Présentation
Fenouil
Âge : 16 ans
Race et ethnie : Gobelin
Traits raciaux :
- Faible force : petits, malingres, ils ne sont pas aptes à réaliser des épreuves de force intenses.
- Vision nocturne : Capacité de voir de nuit, à la lueur des étoiles et de la lune, comme en plein jour.
- Agilité : Plus souples que la normale, ils ont une prédestination à la cabriole.
Description physique et de la personnalité :
Fenouil est un jeune gobelin en pleine adolescence. Comme tous les gobelins, il n’est pas très joli. Ses grands yeux innocents, son sourire naïf, sa peau verte et son petit crâne dégarni au sommet lui confèrent cependant un certain charme. Il est difficile de résister à ce petit personnage tellement il est attachant. Il aime bien les gens et recherche continuellement leur compagnie. Il entre d’ailleurs facilement en contact avec tous les êtres vivants, peu importe leur allure ou leur race. Il est très intelligent, mais aussi très naïf, étant dépourvu totalement de méchanceté, il oublie rapidement que les gens ne sont pas comme lui. Lorsqu’il s’attache à quelqu’un, il sera prêt à se sacrifier pour cette personne. Très sensible, son cœur sera brisé si son ami se moque de lui.
Il a cependant un petit défaut qui lui attire des ennuis, il aime collectionner des objets de toutes sortes, et lorsqu’il convoite un objet, il s’en approprie sans scrupule et sans arrière-pensée. Avec le temps, il est devenu un très bon voleur.
Il a cependant un petit défaut qui lui attire des ennuis, il aime collectionner des objets de toutes sortes, et lorsqu’il convoite un objet, il s’en approprie sans scrupule et sans arrière-pensée. Avec le temps, il est devenu un très bon voleur.
Biographie générale :
Les gobelins n’ayant pas l’esprit de famille, Fenouil a été abandonné dans la forêt de Bouhen par ses parents biologiques alors qu’il n’était qu’un tout petit bébé. Ti-Jean, ermite habitant dans le fin fond de la forêt, l’a retrouvé et l’a recueilli. Fenouil était mal en point, plus fragile, moins vigoureux que les autres bébés gobelins, Ti-Jean a passé quelques nuits blanches à veiller sur le petit être chétif. Une fois le bébé rétabli, l’ermite entreprit de lui trouver une famille adoptive. Par chance, il connaissait un vieux couple d’humains dont la femme n’avait jamais réussi à enfanter, ses nombreuses grossesses s’étant toujours soldées par des avortements naturels, son corps rejetant toujours des fœtus morts in utérus. Le vieux couple d’humains accueillit chaleureusement le petit Gobelin dans leur foyer et le choya comme s’il était leur propre enfant nonobstant sa race. Celui-ci connaissant l’histoire de sa naissance et de son adoption a toujours été reconnaissant envers ses parents et envers l’ermite qu’il revit à deux occasions lors de visite que ceux-ci rendaient au vieil homme casanier. Puisqu’ils étaient très vieux, ils moururent lorsque Fenouil était en pleine adolescence. Celui-ci les aimait énormément et a pleuré beaucoup lors de leurs enterrements, mais son cœur était exempt de colère ou d’agressivité. Déjà malade depuis quelque temps, ces derniers avaient préparé Fenouil à accepter leur départ. Son père décéda le premier, et sa mère le rejoint quelques semaines plus tard. Fenouil se trouva un emploi dans une petite auberge, il desservait les tables et aidait dans la cuisine à faire de menus travaux et de petites corvées. L’aubergiste, un homme bon, en retour lui offrait la nourriture et le gîte. Fenouil trouvait son bonheur dans cet emploi, puisque ce dernier lui permettait de rencontrer plein de gens. Fenouil étant très sympathique, la plupart des clients lui rendaient la pareille. Un jour, il vit Azalée, guerrière humaine, entrer dans l’auberge et il eut le coup de foudre pour cette dernière. Il quitta son emploi et la suivit partout où elle allait, lui subtilisant de petits objets, qu’il gardait précieusement dans son sac.
Après plusieurs mésaventures, il erre à présent dans les rues de Bouhen.
Après plusieurs mésaventures, il erre à présent dans les rues de Bouhen.
Croyances :
Fenouil n’est pas sot, il sait bien que les dieux existent. Mais il n’en vénère aucun et ne fait jamais de prière. Il ne les croit pas accessible pour le petit yuimenien qu’il est et ne se préoccupe guère d’eux.