Présentation
Goetius Gomorrheus
Âge : 33ans
Race et ethnie : Humain Kendran
Traits raciaux :
- Marche silencieuse : permet de se déplacer en faisant le moins de bruits possibles, quelque soit le terrain.
- Pistage : Par sa capacité d'observation, le personnage est capable de repérer les petits détails nécessaires au suivi de traces dans tous types de milieux.
Description physique et de la personnalité :
D'une taille et d'un poids moyen, il s'habille surtout de tenues sombres qu'il a hérité de son père ou d'autres habits qu'il trouva lors d'une de ces escapades.
Sa voix, lors des rares moment où il la fait entendre, est très grave et plutôt suave.
Très solitaire et misanthrope, il ne cherchera jamais à trouver de la compagnie. Il aime particulièrement le silence et l'obscurité, dans lesquelles il s'isole quelquefois pour s'apaiser.
S'il lui arrive de tuer, il n'y ressent pas pour autant de plaisirs sadiques particuliers. Il le fait souvent d'une façon sanguine, sans réfléchir, parce qu'il trouve que c'est nécessaire, parce qu'on le dérangeait alors qu'il ne le voulait pas et/ou était concentré sur autre voulait que cette nuisance cesse rapidement. L'inspiration de la peur étant un bon moyen préventif au dérangement, il a aussi appris à en user comme il se doit, ça a même fini par lui plaire.
Son caractère est plutôt grave et son visage assez peu expressif. Il a aussi développé au fils des années un certain goût pour tout ce que les autres êtres humains rapportaient à la peur. Pour lui, aller explorer des ruines lugubres ressemble davantage à un réel plaisir qu'à une exploration à faire par nécessité ou à contre-cœur. Il préfère d'ailleurs toujours tenter l'expérience par temps de brouillard ou de nuit, ceux-ci posant à son sens une aura de mystère qu'il appréciait.
Dans ses fantasmes, le monde serait ainsi : Vide de toute présence possiblement dérangeante, rempli de ruines mystérieuses à explorer, soumis à de longues nuits et d'épais brouillard. Les populations ayant disparu, ce qui est maintenant des villages, villes et autres lieux de vies deviendraient instantanément tous abandonnés et serait donc autant d'endroits à découvrir sous un nouvelle angle, sans avoir à subir la présence et les jugements de quiconque."
Sa voix, lors des rares moment où il la fait entendre, est très grave et plutôt suave.
Très solitaire et misanthrope, il ne cherchera jamais à trouver de la compagnie. Il aime particulièrement le silence et l'obscurité, dans lesquelles il s'isole quelquefois pour s'apaiser.
S'il lui arrive de tuer, il n'y ressent pas pour autant de plaisirs sadiques particuliers. Il le fait souvent d'une façon sanguine, sans réfléchir, parce qu'il trouve que c'est nécessaire, parce qu'on le dérangeait alors qu'il ne le voulait pas et/ou était concentré sur autre voulait que cette nuisance cesse rapidement. L'inspiration de la peur étant un bon moyen préventif au dérangement, il a aussi appris à en user comme il se doit, ça a même fini par lui plaire.
Son caractère est plutôt grave et son visage assez peu expressif. Il a aussi développé au fils des années un certain goût pour tout ce que les autres êtres humains rapportaient à la peur. Pour lui, aller explorer des ruines lugubres ressemble davantage à un réel plaisir qu'à une exploration à faire par nécessité ou à contre-cœur. Il préfère d'ailleurs toujours tenter l'expérience par temps de brouillard ou de nuit, ceux-ci posant à son sens une aura de mystère qu'il appréciait.
Dans ses fantasmes, le monde serait ainsi : Vide de toute présence possiblement dérangeante, rempli de ruines mystérieuses à explorer, soumis à de longues nuits et d'épais brouillard. Les populations ayant disparu, ce qui est maintenant des villages, villes et autres lieux de vies deviendraient instantanément tous abandonnés et serait donc autant d'endroits à découvrir sous un nouvelle angle, sans avoir à subir la présence et les jugements de quiconque."
Biographie générale :
Goetius Gomorrheus est le premier fils de Lupercus et Vesta, de modestes paysans qui vivaient dans un petit hameau du comté de Mordansac, dans le duché de Valorian.
Très tôt, ses tendances sociopathiques furent comprises par les habitants malgré le déni dans lequel avaient plongé ses parents.
Plusieurs rumeurs et autres superstitions eurent vite fait de fuser sur lui et sa famille, dont ils firent longtemps les frais.
Dans une bagarre avec d'autres enfants durant laquelle son petit frère Sylvio fut battu à mort, il se découvrit la capacité d'user de fluides d'obscurité, tuant ainsi un des enfants.
Vesta, ayant perdu un de ses fils et finissant par admettre la monstruosité de Goetius, se suicida peu après et Lupercus fut assassiné par le père de l'enfant que Goetius avait tué.
Après ces événements, Goetius se retrouva seul à vivre dans la ferme familiale, vivant de ses cultures, sa réputation d'être maudit le prémunissant de toute intrusion.
Il devint ainsi un être solitaire, se plaisant dans le rôle du terrifiant, qui, lorsque les cultures ne lui prenaient pas son temps, s'occuper en explorant les forêts et les ruines.
Ce jusqu'à ce qu'il reçoive, contre toute attente, une lettre cacheté du comte de Mordansac.
Il se rendit à son château et le comte lui apprit qu'il voulait faire de lui un maître de l'obscurité digne de ce nom, un nécromant qui le servirait.
Après plusieurs péripéties qui l'ont mené à s'absenter du comté et à devenir un véritable nécromant, Goetius a commis l'irréparable en s'en prenant aux hommes du seigneur Vledic et en mentionnant son appartenance à la cour de Mordansac : Le duché de Valorian allait vivre une nouvelle guerre interne.
Très tôt, ses tendances sociopathiques furent comprises par les habitants malgré le déni dans lequel avaient plongé ses parents.
Plusieurs rumeurs et autres superstitions eurent vite fait de fuser sur lui et sa famille, dont ils firent longtemps les frais.
Dans une bagarre avec d'autres enfants durant laquelle son petit frère Sylvio fut battu à mort, il se découvrit la capacité d'user de fluides d'obscurité, tuant ainsi un des enfants.
Vesta, ayant perdu un de ses fils et finissant par admettre la monstruosité de Goetius, se suicida peu après et Lupercus fut assassiné par le père de l'enfant que Goetius avait tué.
Après ces événements, Goetius se retrouva seul à vivre dans la ferme familiale, vivant de ses cultures, sa réputation d'être maudit le prémunissant de toute intrusion.
Il devint ainsi un être solitaire, se plaisant dans le rôle du terrifiant, qui, lorsque les cultures ne lui prenaient pas son temps, s'occuper en explorant les forêts et les ruines.
Ce jusqu'à ce qu'il reçoive, contre toute attente, une lettre cacheté du comte de Mordansac.
Il se rendit à son château et le comte lui apprit qu'il voulait faire de lui un maître de l'obscurité digne de ce nom, un nécromant qui le servirait.
Après plusieurs péripéties qui l'ont mené à s'absenter du comté et à devenir un véritable nécromant, Goetius a commis l'irréparable en s'en prenant aux hommes du seigneur Vledic et en mentionnant son appartenance à la cour de Mordansac : Le duché de Valorian allait vivre une nouvelle guerre interne.
Croyances :
Goetius croit en les dieux, mais pour lui seuls trois méritent son attention : Zewen, Phaïtos et, dans une moindre mesure, Yuimen.
Il est persuadé que Zewen lui a écrit une destinée grandiloquente : Devenir celui qui fera cesser toute vie sur le monde.
Sa vision envers Phaïtos est plutôt changeante ; il le voit des fois comme un mentor qui lui permet d'utiliser ses fluides et la nécromancie, qui lui donne les outils pour accomplir sa destinée... Puis il le voit parfois comme l'ultime rival, un dieu qu'il devrait renverser et dont il prendrait la place.
Il garde aussi une certaine sympathie pour Yuimen, qui lui a toujours permis d'avoir des récoltes satisfaisantes.
Les autres dieux n'ont aucun intérêt pour lui.
Il est persuadé que Zewen lui a écrit une destinée grandiloquente : Devenir celui qui fera cesser toute vie sur le monde.
Sa vision envers Phaïtos est plutôt changeante ; il le voit des fois comme un mentor qui lui permet d'utiliser ses fluides et la nécromancie, qui lui donne les outils pour accomplir sa destinée... Puis il le voit parfois comme l'ultime rival, un dieu qu'il devrait renverser et dont il prendrait la place.
Il garde aussi une certaine sympathie pour Yuimen, qui lui a toujours permis d'avoir des récoltes satisfaisantes.
Les autres dieux n'ont aucun intérêt pour lui.
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