Présentation des Villes du Comté de Bouhen

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Yuimen
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Présentation des Villes du Comté de Bouhen

Message par Yuimen » lun. 23 juil. 2018 15:26

Bouhen
Cité Fortifiée
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Population :

32 000 habitants, majoritairement humains kendrans.

Description générale :

Bouhen est avant tout une forteresse militaire enrichie par son port, le deuxième plus grand de Nirtim, et les riches terres cultivables qui l'entourent. La ville, uniquement composée d'humains, est pour le royaume kendran un immense centre d'entraînement militaire et est dirigée comme telle. Cette ville respire le patriotisme kendran comme le montrent ses merveilleux remparts illuminés la nuit pour honorer la mémoire des anciens combattants et l'importante milice n'hésitera pas à tuer en place publique quiconque ose s'opposer au roi, ou même aucomte qui le représente. En dehors du temple dédiée à l'incarnation guerrière de Gaïa, la ville possède un sanctuaire lié à Rana, datant d'avant l'indépendance ynorienne, mais depuis celle-ci, ce sanctuaire est presque à l'abandon, n'étant entretenu que par les pèlerins s'y rendant de temps à autres. Il est cependant possible d'y trouver des communautés Varrockiennes et Whielenoises dans certains quartiers de la ville, mais celles-ci sont totalement dominées par les kendrans.


Histoire :

La ville de Bouhen fut fondée en -21 648 par les humains qui laissèrent leur capitale aux Ermansis deux ans plus tôt. ces humains entreprirent alors de chasser et exterminer les kenders afin de récupérer leurs terres pour nourrir Bouhen, leur nouvelle capitale. Grâce à ce statut, la ville se développa rapidement et devint l'un des plus grands ports de Nirtim, mais aucun non humain n'était alors, déjà, autorisé à y vivre, les humains craignant de devoir une seconde fois céder à des elfes leur capitale. La ville commença à se fortifier lors du premier règne d'Oaxaca afin de se protéger des raids garzoks. Et lorsque que les humains reprirent possession de la cité blanche en -4000, Bouhen, délaissée, devint peu à peu un bastion militaire. Utilisée comme centre de formation militaire lors des conquêtes des duchés, Bouhen confirma son importance stratégique lors des guerres d'indépendance de l'Ynorie, permettant aux kendrans de contrôler d'une main de fer le Sud de Nirtim, même si cela ne fut pas suffisant pour leur assurer la victoire. Durant ces guerres quelques voix s’élevèrent en ville pour prendre, ici aussi, leur indépendance vis-à-vis de Kendra Kâr, mais furent immédiatement réprimées dans le sang par les militaires au pouvoir. Depuis lors, la capitale s'assura toujours de la fidélité des comtes locaux en y nommant des individus zélés qui prirent l'habitude de tué en place publique quiconque oserait s'opposer à la couronne.


Ouverture aux races non-résidentes :

Bouhen, véritable place forte dédiée à la lutte contre Oaxaca et ses troupes, est une ville totalement humaine et dominée par les kendrans, bien que quelques autres ethnies y vivent. Aucun non-humain n'est autorisé à s'y établir, cependant les voyageurs, marins et commerçants de races qui ne sont pas considérées comme mauvaises peuvent s'y arrêter de manière temporaire. Pour ce qui est des shaakts, garzoks, sektegs et autres races liées à la reine noire, nul ne saurait trop leur conseiller de ne pas approcher de cette cité.


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Yuimen
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Message par Yuimen » lun. 23 juil. 2018 15:26

Port-Sûr

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Population :

Port-Sûr est une bourgade portuaire de 4800 kendrans qui ne compte aucun résident permanent d'une autre race ou ethnie.


Description générale :
Peuplée exclusivement de kendrans, Port-Sûr est, comme Bouhen, un port de transit important, lourdement protéger et dirigé d'une main de fer par le baron Petros Steinn. Les habitants, gagnant tous leur vie directement ou indirectement grâce au transit de pierres des collines blanches, sont très heureux de cette présence militaire qui les protège autant qu'elle protège leur source de revenus. Bien que les mesures interdisant à quiconque n'étant pas kendran de s'installer en ville puissent paraître excessives, elles sont supportées par une population xénophobe marquée par les attaques régulières des pirates, bien qu'aucune n'ait jamais abouti à une victoire des flibustiers. La vie ici s'écoule au rythme des chargements de pierres arrivant ou quittant la ville s'animant soudainement à chaque arrivée de navire ou de convoi terrestre avant de retrouver le calme habituellement lié au bourgades de moins de 5000 habitants.



Histoire :

Bien que les collines blanches étaient déjà exploitées depuis des millénaires, la petite ville portuaire de Port-Sûr, originellement appelée "Port-Blanc" qu'en -1079 lorsque la guerre entre Kendra Kâr et l'Ynorie éclata, menaçant les routes terrestres servant à l'approvisionnement en pierres de la capitale. Le petit port caché entre les falaises devint alors le principal lieu d'approvisionnement en pierres blanches de la capitale, préféré à Bouhen car la distance réduite diminuait les risques liés à la piraterie. Le nom de Port-Blanc lui fut donné car le baron local profita du transit des minéraux pour en utiliser une partie pour construire sa ville, celle-ci prenant la même couleur que Kendra Kâr. Grâce à ce commerce lucratif et aux aides de la couronne pour sécuriser cet approvisionnement crucial pour la symbolique de la ville, le petit port se fortifia rapidement et, sa situation géographique aidant, on le dit très vite imprenable. Cette réputation s'est toujours révélée vraie, les grottes, si communes le long de ses côtes, ayant servit à ravitailler la ville lors des sièges jusqu'à l'arrivée de l'armée de Bouhen. S'il est aujourd'hui le premier port duquel partent les pierres extraites des collines blanches, ses fortifications et sa réputation en font également le lieu où se réfugient les marins marchands quand les rumeurs concernant des attaques pirates gagnent en crédibilité.


Ouverture :

Si l'ordre est donné de tuer à vue tout individu appartenant à une race jugée "mauvaise", comme dans la plupart du comté, mêmes les membres des races alliées à la couronne kendranne ne sont autorisées à demeurer ici que temporairement, les seuls étrangers réellement bien accueillis ici étant les marins marchands.


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Message par Yuimen » lun. 23 juil. 2018 15:26

Bouh-Chêne
Cité lutine

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Population :

505 habitants


Description générale :

Au beau milieu de la forêt de Bouhen, sur un vieux chêne imposant, ou à proximité de celui-ci se situe un village Lutin sylvain. Que ce soit au ras du sol ou tout au sommet de l’arbre, de maisonnettes y prennent place. Des plus rigolotes aux plus traditionnelles, un nombre impressionnant de passerelles les relient entres elles, permettant les lutins de se rendre visite à volonté. Les lutins les plus ingénieux ont même mis au point un lapinserelle. Cet ascenseur dont le moteur carbure aux carottes permet aux plus âgés qui ont perdu le goût de l’escalade de se déplacer de haut en bas et de bas en haut sans se fatiguer.
Il y a encore quelque temps, ce village comprenait à peine une cinquantaine d'habitants, mais, après une descente des orques dans d'autres villages jouxtant Bouh-Chêne, sa population s'est vue rapidement grandir à plus d'un demi-millier d’habitants composés de lutins et de trois elfes.


Histoire :

Même les plus vieux lutins de Bouh-chênes ne se souviennent pas de l’année de la fondation de leur village, ils sont par contre d’accord pour dire qu’il est très très vieux. À vrai dire, ils calculent plutôt l’âge du village par le nombre de chênes qui leur ont servi de support. Leurs maisons étant toujours construites sur ces imposants arbres, les anciens s’entendent pour dire qu’il y a eu plus de vingt déménagements. La vie des chênes les plus vigoureux ne dépassant guère mille ans, l’âge de Bouh-chêne fut estimé à plus de 20 000 ans.
Le doyen du village raconte aux petits lutillons que dans des temps très anciens les aldrydes et les lutins cohabitaient au sein de leur village. Puis un jour, le village entier fut dévasté par une violente tempête qui déracina le vieux chêne les abritant. Quelques aldrydes et lutins avaient péri lors de l’orage, la plupart écrasés par de lourdes branches et certains, victimes de la foudre. À la suite de ce triste évènement, bien que lutins et aldrydes aient reconstruit le village, la relation entre ces deux espèces ne fut plus jamais la même, les uns reprochant aux autres la destruction de leur village, nonobstant l’orage. Très rapidement, les aldrydes quittèrent le village qui devint essentiellement un village de lutin. C’est ainsi qu’à la fin de chaque millénaire, les Bouchenais choisissent un jeune chêne à maturité, l’emménagent à leur guise, le garnissant de passerelles, et y installent leur petite maisonnette. Lorsque le nouvel hôte est prêt, ils font une fête pour l’inaugurer, puis procèdent au déménagement. Ce qui peut durer quelques jours ou plusieurs mois pour les plus nostalgiques qui tardent à quitter leur ancien logis, construit par leur ancêtre, pour en prendre un nouveau.


Ouverture :

Afin d’assurer la survie de ses habitants, l’accès au village est interdit à toutes les races de tailles supérieures à cinquante centimètres. Par contre, par souci des affaires, un lieu, un seul, est accessible à toutes les races. Il s’agit de la Roulotte des loups qui est gardé par trois elfes qui à l’aide de leurs compagnons loups empêchent tout intrus de s’introduire dans le village au-delà des limites de la roulotte aux loups.


PNJ importants :
  • Machouille, le doyen grand inventeur du village,
  • Lutine druidesse complètement ravagée par la folie...Bégonia du Lys

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