Présentation
Nessandro
Âge : 71 ans
Race et ethnie : Aldryde
Traits raciaux :
- Petite taille : Avantage comme inconvénient, si c'est parfois pratique, il n'est pas toujours simple d'être petit dans un monde de grands.
- Vol : Dotés d'ailes, les aldrydes ont la capacité de voler
Description physique et de la personnalité :
Nessandro est encore l'équivalent d'un adolescent à l'échelle aldryde. Il mesure un peu plus de dix-huit centimètres de haut, un corps rendu athlétique par les activités aériennes et martiales pratiquées, et un aspect, autrefois en phase avec son jeune âge, différant totalement des standards de sa race. Peau, plumage et chevelure -hormis un centimètre ou deux au niveau de la pointe de celle-ci- ont adopté une teinte charbon dénuée du moindre reflet, résultat de la corruption brutale causée par un objet maudit. Si son visage a encore des traits reflétant sa jeunesse et une certaine douceur, ceux-ci sont mis à mal par la présence d'une balafre impossible à manquer sur sa joue droite, partant du coin de ses lèvres et jusqu'à l'aplomb de sa pommette. Ses yeux sont d'un bleu si sombre qu'ils paraissent noirs et offrent de toute manière un regard soit glacial soit ouvertement hostile à ce qu'ils voient.
Si l'influence d'un certain aldryde fréquenté au quotidien tempère quelque peu ses accès de rage les plus virulents, il n'en reste pas moins que Nessandro demeure comparable à un animal sauvage. Instinctif, hautain, têtu, amer et méprisant au minimum, il compense ces points par une intelligence développée et une bonne dose de ruse. Il est perpétuellement tiraillé entre deux envies contradictoires : une soif effrénée de liberté sous ses différentes formes et un souhait, issu d'un profond sentiment de solitude qu'il refuse de s'avouer, d'être accepté pour qui il est vraiment afin de se lier sincèrement à l'être capable de cet exploit. Problème : à ses yeux, l'amitié n'est qu'un subterfuge pour faire baisser sa garde à quelqu'un, histoire d'avoir moins d'obstacles pour le poignarder dans le dos par la suite. De même, il est secrètement effrayé par le sentiment d'amour, capable de faire faire des choses stupides, de causer une atroce dépendance et une perte de contrôle au plus posé des êtres.
Ayant grandi entouré d'hypocrisie, les compliments sincères lui sont totalement étrangers et le laissent généralement interloqué, en quête des intentions cachées derrière. Les concepts de bien et de mal lui sont fondamentalement flous et interprétables à sa guise, le rendant difficile à anticiper. Il est tout aussi bien capable de coopérer dans un but commun que de s'en prendre sans explication à quelqu'un (généralement incapable de savoir ce qui aura causé cette réaction). Il voue un mépris affiché à toute créature plus grande que lui, ainsi qu'une haine sans commune mesure envers les humains et plus particulièrement les créatures féminines.
Si l'influence d'un certain aldryde fréquenté au quotidien tempère quelque peu ses accès de rage les plus virulents, il n'en reste pas moins que Nessandro demeure comparable à un animal sauvage. Instinctif, hautain, têtu, amer et méprisant au minimum, il compense ces points par une intelligence développée et une bonne dose de ruse. Il est perpétuellement tiraillé entre deux envies contradictoires : une soif effrénée de liberté sous ses différentes formes et un souhait, issu d'un profond sentiment de solitude qu'il refuse de s'avouer, d'être accepté pour qui il est vraiment afin de se lier sincèrement à l'être capable de cet exploit. Problème : à ses yeux, l'amitié n'est qu'un subterfuge pour faire baisser sa garde à quelqu'un, histoire d'avoir moins d'obstacles pour le poignarder dans le dos par la suite. De même, il est secrètement effrayé par le sentiment d'amour, capable de faire faire des choses stupides, de causer une atroce dépendance et une perte de contrôle au plus posé des êtres.
Ayant grandi entouré d'hypocrisie, les compliments sincères lui sont totalement étrangers et le laissent généralement interloqué, en quête des intentions cachées derrière. Les concepts de bien et de mal lui sont fondamentalement flous et interprétables à sa guise, le rendant difficile à anticiper. Il est tout aussi bien capable de coopérer dans un but commun que de s'en prendre sans explication à quelqu'un (généralement incapable de savoir ce qui aura causé cette réaction). Il voue un mépris affiché à toute créature plus grande que lui, ainsi qu'une haine sans commune mesure envers les humains et plus particulièrement les créatures féminines.
Biographie générale :
Hum ? Qu'est-ce que tu fais là, toi ? Ma vie ? Tiens donc... Tu veux en savoir plus sur moi ? Ben voyons ! Sans idée derrière la tête, je présume, hein ? Comme tous les autres avant toi ? Ha ! Alors écoute bien, pendant que je suis d'humeur à te répondre...
Je suis issu comme tous les autres emplumés d'un cocon. Le mien dans un vieil arbre creux, côté forêt kendraine, y'a plus de soixante-dix ans. Tu suis toujours ? T'as intérêt, parce que je ne me répèterai pas ! J'ai eu, dans cette communauté "m-Akrilla-rcale" le bonheur infini de naître en tant que mâle. Cette tronche débile, c'est parce que tu es naturellement moche ou que tu as pigé où je voulais en venir ? T'as deviné ? Une enfance ô combien choyée et dorlotée, confinée entre les cocons immobiles des années le temps que la truc -la, parce que c'est femelle dans la majorité des cas- s'y trouvant en sorte ! À être perpétuellement surveillé par une paire d'yeux s'assurant qu'aucun orteil ne dépasse de la pièce ! Pas même capable d'ouvrir la bouche pour émettre une parole sans recevoir réprimande verbale ou physique à l'instant où c'est su !
Mais tu vois, contrairement à d'autres, j'ai eu... De la chance ? Pas vraiment. Mais moi, j'ai pu connaître d'autres mâles que le reproducteur squelettique et faiblard de la colonie. Deux, de quelques dizaines d'années mes aînés. L'un était un abruti fini, pas même capable de se coiffer sans aide et manquant de s'évanouir dès qu'une femelle l'approchait à moins d'un pas. L'autre, Hyjuud, n'avait pas l'air de comprendre sa situation. Il était du genre à sourire, à soutenir, à câliner surtout. Quand t'es habitué au froid et aux gifles, une accolade pareille ne s'oublie jamais. D'autant plus quand il n'en fait qu'à toi, te coinçant dans ses bras rassurants même quand il matait sans vergogne les ailes et les formes ignobles et féminines. Encore cette trogne ? Me dis pas que t'as lu entre les lignes. Vue la taille de ta caboche, ça m'étonnerait que tu en sois capable... Mais au cas où : oui, je le suivais partout avec des yeux brillants, le cœur battant à l'idée qu'il allait me sourire, anticipant chaque contact, rêvant honteusement de ses magnifiques ailes blanches, et manquant vomir dès qu'une femelle passait dans les environs. Alors à ton avis, un aldryde mâle aussi dérangé, anormal et dégoûtant que moi, peut finir comment dans ce genre de glorieuse famille où les mâles ne peuvent pas être jetés aisément aux orties, hum ?
Comme si j'allais te répondre...
J'ai un jour cinquante-huit ans. Et paf, Hyjuud se fait pincer en train de réagir visiblement au parfum d'une femelle. L'imbécile... Envoyé au frais le temps que l'étalon attitré casse sa pipe. Hum ? Je vois que tu as une question. Pourquoi moi je ne suis pas congelé aussi vu mon âge ? Eh ! T'es moins bête que t'en as l'air, en fait... Mais laisse-moi continuer, j'allais y venir tout seul comme un grand aldron ! Alors écoute... Hyjuud me laisse en compagnie de l'autre ahuri pas même foutu de surveiller des chenilles correctement. Et comme il s'est évanoui à la perspective de se faire engueuler, qui a du se faufiler dans l'arbre jusqu'à l'extérieur pour rattraper la bête ? T'as pas besoin de répondre, mes spirales auditives filtrent les sons de ton côté. Et après ? Tu penses que j'ai fait quoi ? Que j'en ai profité pour déguerpir et aller découvrir la vie et l'aventure ? Que j'ai dansé et chanté entouré de tout plein de gentils animaux de la forêt ? Que mes congénères, réalisant leur erreur envers moi, m'ont cherché inlassablement puis m'ont cajolé pour se faire pardonner ?
... Un conseil, gratuit et indolore celui-là... Cesse de croire aux femelleries qu'on sert aux larves pour dormir.
Parce que non, rien d'aussi incroyable ou de merveilleux pour moi. J'ai fait une rude rencontre. Dans le sens littéral. Avec un sac de cuir qui m'est tombé dessus, à peine à quelques mètres de la ruche. Je ne sais pas qui c'était, et je m'en fous. J'espère juste qu'il ou elle a attrapé la plus ignoble des maladies et agonisé longuement depuis. Dans une ruelle oubliée, de préférence. Ou dans une auge à cochons, tiens. Parce que son petit geste de rien du tout m'a conduit dans une cage, dans les griffes d'humains riches de Kendra Kâr, pendant treize ans. T'as bien entendu. Treize longues années de captivité, à être l'animal de compagnie d'une morveuse laide comme une tique. Tout ça parce que sa nourrice, pour la faire taire, l'avait abreuvée d'histoires stupides sur des êtres de la forêt, capables d'exaucer des vœux. Son paternel n'ayant qu'elle à gâter, il y a mis les moyens, le bougre. Et il a fallu que le gus engagé ait eu du flair et me soit tombé dessus ce jour-là. Sortir de geôle pour finir en cage. J'ai toujours eu beaucoup de chance.
Cesse de sourire si tu tiens au reste de tes chicots...
Je te vois venir... T'as l'air de croire que grandir ainsi n'a pu avoir que du bon, loin des dangers de la nature et de la cruauté de mes semblables.
Tu te plantes. Vraiment. Certes, j'ai pu apprendre beaucoup auprès des précepteurs de la garce, et à son insu en plus. Mais tout le savoir du monde vaut-il tant de souffrances et d'humiliations ? Servir de poupée vivante, à boire des laits de chèvres avec des objets sous les rires suraigus de femelles poudrées et puantes ? Être exhibé dans des tenues plus humiliantes les unes que les autres ? Ou au contraire, être exposé sans la moindre protection aux yeux de soi-disant érudits et amateurs ? Être puni, privé de la moindre source de lumière pendant des jours, simplement parce que tu as eu le malheur de voler trop près d'une fenêtre ? Pleurer et supplier chaque soir tes gardes emplumées de venir te chercher, t'endormir en souhaitant n'être qu'en train de faire un cauchemar et espérer te réveiller auprès d'un visage familier, même celui d'un abruti fini ? Concernant cette dernière chose, je te rassure tout de suite... Je ne m'y suis adonné que deux semaines. Il ne m'a pas fallu plus pour comprendre avoir été abandonné. Que je ne pouvais compter que sur moi, comme depuis mon éclosion... Mais loin de m'abattre, le réaliser n'a fait qu'accroître ma présence d'esprit et renforcé mon souhait de m'échapper.
Peu importent les punitions sans créativité de cette garce humaine avoisinant le quart de siècle, jamais je ne me déferai de cette volonté ! À quand la prochaine tentative d'évasion ? J'y travaille. L'enflure féminine a l'esprit occupé par un mâle ces jours-ci. Une réception aura lieu sous peu. L'occasion pour moi de mettre à profit toutes les connaissances accumulées sur les faiblesses de la demeure et de certains de ses occupants...
Ne te mets pas en travers de mon chemin si tu veux garder tes yeux... Ma liberté est toute proche et nul ne m'en privera.
Je suis issu comme tous les autres emplumés d'un cocon. Le mien dans un vieil arbre creux, côté forêt kendraine, y'a plus de soixante-dix ans. Tu suis toujours ? T'as intérêt, parce que je ne me répèterai pas ! J'ai eu, dans cette communauté "m-Akrilla-rcale" le bonheur infini de naître en tant que mâle. Cette tronche débile, c'est parce que tu es naturellement moche ou que tu as pigé où je voulais en venir ? T'as deviné ? Une enfance ô combien choyée et dorlotée, confinée entre les cocons immobiles des années le temps que la truc -la, parce que c'est femelle dans la majorité des cas- s'y trouvant en sorte ! À être perpétuellement surveillé par une paire d'yeux s'assurant qu'aucun orteil ne dépasse de la pièce ! Pas même capable d'ouvrir la bouche pour émettre une parole sans recevoir réprimande verbale ou physique à l'instant où c'est su !
Mais tu vois, contrairement à d'autres, j'ai eu... De la chance ? Pas vraiment. Mais moi, j'ai pu connaître d'autres mâles que le reproducteur squelettique et faiblard de la colonie. Deux, de quelques dizaines d'années mes aînés. L'un était un abruti fini, pas même capable de se coiffer sans aide et manquant de s'évanouir dès qu'une femelle l'approchait à moins d'un pas. L'autre, Hyjuud, n'avait pas l'air de comprendre sa situation. Il était du genre à sourire, à soutenir, à câliner surtout. Quand t'es habitué au froid et aux gifles, une accolade pareille ne s'oublie jamais. D'autant plus quand il n'en fait qu'à toi, te coinçant dans ses bras rassurants même quand il matait sans vergogne les ailes et les formes ignobles et féminines. Encore cette trogne ? Me dis pas que t'as lu entre les lignes. Vue la taille de ta caboche, ça m'étonnerait que tu en sois capable... Mais au cas où : oui, je le suivais partout avec des yeux brillants, le cœur battant à l'idée qu'il allait me sourire, anticipant chaque contact, rêvant honteusement de ses magnifiques ailes blanches, et manquant vomir dès qu'une femelle passait dans les environs. Alors à ton avis, un aldryde mâle aussi dérangé, anormal et dégoûtant que moi, peut finir comment dans ce genre de glorieuse famille où les mâles ne peuvent pas être jetés aisément aux orties, hum ?
Comme si j'allais te répondre...
J'ai un jour cinquante-huit ans. Et paf, Hyjuud se fait pincer en train de réagir visiblement au parfum d'une femelle. L'imbécile... Envoyé au frais le temps que l'étalon attitré casse sa pipe. Hum ? Je vois que tu as une question. Pourquoi moi je ne suis pas congelé aussi vu mon âge ? Eh ! T'es moins bête que t'en as l'air, en fait... Mais laisse-moi continuer, j'allais y venir tout seul comme un grand aldron ! Alors écoute... Hyjuud me laisse en compagnie de l'autre ahuri pas même foutu de surveiller des chenilles correctement. Et comme il s'est évanoui à la perspective de se faire engueuler, qui a du se faufiler dans l'arbre jusqu'à l'extérieur pour rattraper la bête ? T'as pas besoin de répondre, mes spirales auditives filtrent les sons de ton côté. Et après ? Tu penses que j'ai fait quoi ? Que j'en ai profité pour déguerpir et aller découvrir la vie et l'aventure ? Que j'ai dansé et chanté entouré de tout plein de gentils animaux de la forêt ? Que mes congénères, réalisant leur erreur envers moi, m'ont cherché inlassablement puis m'ont cajolé pour se faire pardonner ?
... Un conseil, gratuit et indolore celui-là... Cesse de croire aux femelleries qu'on sert aux larves pour dormir.
Parce que non, rien d'aussi incroyable ou de merveilleux pour moi. J'ai fait une rude rencontre. Dans le sens littéral. Avec un sac de cuir qui m'est tombé dessus, à peine à quelques mètres de la ruche. Je ne sais pas qui c'était, et je m'en fous. J'espère juste qu'il ou elle a attrapé la plus ignoble des maladies et agonisé longuement depuis. Dans une ruelle oubliée, de préférence. Ou dans une auge à cochons, tiens. Parce que son petit geste de rien du tout m'a conduit dans une cage, dans les griffes d'humains riches de Kendra Kâr, pendant treize ans. T'as bien entendu. Treize longues années de captivité, à être l'animal de compagnie d'une morveuse laide comme une tique. Tout ça parce que sa nourrice, pour la faire taire, l'avait abreuvée d'histoires stupides sur des êtres de la forêt, capables d'exaucer des vœux. Son paternel n'ayant qu'elle à gâter, il y a mis les moyens, le bougre. Et il a fallu que le gus engagé ait eu du flair et me soit tombé dessus ce jour-là. Sortir de geôle pour finir en cage. J'ai toujours eu beaucoup de chance.
Cesse de sourire si tu tiens au reste de tes chicots...
Je te vois venir... T'as l'air de croire que grandir ainsi n'a pu avoir que du bon, loin des dangers de la nature et de la cruauté de mes semblables.
Tu te plantes. Vraiment. Certes, j'ai pu apprendre beaucoup auprès des précepteurs de la garce, et à son insu en plus. Mais tout le savoir du monde vaut-il tant de souffrances et d'humiliations ? Servir de poupée vivante, à boire des laits de chèvres avec des objets sous les rires suraigus de femelles poudrées et puantes ? Être exhibé dans des tenues plus humiliantes les unes que les autres ? Ou au contraire, être exposé sans la moindre protection aux yeux de soi-disant érudits et amateurs ? Être puni, privé de la moindre source de lumière pendant des jours, simplement parce que tu as eu le malheur de voler trop près d'une fenêtre ? Pleurer et supplier chaque soir tes gardes emplumées de venir te chercher, t'endormir en souhaitant n'être qu'en train de faire un cauchemar et espérer te réveiller auprès d'un visage familier, même celui d'un abruti fini ? Concernant cette dernière chose, je te rassure tout de suite... Je ne m'y suis adonné que deux semaines. Il ne m'a pas fallu plus pour comprendre avoir été abandonné. Que je ne pouvais compter que sur moi, comme depuis mon éclosion... Mais loin de m'abattre, le réaliser n'a fait qu'accroître ma présence d'esprit et renforcé mon souhait de m'échapper.
Peu importent les punitions sans créativité de cette garce humaine avoisinant le quart de siècle, jamais je ne me déferai de cette volonté ! À quand la prochaine tentative d'évasion ? J'y travaille. L'enflure féminine a l'esprit occupé par un mâle ces jours-ci. Une réception aura lieu sous peu. L'occasion pour moi de mettre à profit toutes les connaissances accumulées sur les faiblesses de la demeure et de certains de ses occupants...
Ne te mets pas en travers de mon chemin si tu veux garder tes yeux... Ma liberté est toute proche et nul ne m'en privera.
Croyances :
Des dieux ? Ah oui, ces choses dont le nom est imploré sans raison ni résultat. Nessandro a toujours du se débrouiller seul, sans appui autre que le sien. Rien n'ayant trait à une divinité n'ayant croisé son chemin, hormis des forces armées liées à Oaxaca, l'aldryde ne voit aucune raison de leur accorder la moindre attention. Si les autres veulent perdre leur temps ainsi, grand bien leur fasse ! Lui ne croit qu'en des puissances concrètes auxquelles il a déjà eu affaire, et aucun dieu élémentaire n'en fait partie.