’endroit silencieux. Pas que tu t’en plaignes de toute façon, t’aimes l’activité.

T’as un sacré caractère, pour sûr. On peut te croire arrogante et t’aimes pas prendre des pincettes avec les autres, donc tu ne démens pas vraiment. T’es rancunière au-delà de toute raison. Œil pour œil, dent pour dent, au centuple. T’es une frontale et tu ne rechignes jamais à aller faire rentrer ton opinion à coup de poing ou de tabouret dans le crâne de celui qu’est pas d’accord avec toi. Parfois, il a plus raison que toi et tu finis avec la tronche douloureuse, l’œil violacé et le dos endolori, mais c’est pas grave, t’as bien rigolé. Parce que te battre, t’aimes ça. Tu rêves d’aventures et de combat, de quêtes et de monstres que tu pourrais taper à volonté sans que personne ne s’en plaigne. Qu’on te récompense pour ça, même. Ce serait ta meilleure vie, dans ton esprit. Pour sûr t’arrêterais de te faire chier à la mine ou à la forge où il ne se passe jamais rien.
Toi et les manières, ça fait deux. T’aimes manger et boire, rire et chanter -très faux après deux ou trois pintes- et tu te fiches pas mal de la bienséance que certains essaient de conserver. Par contre tu respectes les anciens, les Longues Barbes et Boucles d’Argent et leur savoir. Eux ont vécu les choses, ils savent de quoi ils parlent et tu te plais à les écouter radoter leurs histoires quand ils te sermonnent, même si tu ne l’avoueras jamais. Tu as ta fierté.
T’as appris à lire, écrire et compter, et ce fut laborieux parce que tu n’es pas très attentive à tous ces trucs et t’es pas la meilleure dans le domaine, clairement, mais ça te sert souvent maintenant, et tu peux te gorger et prendre un air un peu arrogant quand t’arrives à lire un truc que tes comparses de taverne pigent pas. Ça les vexe un instant, mais ça te fait marrer et ça les déride. Parce que t’as un rire communicatif. Un peu gras, mais entraînant que les autres suivent assez facilement. Pour peu que tu les ais pas assommé ou qu’ils soient pas ivres morts.

T’as jamais croisé d’autres races. T’es curieuse, mais tu restes persuadée que vous êtes les meilleurs de toute façon. Meilleurs artisans, meilleurs guerriers, meilleurs bâtisseurs. La liste est longue. T’es Fafnir Forgeclaire, Thorkin et fière de l’être.


Biographie générale :

T’es née à Likhranen, petite ville où rien de palpitant ne se passe jamais. Ton père, Orgin, est un des forgerons de la ville et ta mère, Fireda, une cordonnière. T’as deux frères plus âgés, Tolmir, parti rejoindre l’armée naine dès qu’il en a eu l’âge, et Folion, le chouchou, destiné à reprendre le travail de votre père. Tu as grandi dans la maison familiale, avec tes grands parents et tes cousins et cousines bien plus âgés. Dès que t’as pu, t’es sortie en ville pour rencontrer d’autres Thorkins de ton âge. Tu t’es fait ta place, ta petite réputation, ils savent qu’il faut pas trop t’emmerder. Tu traînes toujours avec l’un d’entre eux : Belegar. Un bagarreur avec qui tu ris autant que tu le frappes et avec qui tu passes tes soirées à la taverne à dépenser le maigre pécule que vos salaires de mineurs vous octroient. Mais il s’est entiché d’une naine et plus rien n’est comme avant.

T’as jamais aimé la vie dans cette ville. Tu t’y ennuies, à vrai dire, et ça se voit. Personne ne te comprend, mais tu rêves de sortir, de voir autre chose que les murs de pierres et d’entendre des sons autres que le martèlement des marteaux de la forge ou des pioches des mines. Tout ça parce qu’un marchand t’a un jour conté les histoires de ses voyages. T’étais encore une enfant et t’as bu ses paroles avec des yeux émerveillés alors que les autres se détournaient pour retourner à ce que tu considères être une triste vie. Depuis, tu ne rêves que d’aventures, de trésors anciens, de gloire et de taper sur tout ce qui ressemble de près ou de loin à un monstre ou un Garzok, voire un elfe, si on te le propose. Tes parents t’ont pourtant enseigné les valeurs de la société Thorkine, le respect aux anciens et aux dieux et l’importance de votre labeur. Mais passé ce moment, tu ne rêvais que de partir.
Ta famille a bien sûr essayé de te faire reprendre raison, de te faire comprendre que ta vie était ici, sous la montagne, à travailler dans les mines avec tes semblables, mais ça ne t’a jamais convenu. Seul ton grand-père, ancien soldat, comprend ton envie et a promis de t’aider, le moment venu. Il n’a pas dit quand, hélas, et un long moment ne passe où tu ne fais que travailler dans les mines ou à la forge de ton père. Taper sur du métal a au moins le mérite d’endurcir ton corps, de forger des muscles que des humains t’envieraient sans doute alors que tu es loin d’égaler ceux des soldats et des forgerons les plus impressionnants parmi ceux de ton peuple.

Et puis un jour, alors que tu te prépares à passer une journée de plus à piocher la pierre pour continuer à utiliser ce filon de fer si réputé dans tout Yuimen, ton grand-père te demande de venir le trouver après ta journée. Il a quelque chose pour toi. T’as oublié, depuis votre dernière conversation, ce qu’il t’avait promis, ce qu’il avait dit qu’il ferait pour t’aider. Mais t’as du flair, Fafnir et tu la sens, cette odeur. L’odeur de l’aventure qui s’ouvre finalement à toi.



Croyances :

Tu pries et loues Valyus, Dieu tutélaire de ton peuple que tu révères comme il se doit. S’il t’arrive de jurer en son nom, tu n’en reste pas moins respectueuse de ses enseignements et de ses préceptes. Tu pries aussi Morazdan, très ancré dans ton foyer, Grunnbarrh lorsque tu t’en vas descendre dans les mines et tu ne cesse de rendre hommage à Bhran Barbe-Mousse lorsque tu passes un peu trop de temps à la taverne. C’est-à-dire très souvent. Et, enfin, tu respectes Skaldon, le dragon gardien des Enfers, que tu espères intérieurement pouvoir affronter lorsque ta vie s’achèvera, dans un duel épique que conteront les bardes alors que les montagnes tremblent encore des coups que vous échangerez. T’as beaucoup d’imagination, Fafnir.



Compétence/Sort de combat de départ :
Passe-garde thorkin : Technique de combat d’une efficacité surprenante, cette manœuvre inventée par les tueurs de Garzoks d’élite de Mertar consiste à se ramasser sur soi-même afin de contourner la défense de l’adversaire par le bas en plus d’emmagasiner l’élan nécessaire pour infliger un violent coup de bas en haut avec son arme.

Objets de Départ :
  • Grand Marteau ancien : Arme de mêlée à deux mains, mauvaise qualité
  • Plastron de plate abimé : Protection de torse lourde, mauvaise qualité
  • Brassards et spallières de plates oxydés : Protection de bras lourde, mauvaise qualité
  • Chope dédiée à Kubi (objet rp)
  • Amulette en forme de marteau gravé d'un éclair (objet rp)
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