Présentation
Yurlungur Elvent
Âge : 13 ansRace et ethnie : Humain (Varrock)
Traits raciaux :
- Équilibriste : Grâce à sa dextérité, le personnage est capable de ne pas tomber, même dans des situations précaires (Ex : marche sur un toit, marche sur une rambarde de navire en pleine mer,...).
- Saut Carpé : Permet de se relever très rapidement par un saut lorsque l'on est allongé à terre, sans consommer d'initiative et sans être considéré comme une action.
Description physique et de la personnalité :
Yurlungur est une jeune fille de treize ans, aux cheveux noirs, courts et hirsutes, au regard d'un bleu aussi cristallin que tranchant. Si les premières formes de l'adolescence commencent à poindre sous sa mine tantôt grave et austère, tantôt rieuse et enfantine, elles sont discrètes et écrasées sans ménagement par la nécessité de se montrer forte, fière et brutale. Quoique sa voix soit encore fraîche et légère par son timbre, elle n'en parle pas moins avec un tact et une assurance qu'on pourrait aisément confondre avec un orgueil certain. Son apparente jeunesse est bien vite ternie par ces marques de violence, subie autrefois et aujourd'hui exécutée, ces gestes empreints d'une précision mortelle et d'une force réelle. Ce corps est traversé de muscles puissants, bien qu'encore à la mesure de la jeune fille : il n'est pas conçu pour la beauté, mais pour la guerre.
Sa peau est aussi blanche que son âme est noire : sous le sourire de l'enfant se cache un monstre torturé, un amas de haine, fureur et souffrance mélangées dans un enchevêtrement d'où, parfois, ressort un brin d'humanité, par hasard ou par ruse. Il n'y a peut-être que ses intérêts propres qui comptent : elle méprise les autres, car elle ne les sent pas souffrir, eux. Pourtant, l'enfance n'a pas entièrement disparu sous ce regard bleu, qui, malgré une intelligence perçante et une méfiance aiguë, se leurre parfois autant qu'elle est capable de tromper les autres.
Extrêmement défiante vis-à-vis de la magie, Yurlungur honore en revanche les compétences martiales, apprécie les conteurs qui connaissent des histoires, les présences rassurantes qui remplacent une mère, pour un temps. Capable du meilleur comme du pire, elle méprise la faiblesse sans voir la sienne propre et essaie de se construire une voie à travers l'obscurité poisseuse de sa morale vacillante.
Sa peau est aussi blanche que son âme est noire : sous le sourire de l'enfant se cache un monstre torturé, un amas de haine, fureur et souffrance mélangées dans un enchevêtrement d'où, parfois, ressort un brin d'humanité, par hasard ou par ruse. Il n'y a peut-être que ses intérêts propres qui comptent : elle méprise les autres, car elle ne les sent pas souffrir, eux. Pourtant, l'enfance n'a pas entièrement disparu sous ce regard bleu, qui, malgré une intelligence perçante et une méfiance aiguë, se leurre parfois autant qu'elle est capable de tromper les autres.
Extrêmement défiante vis-à-vis de la magie, Yurlungur honore en revanche les compétences martiales, apprécie les conteurs qui connaissent des histoires, les présences rassurantes qui remplacent une mère, pour un temps. Capable du meilleur comme du pire, elle méprise la faiblesse sans voir la sienne propre et essaie de se construire une voie à travers l'obscurité poisseuse de sa morale vacillante.
Biographie générale :
Yurlungur est née à Dahràm, d'un père homme de main du Gros Néral et d'une mère enfuie avec lui de Kendra Kâr, où un autre destin l'attendait. Les souvenirs qui datent de sa prime enfance sont floues. Il y eut l'invasion de Dahràm par les troupes d'Oaxaca, qu'elle vécut dans une relative terreur, puis le seul événement réellement marquant, qui a éclipsé tout le reste : le meurtre sauvage de son père, sous ses yeux propres, suite à un différend fâcheux et fort trouble avec des acteurs de la pègre de Dahràm. Sa mère devint partiellement folle : elle-même entendit pendant quelques années une voix étrange dans sa tête, qu'elle finit par nommer Asmodée.
Il fallut gagner sa vie et la jeune fille fut rapidement engagée auprès du Gros Néral. Qui la verrait comme un danger ? L'horreur du meurtre disparut sous les conseils de la mielleuse Asmodée. À Dahràm, la ville des pirates, elle finit par grandir, trouver un mentor, des amis, des alliés, se faire des ennemis et des adversaires à sa mesure. Et même un amoureux...
Tout cela passa. Un accès de folie laissa la voie libre à Asmodée et sa mère fut tuée. Dévastée, Yurlungur chassa de son esprit la voix retorse qui lui avait fait commettre un tel acte et s'enfuit, vers Aliaénon, un nouveau monde où elle tentera de chercher une nouvelle voie, une nouvelle famille, une nouvelle destinée...
Il fallut gagner sa vie et la jeune fille fut rapidement engagée auprès du Gros Néral. Qui la verrait comme un danger ? L'horreur du meurtre disparut sous les conseils de la mielleuse Asmodée. À Dahràm, la ville des pirates, elle finit par grandir, trouver un mentor, des amis, des alliés, se faire des ennemis et des adversaires à sa mesure. Et même un amoureux...
Tout cela passa. Un accès de folie laissa la voie libre à Asmodée et sa mère fut tuée. Dévastée, Yurlungur chassa de son esprit la voix retorse qui lui avait fait commettre un tel acte et s'enfuit, vers Aliaénon, un nouveau monde où elle tentera de chercher une nouvelle voie, une nouvelle famille, une nouvelle destinée...
Croyances :
Yurlungur, suite au décès de son père, a commencé à vouer un culte à Phaïtos. N'ayant que très peu d'éléments, cette croyance était plus fondée sur la conviction que cela évitera à sa famille d'autres malheurs et que son père, où qu'il se trouve - s'il restait quelque part une trace de lui entre les mains de Phaïtos -, ait accès à un véritable repos. Le meurtre brutal du reste de sa famille l'a distanciée de ces cultes : elle n'en pratique plus aucun depuis qu'elle est sur Aliaénon.
Elle a une certaine méfiance envers Oaxaca, voyant son influence comme néfaste à la cité fondamentalement libre de Dahràm.
Yurlungur déteste la magie, qu'elle voit comme une forme de puissance étrange semi-mystique et surtout incontrôlable (par elle, donc qu'importe que d'autres la maîtrisent).
Elle a une certaine méfiance envers Oaxaca, voyant son influence comme néfaste à la cité fondamentalement libre de Dahràm.
Yurlungur déteste la magie, qu'elle voit comme une forme de puissance étrange semi-mystique et surtout incontrôlable (par elle, donc qu'importe que d'autres la maîtrisent).