❄ YUIA ❄
L’Impératrice des Glaces
Présentation :
Née des fluides élémentaires de Glace, Yuia est par conséquent la Déesse qui règne sur le froid, la neige, le givre, et les régions les plus septentrionales du monde de Yuimen. Ces territoires, comme Nosvéris, donnent la mesure de la force qui est sienne, force qu'éprouvent également les êtres les plus soumis aux rigueurs des longs hivers, comme les habitants des hautes montagnes. Elle n'en est pas moins présente pour les peuples vivant sous des climats plus cléments : pour le paysan, Yuia et son emprise représente une part importante de la vie, dans le cycle des saisons, et si des gelées trop précoces sont craintes, le froid est le bienvenu pour le repos de la terre. A l’inverse, dans les villes, le froid est souvent perçu comme une contrainte, voire comme une épreuve, sauf pour ceux qui sont abrités par quelques murs et un bon fourneau.
Partout où cette Déesse passe, la nature se fige, immobilisée à jamais dans un chef d’œuvre intemporel d’immenses et immaculées étendues de neige, de majestueux glaciers dépassant de loin la taille des plus grands édifices des régions civilisées, et de milliers de flocons parfaitement symétriques à travers lesquels les rayons de la lumière font miroiter de splendides couleurs. Par la somptuosité de ses créations, Yuia a ainsi été depuis associée au domaine de la Beauté par nombreux de ses fidèles à travers Yuimen. Et ces derniers n’ont pas eu tort ; dire que Yuia est belle relèverait de l’euphémisme. A l’image de son royaume, la Déesse du Froid affiche une beauté intemporelle. Considérée de très loin comme la plus belle d’entre les déesses de ce monde, beaucoup la juge même être l’être le plus beau que ce monde connaitra. De nombreux artistes ont alors tenté de lui rendre hommage à travers des peintures, sculptures, chants et autres éloges, mais nul n’a jamais réussi à retranscrire la véritable magnificence de la Déesse. La majorité des cultes de Yuia a ainsi décidé que la tâche était impossible et s’est imposé de ne jamais représenter leur divinité tutélaire, de peur de lui faire outrage. Ces cultes préfèrent ainsi lui rendre hommage en magnifiant et protégeant la beauté du monde.
Peu après sa naissance Yuia était une Déesse superficielle, de nature frivole et vaine. Contrairement aux autres Dieux, elle ne s’intéressa aux peuples mortels que bien plus tard, préférant passer les débuts de son incarnation sur Yuimen à se mirer dans les lacs gelés du Nosvéris. Ce n’est que lorsqu’elle vit les peuples, alors jugés primitifs et frustes à ses yeux, commencer à parcourir le monde créant la beauté et inspirant l'art dans toutes les contrées du monde qu’elle s’intéressa aux races mortelles. Libérée, délivrée de cet amour narcissique elle se mit elle aussi à explorer les terres de Yuimen, inspirant les mortels de sa beauté légendaire, appréciant les éloges des peuples à son égard. Ce fut à ce moment qu’elle retrouva Meno, l’unique être qu’elle aima un jour plus qu’elle ne s’aima elle-même. Si les premiers temps de leur idylle furent glorieux et loués, l’orgueil des deux Dieux et leur incapacité inhérente à cohabiter les firent se déchirer avant d’entraîner une guerre violente sur Yuimen et ce n’est que lors de l’intervention de Gaïa que le conflit cessa enfin. Yuia parti ensuite s’isoler dans ses terres sur Nosvéris, portant profondément ancrée en elle des blessures qui ne se refermèrent jamais. Très rancunière du fait du tort causé par son ancien amant, Yuia n’attend que sa vengeance, un plat qu’elle mangera très froid… Si Yuia est toujours belle aujourd’hui, elle affiche cependant une beauté froide, celle d’une femme désormais presque insensible, à jamais préservée dans un bloc de glace, car tout comme son élément, la Déesse réfléchit la lumière, mais non la chaleur.
Tout comme ses pairs, Yuia quitta le monde de Yuimen suite à l’injonction de Zewen, laissant derrière elle des paysages gelés au diapason de sa majesté.
Peuples vénérant Yuia :
En tant que déesse mineure : En tant que courant minoritaire :
Née des fluides élémentaires de Glace, Yuia est par conséquent la Déesse qui règne sur le froid, la neige, le givre, et les régions les plus septentrionales du monde de Yuimen. Ces territoires, comme Nosvéris, donnent la mesure de la force qui est sienne, force qu'éprouvent également les êtres les plus soumis aux rigueurs des longs hivers, comme les habitants des hautes montagnes. Elle n'en est pas moins présente pour les peuples vivant sous des climats plus cléments : pour le paysan, Yuia et son emprise représente une part importante de la vie, dans le cycle des saisons, et si des gelées trop précoces sont craintes, le froid est le bienvenu pour le repos de la terre. A l’inverse, dans les villes, le froid est souvent perçu comme une contrainte, voire comme une épreuve, sauf pour ceux qui sont abrités par quelques murs et un bon fourneau.
Partout où cette Déesse passe, la nature se fige, immobilisée à jamais dans un chef d’œuvre intemporel d’immenses et immaculées étendues de neige, de majestueux glaciers dépassant de loin la taille des plus grands édifices des régions civilisées, et de milliers de flocons parfaitement symétriques à travers lesquels les rayons de la lumière font miroiter de splendides couleurs. Par la somptuosité de ses créations, Yuia a ainsi été depuis associée au domaine de la Beauté par nombreux de ses fidèles à travers Yuimen. Et ces derniers n’ont pas eu tort ; dire que Yuia est belle relèverait de l’euphémisme. A l’image de son royaume, la Déesse du Froid affiche une beauté intemporelle. Considérée de très loin comme la plus belle d’entre les déesses de ce monde, beaucoup la juge même être l’être le plus beau que ce monde connaitra. De nombreux artistes ont alors tenté de lui rendre hommage à travers des peintures, sculptures, chants et autres éloges, mais nul n’a jamais réussi à retranscrire la véritable magnificence de la Déesse. La majorité des cultes de Yuia a ainsi décidé que la tâche était impossible et s’est imposé de ne jamais représenter leur divinité tutélaire, de peur de lui faire outrage. Ces cultes préfèrent ainsi lui rendre hommage en magnifiant et protégeant la beauté du monde.
Peu après sa naissance Yuia était une Déesse superficielle, de nature frivole et vaine. Contrairement aux autres Dieux, elle ne s’intéressa aux peuples mortels que bien plus tard, préférant passer les débuts de son incarnation sur Yuimen à se mirer dans les lacs gelés du Nosvéris. Ce n’est que lorsqu’elle vit les peuples, alors jugés primitifs et frustes à ses yeux, commencer à parcourir le monde créant la beauté et inspirant l'art dans toutes les contrées du monde qu’elle s’intéressa aux races mortelles. Libérée, délivrée de cet amour narcissique elle se mit elle aussi à explorer les terres de Yuimen, inspirant les mortels de sa beauté légendaire, appréciant les éloges des peuples à son égard. Ce fut à ce moment qu’elle retrouva Meno, l’unique être qu’elle aima un jour plus qu’elle ne s’aima elle-même. Si les premiers temps de leur idylle furent glorieux et loués, l’orgueil des deux Dieux et leur incapacité inhérente à cohabiter les firent se déchirer avant d’entraîner une guerre violente sur Yuimen et ce n’est que lors de l’intervention de Gaïa que le conflit cessa enfin. Yuia parti ensuite s’isoler dans ses terres sur Nosvéris, portant profondément ancrée en elle des blessures qui ne se refermèrent jamais. Très rancunière du fait du tort causé par son ancien amant, Yuia n’attend que sa vengeance, un plat qu’elle mangera très froid… Si Yuia est toujours belle aujourd’hui, elle affiche cependant une beauté froide, celle d’une femme désormais presque insensible, à jamais préservée dans un bloc de glace, car tout comme son élément, la Déesse réfléchit la lumière, mais non la chaleur.
Tout comme ses pairs, Yuia quitta le monde de Yuimen suite à l’injonction de Zewen, laissant derrière elle des paysages gelés au diapason de sa majesté.
Peuples vénérant Yuia :
En tant que déesse mineure : En tant que courant minoritaire :