Présentation
Aïlia'Eykhsa
Âge : 62 ans (~19 ans âge humain)
Race et ethnie : Semi-Hinïone
Traits raciaux :
- Ouïe d'elfe : Sensibles aux arts musicaux et aux bruits de la forêts, les elfes blancs sont dotés d'une ouïe fine, à la fois plus sensible et performante.
- Pistage : Par sa capacité d'observation, le personnage est capable de repérer les petits détails nécessaires au suivi de traces dans tous types de milieux.
Description physique et de la personnalité :
Grâce à mon ascendance elfique, je suis considérée comme une belle femme, mes longs cheveux châtains faisant ressortir mes yeux noisettes étirés et le teint quelque peu rosé de mes diverses origines humaines. Mes traits fins sont marqués de pommettes hautes et de lèvres charnues, ainsi que d'un nez légèrement en trompette. Mon corps, lui, est cependant bien plus celui d'une combattante aguerrie ; s'il est petit et menu, il est cependant tout en muscles, me permettant à la fois de passer pour frêle sous mes vêtements amples, de me donner une aisance à me déplacer avec agilité et de me conférer une endurance importante. Si je reste agréable à regarder nue, on peut voir ci et là des marques de mon entraînement rigoureux ou des reliquats de mes expériences passées sous formes de cicatrices ou de quelques muscles particulièrement saillants.
Si j'ai si peu de mal à mentionner ma propre beauté, c'est que je la considère de peu de valeur, ne voyant pas d'intérêt à cette caractéristique en dehors de son utilité à se mouvoir dans la société. Je sais ainsi me servir de mes charmes lorsque cela s'avère utile d'une manière ou d'une autre, mais cela me répugne quelque peu.
Je ne considère pas avoir mauvais fond, mais force est de constater que ma vision de la mort est bien différente de celles d'une majorité de gens. Elle n'est pour moi qu'un passage vers la vie éternelle auprès de Phaïtos, dans les Enfers. Nous sommes tous voués à mourir un jour ou l'autre et le rejoindre, et en tant qu'agent du Dieu de la Mort la dispenser fait partie de mon quotidien. Je n'aime pourtant pas la cruauté ou la méchanceté gratuite, ni ne cautionne la souffrance inutile des mis à morts. Et plus que jamais, je me garde de juger trop hâtivement une personne et de sceller son destin.
Si j'ai si peu de mal à mentionner ma propre beauté, c'est que je la considère de peu de valeur, ne voyant pas d'intérêt à cette caractéristique en dehors de son utilité à se mouvoir dans la société. Je sais ainsi me servir de mes charmes lorsque cela s'avère utile d'une manière ou d'une autre, mais cela me répugne quelque peu.
Je ne considère pas avoir mauvais fond, mais force est de constater que ma vision de la mort est bien différente de celles d'une majorité de gens. Elle n'est pour moi qu'un passage vers la vie éternelle auprès de Phaïtos, dans les Enfers. Nous sommes tous voués à mourir un jour ou l'autre et le rejoindre, et en tant qu'agent du Dieu de la Mort la dispenser fait partie de mon quotidien. Je n'aime pourtant pas la cruauté ou la méchanceté gratuite, ni ne cautionne la souffrance inutile des mis à morts. Et plus que jamais, je me garde de juger trop hâtivement une personne et de sceller son destin.
Biographie générale :
Née dans une famille humaine, issue d'une relation adultère entre ma mère et un hinïon de passage à Tulorim, j'ai été élevée dès mes vingt ans par une elfe blanche s'étant elle-même renommée Equilibre, quand celle-ci a assassiné toute ma famille pour leur comportement qu'elle jugeait irresponsable. En effet, Equilibre pense que Phaïtos, en tant que Dieu de la Mort, est en charge de l'équilibre de l'univers, qui ne serait plus capable de nous abriter, nous mortels, si certaines espèces proliféraient au dépend des autres. C'est pourquoi les familles nombreuses comme celle dont je faisais partie doivent être éradiquées.
C'est ainsi qu'elle m'a élevée, m'inculquant ses valeurs et rentrant un peu plus dans ma tête chaque jour, jusqu'à faire de moi le parfait soldat de Phaïtos, pratiquement exempt de volonté propre. Mais peu après mes soixante-et-un ans, elle m'a envoyée en voyage initiatique. Je devais voir le monde et me débrouiller seule, sans elle, pour la première fois. Jusqu'à être prête. C'est ainsi que je suis partie à Elysian, monde étranger, sous ses conseils, et que j'en suis ressortie lavée de son influence néfaste et de son emprise sur mon esprit. Et dorénavant, en tant qu'agent de Phaïtos, c'est elle ma cible.
C'est ainsi qu'elle m'a élevée, m'inculquant ses valeurs et rentrant un peu plus dans ma tête chaque jour, jusqu'à faire de moi le parfait soldat de Phaïtos, pratiquement exempt de volonté propre. Mais peu après mes soixante-et-un ans, elle m'a envoyée en voyage initiatique. Je devais voir le monde et me débrouiller seule, sans elle, pour la première fois. Jusqu'à être prête. C'est ainsi que je suis partie à Elysian, monde étranger, sous ses conseils, et que j'en suis ressortie lavée de son influence néfaste et de son emprise sur mon esprit. Et dorénavant, en tant qu'agent de Phaïtos, c'est elle ma cible.
Croyances :
Phaïtos est la seule divinité qui importe selon moi. En tant que Dieu de la Mort, il est celui qui donne un sens à la vie et celui qui la régule. En ce sens, Yuimen est un usurpateur. Sans Phaïtos, sa vie pullulerait de manière bien trop abondante et la nature qu'il est supposé chérir tant serait défigurée. Les autres Dieux ne m'attirent que de l'indifférence. Enfin, sans compter Brytha, autoproclamée déesse de l'équilibre quand elle n'y contribue en rien, ce rôle revenant à Phaïtos encore une fois. Elle ne m'attire que dégoût.