Re: Le Marché de Tulorim
Posté : mer. 28 sept. 2022 01:56
Tulorim était une ville singulière. Morrigane l’aimait, car elle stimulait son esprit. Ici, contrairement au village, elle pouvait apercevoir des races différentes, des garzoks, des elfes de toutes sortes etc… Cela changeait de l’esprit campagnard du peuple de Whiel plutôt fermé aux étrangers. Tulorim apparaissait comme une ville tellement cosmopolite quand ailleurs les Whiellois étaient si fermés sur eux même. De plus, elle qui n’avait pas l’habitude des voyages ressentait toujours ce sentiment de dépaysement qui, là aussi, la sortait de l’ennui que pouvait revêtir son existence par moment. Pourtant, cette ville n’avait objectivement rien de grandiose. Même en restant sur les artères principales, il était possible de constater à quel point elle était laissé à l’abandon dans certaines ruelles aux habitations délabrées. Certains marcheurs qui parcouraient les rues pour mener à bien leurs activités quotidienne semblaient constamment sur leur garde, guettant les pickpockets et autres bandits dont la ville était pleine. D’autres encore semblaient filés comme des fantômes parmi la foule, courant après quelques yus pour survivre une journée de plus.
Morrigane savait que Tulorim était une ville dangereuse, mais les whiellois savaient en général comment s’y déplacer pour éviter les problèmes. Tulorm était assurément une ville qui battait sa misère, mais avec une certaine fierté, un certain savoir-fair, qu’il fallait avoir pour combattre la déveine.
Il y avait quelques règles à respecter. Premièrement, éviter les signes extérieurs de richesse, deuxièmement ne jamais regarder un inconnu dans les yeux, troisièmement ne jamais prendre deux fois de suites le même chemin. Des conseils que Rodryk n’avait cessé de lui rabâcher en arrivant en ville et qu’elle écoutât, d’une oreille disraite.
L’esprit de Morrigane bouillonnait de toute cette activité autour d’elle. Elle était prise d’une excitation rarement visible chez elle.
"Allons au marché ! J'aimerais y acheter quelque chose."
« La nuit va nous tomber dessus. Tu ne veux pas plutôt y aller demain ?
Effectivement, Soleil approchait fortement de son coucher, il ne devait guère lui resté plus d’hune heure avant de rejoindre sa couche.
« Pourquoi remettre à demain ? Tu n’as pas dit que nous allions dans un quartier près du dock ? Le marché n’est qu’à quelques encablures. »
« Mais pourquoi t’es si têtue bon sang ?!... D’accord mais on ne traine pas. C’est dangereux ici la nuit. »
Lorsqu’ils arrivèrent au marché, ils trouvèrent une activité en nette décroissance. Les étales semblaient avoir été vidés de leurs produits. La plupart des marchands commençaient à ranger leurs marchandises restantes. Les plus modestes, jetaient des regards suspicieux autour d’eux, guettant le moindre opportun qui tenterait de voler quoique que ce soit pendant qu’ils étaient occupés à ranger. Les plus riche le faisaient l’esprit léger, grâce aux gardes payés par leurs soins. Ils avaient, pour la plupart, l’air de bandits notoires reconvertis dans la protection de biens et de personnes.
Morrigane parcouru rapidement les étagères des marchands mais s’arrêta devant l’un d’entre eux. Un homme dans la fleur de l’âge, protégé par deux gardes au visage fermé. Guilleret, il sifflotait en rangeant son étale plein d’objets magique en tout genre. Lorsqu’il releva la tête pour apercevoir le duos, un grand sourire commerciale s’étira sur son visage.
" D’honnêtes travailleurs venu cherché quelque chose après une dure journée de labeur ?
Je plaisante ! Honnête n’est pas un mot qui peut être employé dans cette ville. Hahaha ! Enfin sans compter nous autre marchands ! m’Voyez…. » dit il un air espiègle sur le visage.
Celui-là était un véritable comédien pensa Morrigane, mais elle ne s’attarda pas sur le caractère de l’homme. Déjà, ses yeux lorgnaient sur le petit coffret de bois ouvert à l’intérieur duquel de nombreuses petites fioles de fluides étaient contenues. Le marchand le remarqua.
« Hmmm. Je vois que madame est intéressée par les fluides. J’ai ce qu’il faut. Dîtes moi tout quel est votre élément de prédilection…. Ah ne dîtes rien, belle demoiselle ! Une femme au regard si embrasé que le vôtre cela ne peut-être que la magie de flamme. »
« Hé oh ! Ca va maintenant les sous-entendus ! » râla Rodryk. »
Morrigane était impressionnée, mais elle ne se laissa pas avoir. Cela n’avait rien à avoir avec un quelconque acte divinatoire ou une quelconque illumination prestidigitatrice. Elle savait certains être capables de ressentir les fluides des autres. Cela devait être le cas de ce thorkin, en plus d’être un bon commerçant.
« Oui, donnez m’en un. »
HJ :
-Achète un fluide 1/16 de Feu ( Effet Spécial de la Marque du lutin : Le personnage voit le coût de ses achats être réduit de [ 1d20 ]% (Un lancer à chaque intervention)
Morrigane savait que Tulorim était une ville dangereuse, mais les whiellois savaient en général comment s’y déplacer pour éviter les problèmes. Tulorm était assurément une ville qui battait sa misère, mais avec une certaine fierté, un certain savoir-fair, qu’il fallait avoir pour combattre la déveine.
Il y avait quelques règles à respecter. Premièrement, éviter les signes extérieurs de richesse, deuxièmement ne jamais regarder un inconnu dans les yeux, troisièmement ne jamais prendre deux fois de suites le même chemin. Des conseils que Rodryk n’avait cessé de lui rabâcher en arrivant en ville et qu’elle écoutât, d’une oreille disraite.
L’esprit de Morrigane bouillonnait de toute cette activité autour d’elle. Elle était prise d’une excitation rarement visible chez elle.
"Allons au marché ! J'aimerais y acheter quelque chose."
« La nuit va nous tomber dessus. Tu ne veux pas plutôt y aller demain ?
Effectivement, Soleil approchait fortement de son coucher, il ne devait guère lui resté plus d’hune heure avant de rejoindre sa couche.
« Pourquoi remettre à demain ? Tu n’as pas dit que nous allions dans un quartier près du dock ? Le marché n’est qu’à quelques encablures. »
« Mais pourquoi t’es si têtue bon sang ?!... D’accord mais on ne traine pas. C’est dangereux ici la nuit. »
Lorsqu’ils arrivèrent au marché, ils trouvèrent une activité en nette décroissance. Les étales semblaient avoir été vidés de leurs produits. La plupart des marchands commençaient à ranger leurs marchandises restantes. Les plus modestes, jetaient des regards suspicieux autour d’eux, guettant le moindre opportun qui tenterait de voler quoique que ce soit pendant qu’ils étaient occupés à ranger. Les plus riche le faisaient l’esprit léger, grâce aux gardes payés par leurs soins. Ils avaient, pour la plupart, l’air de bandits notoires reconvertis dans la protection de biens et de personnes.
Morrigane parcouru rapidement les étagères des marchands mais s’arrêta devant l’un d’entre eux. Un homme dans la fleur de l’âge, protégé par deux gardes au visage fermé. Guilleret, il sifflotait en rangeant son étale plein d’objets magique en tout genre. Lorsqu’il releva la tête pour apercevoir le duos, un grand sourire commerciale s’étira sur son visage.
" D’honnêtes travailleurs venu cherché quelque chose après une dure journée de labeur ?
Je plaisante ! Honnête n’est pas un mot qui peut être employé dans cette ville. Hahaha ! Enfin sans compter nous autre marchands ! m’Voyez…. » dit il un air espiègle sur le visage.
Celui-là était un véritable comédien pensa Morrigane, mais elle ne s’attarda pas sur le caractère de l’homme. Déjà, ses yeux lorgnaient sur le petit coffret de bois ouvert à l’intérieur duquel de nombreuses petites fioles de fluides étaient contenues. Le marchand le remarqua.
« Hmmm. Je vois que madame est intéressée par les fluides. J’ai ce qu’il faut. Dîtes moi tout quel est votre élément de prédilection…. Ah ne dîtes rien, belle demoiselle ! Une femme au regard si embrasé que le vôtre cela ne peut-être que la magie de flamme. »
« Hé oh ! Ca va maintenant les sous-entendus ! » râla Rodryk. »
Morrigane était impressionnée, mais elle ne se laissa pas avoir. Cela n’avait rien à avoir avec un quelconque acte divinatoire ou une quelconque illumination prestidigitatrice. Elle savait certains être capables de ressentir les fluides des autres. Cela devait être le cas de ce thorkin, en plus d’être un bon commerçant.
« Oui, donnez m’en un. »
HJ :
-Achète un fluide 1/16 de Feu ( Effet Spécial de la Marque du lutin : Le personnage voit le coût de ses achats être réduit de [ 1d20 ]% (Un lancer à chaque intervention)