Présentation
Silinde
Âge : 287 ans
Race et ethnie : Hinïon
Traits raciaux :
- Méditation : Ne dorment pas. Ils n'ont besoin que de deux heures de méditation pour récupérer leur énergie.
- Ouïe d'elfe : Sensibles aux arts musicaux et aux bruits de la forêt, les elfes blancs sont dotés d'une ouïe fine, à la fois plus sensible et performante.
- Faible constitution : Légers, ils ont les os fins et peuvent aisément se les briser en cas de mauvaise chute.
Description physique et de la personnalité :
D'une taille d'environ un mètre quatre-vingt quinze, après être resté longtemps dans le coma, et avoir vu ses muscles s'atrophier, il perdit sa silhouette guerrière, pour en retrouver une fine et élancée bien plus caractéristique des gens de sa race.
Ses cheveux, désormais longs et blonds se perdent derrière sa nuque.
Ses yeux se sont assombris après avoir participé à la grande guerre, l'une des nombreuses traces que celle-ci laissa sur son corps.
Silinde était tantôt connu pour son impatience, son impertinence, son arrogance, et son gout pour le combat.
Et c'est en toute conscience aujourd'hui qu'il sait que ça a failli le mener à sa propre perte.
Désormais plus réfléchi, patient et sérieux qu’auparavant, il est un nouvel homme, même si son amour pour le combat et l'aventure, resteront toujours les mêmes.
Ses cheveux, désormais longs et blonds se perdent derrière sa nuque.
Ses yeux se sont assombris après avoir participé à la grande guerre, l'une des nombreuses traces que celle-ci laissa sur son corps.
Silinde était tantôt connu pour son impatience, son impertinence, son arrogance, et son gout pour le combat.
Et c'est en toute conscience aujourd'hui qu'il sait que ça a failli le mener à sa propre perte.
Désormais plus réfléchi, patient et sérieux qu’auparavant, il est un nouvel homme, même si son amour pour le combat et l'aventure, resteront toujours les mêmes.
Biographie générale :
Silinde ne se rappelle plus de son passé, récent ou lointain.
Depuis qu'il s'est réveillé d'un long coma, des suites de ses blessures reçues pendant l'attaque d’Oaxaca sur Pohélis, il n'arrive à se remémorer que certaines bribes de ses aventures passées, de ses accomplissements, de certains visages flous de compagnons sur lesquels il n'arrive même pas à remettre un nom, et a même des difficultés à se rappeler de ses proches ou de ses objectifs...
C'est dans un petit village aux alentours d'Oranan qu'il sortit du coma, de nombreuses années après la bataille, avec un corps faible et meurtri, loin de la forme physique qu'il tenait auparavant. Malgré cela, il reprit la route de l'une des rares villes dont il se rappelait, et savait y avoir des connections il fut un temps : Kendra-Kâr.
Avec plus de questions que de réponses, des compagnons de route perdus depuis de longues années, des amis de longues dates dont il ignorait maintenant et le nom et l'actuel statut, c'est dans l'obscurité presque totale que Silinde reprenait son aventure, presque de zéro...
Depuis qu'il s'est réveillé d'un long coma, des suites de ses blessures reçues pendant l'attaque d’Oaxaca sur Pohélis, il n'arrive à se remémorer que certaines bribes de ses aventures passées, de ses accomplissements, de certains visages flous de compagnons sur lesquels il n'arrive même pas à remettre un nom, et a même des difficultés à se rappeler de ses proches ou de ses objectifs...
C'est dans un petit village aux alentours d'Oranan qu'il sortit du coma, de nombreuses années après la bataille, avec un corps faible et meurtri, loin de la forme physique qu'il tenait auparavant. Malgré cela, il reprit la route de l'une des rares villes dont il se rappelait, et savait y avoir des connections il fut un temps : Kendra-Kâr.
Avec plus de questions que de réponses, des compagnons de route perdus depuis de longues années, des amis de longues dates dont il ignorait maintenant et le nom et l'actuel statut, c'est dans l'obscurité presque totale que Silinde reprenait son aventure, presque de zéro...
Croyances :
Silinde, en tant que personne particulièrement pragmatique, ne vénère aucun Dieu. Ne trouvant aucun intérêt à en vénérer un, il ne rejette pas pour autant leur existence, et les tiens en respect. Ils ne font juste pas partie de sa vie, souhaitant être seul maître à bord de sa destinée.