Présentation
Adéliade Aubefort
Âge : 17 ans
Race et ethnie : Humaine, mère Ynorienne et père Kendran
Traits raciaux :
- Résistance aux maladies
- Résistance au poison
Description physique et de la personnalité :
Adéliade arbore des cheveux et des pupilles sombres hérités de sa mère. L’ascendance de son père est plus subtile. En observant bien il est possible de voir que ses yeux sont moins bridés et sa peau plus blanche que ceux du peuple d’Ynorie. De taille moyenne et menue, vous la croiserez le plus souvent vêtue d’une simple robe d’apprenti blanche, avec pour seul ornement une fine ceinture de cuir sur laquelle pend son grimoire. Lors de ses jours de « liberté », elle se vêt principalement à la mode kendranne mais aime également, de temps à autre, se paraît de tenues ynoriennes.
Adéliade est plutôt insouciante et a la tête emplie de rêves d’aventure. Elle ne recherche rien de spécial dans la vie, juste pouvoir suivre son cœur et profiter de la vie. Très loyale envers son entourage, elle est prête à se sacrifier pour leur sécurité et leur bien-être.
Adéliade est plutôt insouciante et a la tête emplie de rêves d’aventure. Elle ne recherche rien de spécial dans la vie, juste pouvoir suivre son cœur et profiter de la vie. Très loyale envers son entourage, elle est prête à se sacrifier pour leur sécurité et leur bien-être.
Biographie générale :
Son père est un des guérisseurs de l’armée kendranne. Sa mère travaille pour un tailleur de la cité blanche. Ils ont eu Adéliade tardivement et la choient depuis sa naissance.
Elle a grandi dans un des quartiers près des remparts de la cité blanche et y mène une vie simple et facile auprès de ses parents. Ni pauvre, ni riche, ils possèdent ce dont ils ont besoin pour être heureux.
Adolescente, Adéliade est parvenue à sauver sa mère d’un empoisonnement alors que son père était en patrouille pour surveiller les routes avec son unité. A son retour, fier de découvrir qu’il avait transmis son don à sa fille, il n’avait de cesse de le raconter à qui voulait bien l’entendre. Un ami de la famille officiant au temple de Gaïa décida d’y amener Adéliade pour qu’elle puisse y suivre son apprentissage. Les acolytes et les prêtres le considérèrent dès lors comme le mentor attitré de l’adolescente.
Ainsi, depuis qu’elle est en âge d’être formée, elle se rend au temple pour y suivre les enseignements de la déesse et apporter son aide. Hélas, les tâches qu’on lui confie ne sont que très rarement à son goût. Seuls les récits historiques des grands aventuriers et les journées consacrées à aider les habitants trouvaient grâce à ses yeux. Le reste du temps, elle préférait largement se faufiler hors de chez elle ou du temple pour explorer la ville et ses alentours, accompagnée ou non de son amie d’enfance. Ce que son "mentor" avait appris à ses dépends… Malgré tout, en raison de l’amitié avec son père, il aidait Adéliade comme il le pouvait. Notamment en l’envoyant dès qu’il en avait l’occasion en mission à travers Kendra Kâr.
Elle a grandi dans un des quartiers près des remparts de la cité blanche et y mène une vie simple et facile auprès de ses parents. Ni pauvre, ni riche, ils possèdent ce dont ils ont besoin pour être heureux.
Adolescente, Adéliade est parvenue à sauver sa mère d’un empoisonnement alors que son père était en patrouille pour surveiller les routes avec son unité. A son retour, fier de découvrir qu’il avait transmis son don à sa fille, il n’avait de cesse de le raconter à qui voulait bien l’entendre. Un ami de la famille officiant au temple de Gaïa décida d’y amener Adéliade pour qu’elle puisse y suivre son apprentissage. Les acolytes et les prêtres le considérèrent dès lors comme le mentor attitré de l’adolescente.
Ainsi, depuis qu’elle est en âge d’être formée, elle se rend au temple pour y suivre les enseignements de la déesse et apporter son aide. Hélas, les tâches qu’on lui confie ne sont que très rarement à son goût. Seuls les récits historiques des grands aventuriers et les journées consacrées à aider les habitants trouvaient grâce à ses yeux. Le reste du temps, elle préférait largement se faufiler hors de chez elle ou du temple pour explorer la ville et ses alentours, accompagnée ou non de son amie d’enfance. Ce que son "mentor" avait appris à ses dépends… Malgré tout, en raison de l’amitié avec son père, il aidait Adéliade comme il le pouvait. Notamment en l’envoyant dès qu’il en avait l’occasion en mission à travers Kendra Kâr.
Croyances :
Comme nombre de kendrans, Adéliade reconnaît l’existence des Dieux. Mais, de part sa formation au sein du temple de la lumière, Adéliade se sent plus proche de Gaïa. En effet, quelque fois déjà, elle a pu être témoin de la bonté de cette déesse envers son peuple. D’autre part, sa mère lui a enseigné les bases de sa propre croyance, liée à Rana.
