Présentation
Jorus Kayne
Âge : 25 ansRace et ethnie : Humain (Wiehl)
Traits raciaux :
- Equilibriste : Grâce à sa dextérité, le personnage est capable de ne pas tomber, même dans des situations précaires (Ex : marche sur un toit, marche sur une rambarde de navire en pleine mer,...).
- Grand saut : Permet de faire des sauts plus hauts que la plupart des gens (2m en hauteur maximum. 7m de long maximum)
Description physique et de la personnalité :
Comme de nombreux habitants d’Eniod, le soleil chaud de sa ville natale a rendu la peau de Jorus plus mat que la plupart des Wiehlois. D'un mètre quatre-vingts, il arbore des cheveux bruns foncé, presque noirs, arrivant au dessus des épaules et à force de naviguer en met, il a également pris l’habitude de laisser pousser légèrement sa pilosité faciale. Jorus possède également des yeux verts envoûtant, qui lui permettent de détourner le regard de quelques cicatrices sur le visage et il est rare qu’il n’arbore pas un petit sourire en coin.
De sa vie de voleur à la tire, sur les bateaux sillonnant les mers, ou dans ses nombreuses aventures, Jorus ne cesse d’user des facultés athlétiques de son corps. Sur le toit des habitations ou grimpant les mâts des navires, Jorus aime se déplacer où il le veut. Craignant les entraves à sa liberté de mouvement, il éprouve un plaisir étrange à étirer durement son corps pour garder sa souplesse et son agilité, aussi utile pour amuser la galerie par ses acrobaties que durant ses combats.
Jorus est un être assez jovial et souriant. Il aime la vie, autant qu’il aime attirer l’attention sur ses pitreries et ses blagues, cachant par là même son manque de confiance en lui. Cependant, il est aussi meurtri à l’intérieur. Ayant vécu sans parents dans les rues d’Eniod, il a survécu grâce à la présence de deux amis d’enfance partageant le même destin et de la protection d’un couple. Même s’il ne veut pas l’admettre, Jorus a besoin d’être entouré pour se sentir utile en aidant ses proches. Un besoin qui peut l’amener à un état terrible s’il n’est pas à la hauteur. Cependant, il est capable d’une grande détermination lorsque le besoin s’en fait ressentir. Jorus ne parle jamais de sa famille. Il n’a aucun souvenir de ses propres parents, si ce n’est un bijou qui ne le quitte jamais, ainsi que la vision d’un incendie, qui lui rend souvent visite dans ses rêves.
De sa vie de voleur à la tire, sur les bateaux sillonnant les mers, ou dans ses nombreuses aventures, Jorus ne cesse d’user des facultés athlétiques de son corps. Sur le toit des habitations ou grimpant les mâts des navires, Jorus aime se déplacer où il le veut. Craignant les entraves à sa liberté de mouvement, il éprouve un plaisir étrange à étirer durement son corps pour garder sa souplesse et son agilité, aussi utile pour amuser la galerie par ses acrobaties que durant ses combats.
Jorus est un être assez jovial et souriant. Il aime la vie, autant qu’il aime attirer l’attention sur ses pitreries et ses blagues, cachant par là même son manque de confiance en lui. Cependant, il est aussi meurtri à l’intérieur. Ayant vécu sans parents dans les rues d’Eniod, il a survécu grâce à la présence de deux amis d’enfance partageant le même destin et de la protection d’un couple. Même s’il ne veut pas l’admettre, Jorus a besoin d’être entouré pour se sentir utile en aidant ses proches. Un besoin qui peut l’amener à un état terrible s’il n’est pas à la hauteur. Cependant, il est capable d’une grande détermination lorsque le besoin s’en fait ressentir. Jorus ne parle jamais de sa famille. Il n’a aucun souvenir de ses propres parents, si ce n’est un bijou qui ne le quitte jamais, ainsi que la vision d’un incendie, qui lui rend souvent visite dans ses rêves.
Biographie générale :
Voleur depuis son enfance, Jorus arpente les rues avec ses amis Garvech et Ysolde. Bien que volant les marchés, ils étaient souvent relâchés pour deux raisons : ils ne volaient que de la nourriture et Farène, la femme de l’un des sergents, veillait sur Jorus qui le considérait comme son fils.
Un matin les choses ont dérapé devant une bijouterie. Durza, le propriétaire, reconnut Jorus comme étant le fils de deux habitants morts dans un incendie il y a plus de dix ans. Prit d’une fureur étrange, il aurait tué Jorus si ses amis n’étaient pas intervenus. De retour après avoir fui dans le dédale des rues d’Eniod, Farène leur apprit que l’incendie d’il y a dix ans tua deux habitants, les parents de Jorus. Bien que le corps de l’enfant n’ait jamais été retrouvé on le considéra comme mort. A l’époque Durza fut pointé du doigt pour meurtre, mais ne fut jamais inquiété.
Le sachant en danger, Farène envoya Jorus prendre le bateau par le biais de l’un de ses amis. Il partit, laissant derrière lui son meilleur ami, celle qu’il aime et voyagea à bord d’un navire marchant.
Plus de trois ans plus tard, il revint à Eniod.
Un matin les choses ont dérapé devant une bijouterie. Durza, le propriétaire, reconnut Jorus comme étant le fils de deux habitants morts dans un incendie il y a plus de dix ans. Prit d’une fureur étrange, il aurait tué Jorus si ses amis n’étaient pas intervenus. De retour après avoir fui dans le dédale des rues d’Eniod, Farène leur apprit que l’incendie d’il y a dix ans tua deux habitants, les parents de Jorus. Bien que le corps de l’enfant n’ait jamais été retrouvé on le considéra comme mort. A l’époque Durza fut pointé du doigt pour meurtre, mais ne fut jamais inquiété.
Le sachant en danger, Farène envoya Jorus prendre le bateau par le biais de l’un de ses amis. Il partit, laissant derrière lui son meilleur ami, celle qu’il aime et voyagea à bord d’un navire marchant.
Plus de trois ans plus tard, il revint à Eniod.
Croyances :
Après son séjour sur l’île des elfes dorés où résident les dieux, Jorus ne nie pas l’existence des dieux. Loin des préceptes divins, Jorus les considère comme des entraves à sa liberté. Il est son propre dieu, vivant sa propre histoire et ne suit que ses principes moraux en guise de ligne de conduite. Déjà avant son bref séjour, il n’avait aucun intérêt pour eux, alors ce n’est pas maintenant qu’il a connaissance d’un total désintérêt des divinités, qu’il va commencer à changer d’avis. Les seules exceptions restent cependant Kubi lorsque le besoin de faire la fête se fait sentir ainsi que Sithi, déesse représentée par la lune, qui lui aurait tenu compagnie durant sa fuite d’Eniod sur un bateau.