Faëlis (Émissaire de la lumière)
Posté : sam. 5 janv. 2019 14:53
Présentation
Faëlis
Âge : 90 ans
Race et ethnie : Hinïon
Traits raciaux :
- Méditation : Ne dorment pas. Ils n'ont besoin que de deux heures de méditation pour récupérer leur énergie.
- Ouïe d'elfe : Sensibles aux arts musicaux et aux bruits de la forêts, les elfes blancs sont dotés d'une ouïe fine, à la fois plus sensible et performante.
- Faible constitution : Légers, ils ont les os fins et peuvent aisément se les briser en cas de mauvaise chute.
Description physique et de la personnalité :
Faëlis est un hinïon, il a une peau blanche et des cheveux d'or qu'il coiffe soigneusement. Il mesure deux mètres et a de longs bras et de longues jambes. Plutôt bien bâti et même musclé pour un elfe, il est aussi très élégant, soucieux de son apparence et s'habille presque toujours de blanc (même s'il reconnaît qu'il faut parfois s'habiller d'une « affreuse cape de voyage » brune ou noir pour parcourir les routes).
Bref, il est incroyablement beau, mais aussi assez arrogant... et incroyablement narcissique. Il aime se regarder dans un miroir et admirer sa propre beauté. Il est convaincu qu'aucune fille ne peut résister à son charme, d'ailleurs, lui même n'y résiste pas. Il a toujours sur lui, en plus d'une amulette de famille, un jeu de peignes et un miroir.
Finalement, il aime faire la fête et s'amuser, et il passe souvent pour un beau gosse naïf et ridicule auprès des autres, ce qu'il remarque rarement. Pourtant malgré cette innocence et cette naïveté, il n'est pas stupide. Il a une une bonne éducation : il aime lire, il apprécie les arts... et tout cela se rapproche de plus en plus de la place de « plaisir n°1 ». Même si se souler et fréquenter des jolies filles reste pour l'instant loin devant !
Il est pourtant convaincu que son peuple est un peu trop « coincé » et devrait s'ouvrir d'avantage au monde. Ce genre de pensée n'a eu de cesse de nourrir un esprit aventurier caché sous les couches de luxe débonnaire et d'insouciance jusqu'à générer cet étrange paradoxe : un hinïon noble et débauché qui rêve de vivre des aventures, de combattre le mal et de revenir à une vie moins noyée sous le luxe et la richesse.
Bref, il est incroyablement beau, mais aussi assez arrogant... et incroyablement narcissique. Il aime se regarder dans un miroir et admirer sa propre beauté. Il est convaincu qu'aucune fille ne peut résister à son charme, d'ailleurs, lui même n'y résiste pas. Il a toujours sur lui, en plus d'une amulette de famille, un jeu de peignes et un miroir.
Finalement, il aime faire la fête et s'amuser, et il passe souvent pour un beau gosse naïf et ridicule auprès des autres, ce qu'il remarque rarement. Pourtant malgré cette innocence et cette naïveté, il n'est pas stupide. Il a une une bonne éducation : il aime lire, il apprécie les arts... et tout cela se rapproche de plus en plus de la place de « plaisir n°1 ». Même si se souler et fréquenter des jolies filles reste pour l'instant loin devant !
Il est pourtant convaincu que son peuple est un peu trop « coincé » et devrait s'ouvrir d'avantage au monde. Ce genre de pensée n'a eu de cesse de nourrir un esprit aventurier caché sous les couches de luxe débonnaire et d'insouciance jusqu'à générer cet étrange paradoxe : un hinïon noble et débauché qui rêve de vivre des aventures, de combattre le mal et de revenir à une vie moins noyée sous le luxe et la richesse.
Biographie générale :
Faëlis est né à Cuilnen, dans la riche et noble famille Nyris'Kassiliane. Il a passé une enfance encore plus choyée et protégée que les autres hinïon. Depuis tout petit, ses parents disent qu'il est le plus beau bébé du monde, et ils le lui répétaient encore à l'age de 40 ans. Il a cependant largement eu le temps de s'habituer aux intrigues de la court... d'autant que sa famille est reconnue pour sa moralité parfois douteuse.
Du coup, il a mené une vie peu passionnante au cours de laquelle le moindre de ses caprices était satisfait. Lorsqu'il eut 40 ans, il dut commencer à chercher un métier. Après plusieurs tentatives infructueuses qui lui auront tout de même appris à pêcher, chasser et reconnaître quelques plantes et baies comestibles, il a décidé de devenir archer. Ce choix est dû à deux facteurs : les rumeurs de guerres qui montaient à la frontière nord et le fait qu'il commençait à s'émanciper et voulait donc un métier qui fasse comprendre à ses parents qu'il voulait maintenant vivre sa vie. Il espérait aussi bien sûr leur faire un peu peur.
La réaction ne se fit pas attendre : « Si tu veux, mon chéri... »
Ce n'était pas vraiment ce qu'il attendait... Mais pourtant, il n'allait pas tarder à découvrir qu'ils étaient pourtant plus attentif à ce qu'il faisait qu'ils n'en donnaient l'impression. Pas de la façon qu'il aurait voulu, hélas.
Faëlis tarda à se distinguer comme archer. La même remarque émanait toujours des professeurs : de grandes capacités quand il se concentre... mais préfère généralement se concentrer sur les filles qui viennent regarder les entrainements. Le même genre de critiques tombèrent bientôt de la part de nombreuses autres familles qui avaient surpris leur propre fille avec le jeune homme. Les parents de Faëlis ne purent bientôt plus les ignorer. Il signalèrent à leur fils qu'un hinïon ne se comportait pas comme ça, ce qui provoqua chez lui une vive colère et l'impression que toute la ville s'opposait à sa soif de liberté et à sa conception de l'amour. Il en avait marre des réceptions mondaines et des prétendantes qui se pressaient autour de lui en cherchant à lui passer la bague au doigt. Il ne s'imaginait pas marié, et encore moins avec une femme qui s'intéressait surtout à la fortune de ses parents et au prestige de pouvoir mettre ce bel homme dans son lit.
Il finit par laisser tout cela de côté et profita du fait qu'il était maintenant interdit de sortie le soir pour continuer à dévorer la bibliothèque familiale. Il finit par apprendre l'existence d'un lieu dans la lointaine Kendra Kâr, appelé le temple des plaisir, où il pourrait vraiment être lui-même. L'idée commença à germer qu'il devrait peut être tout simplement quitter Cuilnen pour découvrir le monde...
Du coup, il a mené une vie peu passionnante au cours de laquelle le moindre de ses caprices était satisfait. Lorsqu'il eut 40 ans, il dut commencer à chercher un métier. Après plusieurs tentatives infructueuses qui lui auront tout de même appris à pêcher, chasser et reconnaître quelques plantes et baies comestibles, il a décidé de devenir archer. Ce choix est dû à deux facteurs : les rumeurs de guerres qui montaient à la frontière nord et le fait qu'il commençait à s'émanciper et voulait donc un métier qui fasse comprendre à ses parents qu'il voulait maintenant vivre sa vie. Il espérait aussi bien sûr leur faire un peu peur.
La réaction ne se fit pas attendre : « Si tu veux, mon chéri... »
Ce n'était pas vraiment ce qu'il attendait... Mais pourtant, il n'allait pas tarder à découvrir qu'ils étaient pourtant plus attentif à ce qu'il faisait qu'ils n'en donnaient l'impression. Pas de la façon qu'il aurait voulu, hélas.
Faëlis tarda à se distinguer comme archer. La même remarque émanait toujours des professeurs : de grandes capacités quand il se concentre... mais préfère généralement se concentrer sur les filles qui viennent regarder les entrainements. Le même genre de critiques tombèrent bientôt de la part de nombreuses autres familles qui avaient surpris leur propre fille avec le jeune homme. Les parents de Faëlis ne purent bientôt plus les ignorer. Il signalèrent à leur fils qu'un hinïon ne se comportait pas comme ça, ce qui provoqua chez lui une vive colère et l'impression que toute la ville s'opposait à sa soif de liberté et à sa conception de l'amour. Il en avait marre des réceptions mondaines et des prétendantes qui se pressaient autour de lui en cherchant à lui passer la bague au doigt. Il ne s'imaginait pas marié, et encore moins avec une femme qui s'intéressait surtout à la fortune de ses parents et au prestige de pouvoir mettre ce bel homme dans son lit.
Il finit par laisser tout cela de côté et profita du fait qu'il était maintenant interdit de sortie le soir pour continuer à dévorer la bibliothèque familiale. Il finit par apprendre l'existence d'un lieu dans la lointaine Kendra Kâr, appelé le temple des plaisir, où il pourrait vraiment être lui-même. L'idée commença à germer qu'il devrait peut être tout simplement quitter Cuilnen pour découvrir le monde...
Croyances :
Faëlis croit fermement en la beauté et l'importance qu'elle a dans le monde. Il est convaincu que les arts sont la clé du bonheur et que le monde devrait les développer pour s'embellir. Et bien sûr, se considérant comme un parangon de beauté, il est lui-même une merveille qui doit être préservée. Pour ces raisons, bien qu'il ait été éduqué à vouer un culte à Gaïa, il aime particulièrement Yuia. Il n'est pas très pratiquant mais dédie à l'une à à l'autre des prières occasionnelles. Quant aux autres dieux, il les respecte, sauf les dieux noirs...