Augus

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Augus
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Augus

Message par Augus » lun. 22 avr. 2019 14:28

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(Deuxième personnage de Fromritt Verlorgot.)

Nom : Augus
Race et ethnie : Humain, Kendrans
Caractéristiques raciales :

  • - Puissance surhumaine : Le personnage est capable, en poussant ses muscles à leur limite, de soulever une lourde charge (jusqu'à 250 kg) ou de déplacer un objet très lourd (jusqu'à 100 kg sur 100m).

    - Contorsionniste : Le personnage peut se tordre comme il veut de façon parfois impressionnante, son corps étant si souple et malléable qu'il pourrait même s'en déboîter les articulations au besoin. Attention, sur le long terme, peut causer des douleurs articulatoires vives.



Âge : 49 ans
Classe de départ : Mêlée


Description physique et de la personnalité :


Je suis Augus, je n’ai pas de nom car selon mon père, je n’en étais pas digne.

Je n’ai pas de nom. Je le suis et le conseille.


Je suis immense, deux mètres vingt et suis bâti qu’en muscles avec mes deux cent kilos. Mon visage a d’abord l’air sévère, mes sourcils blancs et broussailleux sont souvent froncés au-dessus de mes iris argentés, si clairs qu’on les croirait inexistants. Sous mes paupières se dessinent des lignes rouges verticales, symbole de mes larmes versées pour la douleur et mes efforts titanesques. Ces tatouages de sang dansent un peu partout sur ma peau claire, formant des lignes, des courbes et des cercles larges çà et là.

Je suis intangible, trouble, une masse de fumée noire aux yeux blancs fumeux. Je fais sa taille et sa carrure, cependant, aucune forme distincte ne me trahit. Je lévite toujours dans son champs de vision, invisible pour les autres.


Depuis ma naissance, je vis dans la souffrance. Mes muscles, mes articulations, mes os voire même mon cœur m’assaillent de douleur. J’ai appris à faire face et à encaisser, aujourd’hui ces maux sont mon moteur, ils m’aident à me surpasser.
Mon visage est toujours orné d’un franc sourire, un peu pour cacher mes misères mais surtout car je suis heureux d’être encore en vie. J’aime manger autour d’un fût de bière ou d’un tonnelet de vin. J’adore faire de nouvelles rencontres, parler avec tout type de personnes. Je suis d’ailleurs plutôt bon camarade, je blague, je suis poli et courtois et mon sens de l’honneur fais de moi quelqu’un de fiable, sur qui l’on peut compter.

Il est trop confiant et optimiste... Je dois le prémunir de cela quand la méfiance est de mise. Contrairement à lui, ni pitié, ni faiblesse d’esprit ne m’entrave. Je murmure parfois mes pensées à sa conscience, d’autre fois à son subconscient. Sa survie est primordiale, je le posséderais encore s’il le faut.


Je suis naturellement surexcité, je bouge tout le temps, je trifouille ma barbe blanche allant jusqu’à mes cheveux laiteux coiffés en multiples pointes. Ma voix est puissante et mon débit de paroles varie entre trop rapide et juste rapide. Je suis également victime d’un manque d’attention flagrant, qui m’a empêché d’étudier sérieusement à certains moments de ma vie. Je ne suis pour autant pas plus bête qu’un autre, j’ai juste généralement du mal à me concentrer. Néanmoins, j’excelle dans ma passion : le combat, les arts martiaux. Me battre poings contre poings, pieds contre pieds, bref, corps contre corps m’éclaircit l’esprit et mes douleurs ne me font plus mal, elles sont juste là, pour me rappeler que je suis encore vivant ! Ma plus grande peur est de ne plus rien ressentir, j’en tremble rien qu’à l’idée, une raison de plus pour survivre.

Lors d’un combat, mon sourire s’allonge et je pars dans un état second. C’est comme ci mon esprit se focaliser uniquement sur cela, sur mon adversaire, ses gestes et mimiques, ses envies et sa posture. Je visualise mon corps dans son entièreté et le contrôle comme personne ne pourrait contrôler une telle enveloppe corporelle. J’ai parcouru de très nombreuses contrées au cours de mon existence, toujours à la recherche de nouvelles connaissances martiales. Je suis donc spécialisé dans le combat corps-à-corps essentiellement contre les humanoïdes légèrement armés, pour les autres ainsi que pour les créatures j’ai le fourreau d’un odächi qui m’est cher et qui m’attend chez l’un de mes maîtres. En entendant, son étui d’acier est posé sur un support sur le bas de mon dos.

Hors Combat je suis froid et calculateur. Je réfléchis à une façon efficace de venir à bout de ses problèmes. Et même s’il ne m’écoute jamais, ou presque, j’essaye d’influencer ses actions comme je peux. Par contre, si je dois me mêler du combat, s’il perd le contrôle… Je me bat comme une bête sauvage acculée, faisant fi de la morale et de la douleur. Je le transforme en monstre sanguinaire luttant uniquement pour la sauvegarde de son intégrité physique.Je vide littéralement ses pensées pour les plonger dans les plus profondes ténèbres des abysses de son âme.


Enfin, j’ai toujours eu envie d’allier mes arts martiaux à la magie, étant sûr de créer une nouvelle façon de se battre et de la populariser. Malheureusement, je n’ai trouvé personnes pour m’enseigner les arcanes et les diverses académies et universités me rebutent au plus haut point. De ce fait, je cherche encore.

Cette envie est motivée par autre chose de plus intime que seuls lui et moi connaissons. Il désire laisser sa trace sur le monde à défaut d’engendrer un héritier. Son gigantisme étant ce qu’il est, la nature lui a enlevé le droit de procréer. Pour ne pas mourir en vain, pour contribuer à cet univers qui , il a besoin de cette motivation pour alimenter sa détermination sans faille.


Biographie générale :


Il y a quarante neuf ans de cela, quelque part dans la campagne perdue de Nirtim…

La lumière du soleil m’avait ébloui.
Mes poumons se remplissaient d’air et je criais.
Une première douleur suivie de bien d’autre parcourait mon corps tout entier.
Et les cris.
Une grosse voix hurlait sur ma mère.


Plusieurs années s’étaient écoulées.
Je maîtrisais mal mon corps comparé à la progéniture de nos voisins éloignés, même si j’étais plus grand, plus fort. Les rares où l’on me voyait, l’on se gaussait de mes pas hésitants, maladroits et de mes larmes, permanentes à cause de la douleur. Toujours plus appuyée, tranchant mon être à chaque seconde.

À la maison, père était presque tout le temps au travail. Lorsqu’il y revenait, s’était pour m’ignorer ou me frapper si j’insistais trop et pareil pour ma mère, il l’a battait régulièrement. Il mangeait, dormait puis repartait. Il ne voulait pas de moi. J’étais triste de cela, au début…


Mes poings saignaient à force de cogner la pierre.J’en avais marre d’avoir mal. J’en avais assez d’avoir peur de mon géniteur. J’étais pathétique à être tétanisé alors qu’il battait celle qui m’avait mis au monde.
J’avais quatorze ans, mais les graines de la haine avait eu le temps de germer en mon cœur et mon âme. Chaque jour je sentais que ma peine et souffrance quotidienne la renforçait, me renforçait. Une chaleur bouillonnante me recouvrait jusqu’à un jour littéralement imploser.

Les murmures et les susurres d’un être noir emplissaient mes pensées à m’en faire perdre toute conscience de moi-même. J’avais cligné des yeux une fois de trop, bien longtemps comme si je m’étais endormi puis immédiatement réveillé. Une fois les paupières rouvertes, le sang de mon cher paternel ruisselait de sur mes phalanges déchiquetées, tout comme son visage, méconnaissable.
Mère était choquée, dans un état d’hébétement avancé.
Moi, depuis ce jour, j’entendais sans cesse une voix venant d’une ombre qui me suivais partout où j’allais. Je l’ignorais souvent, mais l’écoutais parfois. Elle me voulait du bien, elle désirait me protéger disait-elle.


Ma génitrice semblait avoir oublié ce qui s’était passé, se renfermant sur l’idée que son mari allait revenir du travail, un jour. Compatissant pour cette pauvre dame, je m’occupais d’elle et allais chercher un boulot pour remplir nos assiettes.

Enfin, à ma taille finale, aux alentours de mes dix huit hivers, je me battais dans les tavernes et autre arène clandestine des hameaux voisins. Les péquenauds du coin ne savaient pas se battre, ou ceux qui le savaient n’avaient pas l’allonge assez grande. J’ai formé un corps de muscles, résistant à force de combat et je me nourrissais comme dix pour devenir un véritable monstre.

Malheureusement, mère périt sans crier gare. Ses facultés intellectuelles faiblissaient de jour en jour jusqu’à en arriver à ce moment tragique. Même à son dernier souffle elle espérait revoir son homme, celui qu’elle aimait. Ainsi par respect, je l’enterrais à ses côtés aux limites de notre terrain. Je suis resté plusieurs jours à hurler et pleurer mon immense peine. J’ai fait le deuil comme n’importe quel être humain devrait le faire pour ceux qu’il aime.

Après cela, je partis loin de cette contrée perdue en quête d’aventure.


Un an de vagabondage plus tard et je tombais sur un champion de village au moins trois fois plus grand que le mien. Comme toujours, je misais gros sur ma victoire, croyant vaincre aisément mon opposant. Ma bête avait égalé ma taille ce jour-là ! Malgré mon gabarit hors-norme, il me malmenait.
Le combattant se mouvait avec dextérité et rapidité, enchaînant des mouvements que je n’avais jamais eu la chance de voir. Le combat dura de longues minutes, ma résistance étant ce qu’elle ait et parfois je le touchais le blessant sévèrement. Cependant, non sans difficulté, il me vainquit de peu, mais j’étais au sol, incapable de me relever.
Pourtant, au lieu d’enrager, je fus juste séduit par ses gestes et sa façon de se battre. Ça, ça ressemblait à un vrai combat et non pas une raclée dans une taverne lambda entachant l’honneur des deux challengers.

Cet homme très sympathique me ramena là où il avait appris à combattre si spécialement. Il était curieux de voir comment une montagne tel que moi s’en sortirais, ce qui titilla également son maître. Ainsi, au prix d’efforts incommensurables pour assouplir mon corps aussi raide que l’acier et avec un talent naturel pour les arts martiaux, je devins son meilleur élève en une poignée d’années.Il me fit même le cadeau d’un fourreau en métal peint en or, j’avais trouvé ça étrange mais il m’avait dit qu’un ami forgeron travaillait sur une arme unique pour moi sur sa demande. Le travail allait être de longue haleine et mieux valait pour moi m’occuper entre-temps.


Je décidais donc de partir en pèlerinage une fois ma formation terminée. Avec la bénédiction de mon maître, j’avais pour but d’apprendre le plus de manière de combattre et de devenir un des meilleurs guerrier de l’Histoire.
Au fil des ans, des décennies, j’avais rencontré moult écoles de combat et j’assimilais l’essentiel de l’art martial en quelques mois voire semaines pour certains. J’étais devenu un véritable expert, toutefois il me restait tant à apprendre ? Ça ne me motivait que plus dans mon long voyage !


Croyances :

Je ne crois qu’en le combat et l’honneur et on ne m’a jamais parlé de quelconque dieu s’occupant uniquement de cela. Je respecte athée comme croyant de toute manière et si un dieu souhaite que je devienne son fidèle, qu’il vienne me persuader, bwahahahaha !



Compétence/Sort de combat de départ :


- Kata du Tigre : Le combattant cible de ses mains nues plusieurs points de pression sensibles de l’adversaire en un temps record, lui causant des lésions graves. Pas de jet de blessure.


Objets de Départ :
  • Gantelets épais en fer ornementés
  • Bottes et cuissards de fer ornementées
  • Fourreau d'acier doré ornementé

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Gamemaster8
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Re: Augus

Message par Gamemaster8 » mar. 23 avr. 2019 14:09

Bonjour et bienvenu à toi dans l'univers de Yuimen. :)

Je regarde tes informations et je vais commencer ta fiche. Au premier regard tout semble bon.
Si un petit quelque chose chose, je t'en parlerai ici
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À votre service, pour le plaisir de rp !

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Gamemaster8
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Re: Augus

Message par Gamemaster8 » mar. 23 avr. 2019 16:31

La validation de ta fiche est terminée.

Il ne me reste qu'un petit détail à régler au sujet de ton 3eme objet, je t'ai exposé mon interrogation en privé sur ton discord.

Je te souhaite beaucoup de plaisir en rp avec ce nouveau perso ! :)
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À votre service, pour le plaisir de rp !

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