Présentation
Fromritt Verlorgot
Âge : 33 ans
Race et ethnie : Humain – Peuple de Wiehl
Traits raciaux :
- Témérité: Par son caractère ou les épreuves qu'elle a vécu, la personne est plus résistante à la peur et n'hésitera pas à aller au devant du danger. (résistance à la peur magique)
- Puissance surhumaine: Le personnage est capable, en poussant ses muscles à leur limite, de soulever une lourde charge (jusqu'à 250 kg) ou de déplacer un objet très lourd (jusqu'à 100 kg sur 100m).
Exception : Les races de petite taille (lutin et aldrydes), peuvent soulever jusqu'à 30kg et déplacer 12kg sur 100m.
Description physique et de la personnalité :
"Fromritt est un solide gaillard, fier représentant de son ethnie, mesurant un mètre quatre-vingt cinq pour un bon quatre-vingt-dix kilos. Ses cheveux mi-longs sont châtains foncés, ils coulent jusqu’à sa nuque et tombent sur chaque côté bien qu’ils soient plus présents sur la droite de sa tête. Ses traits assez élégants, bien qu’empreints d’une once de fatigue, lui donne un air plutôt beau alors que sa barbe souligne les années qu’il a arpenté en ce monde.
Généralement vêtu d’une armure aux tons sombres, il ne l’enlève presque jamais si ce n’est pour dormir ou se laver. En dessous de celle-ci, il est habillé de vêtements souples plus ou moins noirâtres.
Guerrier dans l’âme, et ce depuis son enfance, le Verlorgot possède une psyché relativement simple. Il se contrefiche des Dieux et de la religion, sans pour autant blasphémer à tout va. Il respecte ces formes de vie supérieure, sans leur prêter plus d’attention. Sans être un saint, il reste tout de même foncièrement bon et n’hésite pas à aider la veuve et l’orphelin. Il peut tuer à l’aide de son espadon si cela est obligatoire, mais préfère rendre invalide ses opposants.
Comme la plupart des humains, il sait que sa vie sera courte comparé aux monstres de longévités que sont les elfes ou d’autres races qu’il ne connaît pas très bien. En cela, il n’a pas le temps de se perdre en trop grande politesse et encore moins à mentir ou manipuler les autres. Il est honnête, brave et franc. Peut-être même trop brave pour certains qui se plaisent à le qualifier d’homme téméraire.
Finalement, le Wiehlenois est un individu assez lambda, ses peurs ne sont pas nombreuses et l’ont déjà éprouvé. Il ne veut pas que sa famille souffre, ou juste les perdre. Néanmoins, le destin en a voulu autrement. Quelque part, ce qu’on peut appeler son âme s’est brisée quand ce drame est arrivé… Il a fait son deuil en adoptant un esprit aventurier, parcourir le monde en aidant parfois des inconnus ou en tombant dans des pièges tendus par de menus-bandits.
Aujourd’hui encore il continue de marcher pour fuir sa peine, sa douleur, son passé… Et tout en voulant échapper à son passé torturé, le Verlorgot dû se battre une fois de plus et se retrouver couvert de cicatrices. Fort heureusement, quasiment toutes se sont bien refermées et semblent n'avoir jamais été, sauf une à sa main droite, causer par un terrible redoutard. Lors de ce combat il réalisa qu'il ne pouvait plus juste fuir, mais bel et bien batailler jusqu'à son dernier souffle pour venger ceux qui ne sont plus. Sa détermination d'antan commence peu à peu à renaître de ses cendres."
Généralement vêtu d’une armure aux tons sombres, il ne l’enlève presque jamais si ce n’est pour dormir ou se laver. En dessous de celle-ci, il est habillé de vêtements souples plus ou moins noirâtres.
Guerrier dans l’âme, et ce depuis son enfance, le Verlorgot possède une psyché relativement simple. Il se contrefiche des Dieux et de la religion, sans pour autant blasphémer à tout va. Il respecte ces formes de vie supérieure, sans leur prêter plus d’attention. Sans être un saint, il reste tout de même foncièrement bon et n’hésite pas à aider la veuve et l’orphelin. Il peut tuer à l’aide de son espadon si cela est obligatoire, mais préfère rendre invalide ses opposants.
Comme la plupart des humains, il sait que sa vie sera courte comparé aux monstres de longévités que sont les elfes ou d’autres races qu’il ne connaît pas très bien. En cela, il n’a pas le temps de se perdre en trop grande politesse et encore moins à mentir ou manipuler les autres. Il est honnête, brave et franc. Peut-être même trop brave pour certains qui se plaisent à le qualifier d’homme téméraire.
Finalement, le Wiehlenois est un individu assez lambda, ses peurs ne sont pas nombreuses et l’ont déjà éprouvé. Il ne veut pas que sa famille souffre, ou juste les perdre. Néanmoins, le destin en a voulu autrement. Quelque part, ce qu’on peut appeler son âme s’est brisée quand ce drame est arrivé… Il a fait son deuil en adoptant un esprit aventurier, parcourir le monde en aidant parfois des inconnus ou en tombant dans des pièges tendus par de menus-bandits.
Aujourd’hui encore il continue de marcher pour fuir sa peine, sa douleur, son passé… Et tout en voulant échapper à son passé torturé, le Verlorgot dû se battre une fois de plus et se retrouver couvert de cicatrices. Fort heureusement, quasiment toutes se sont bien refermées et semblent n'avoir jamais été, sauf une à sa main droite, causer par un terrible redoutard. Lors de ce combat il réalisa qu'il ne pouvait plus juste fuir, mais bel et bien batailler jusqu'à son dernier souffle pour venger ceux qui ne sont plus. Sa détermination d'antan commence peu à peu à renaître de ses cendres."
Biographie générale :
"La chaleur étouffante du soleil étreignait Tulorim, l’été avait envahi la région. C’était à cette saison que Fromritt vit le jour. Il eut la chance d’avoir des parents nobles qui lui donnèrent une jeunesse des plus joyeuses et traditionnelles. Il était protégé par les grands murs blancs de la maison familiale, le monde extérieur se résumait au quartier riche de la capitale.
Les choses se corsèrent à son adolescence. Un peu plus rebelle que certains de ses camarades, il aimait vagabonder dans les ruelles après ses différents cours. Plutôt fort pour son âge, il arrivait parfois que des truands solitaires tentent de le voler, lui un fils de noble… Ça l’excitait qu’un combat s’enclenchait ainsi, il ne gagnait pas tout le temps mais cela avait le mérite d’endurcir son corps… Et d’énerver ses parents.
Après le rituel ayant fait de lui un adulte, Fromritt rencontra une jeune femme au caractère… Explosif. Contrairement à la norme au sein du peuple Wiehl, cette dernière n’aimait guère la vie toute tracée qui l’attendait. Plus dans l’incompréhension que la colère, son entourage avait, depuis toujours, essayait de l’orienter vers son destin monotone. Après tout, les femmes, en tout temps, étaient affairées aux affaires de la maison et cela fonctionnait parfaitement…
L’amour investit son cœur à la seconde où il l’avait vu. Le jeune homme était devenu plus sage à la suite de son passage à l’âge adulte. Cependant, il reconnut en elle une part de son enfance. Une touche nostalgique saupoudrée d’une beauté sans pareille et d’un caractère fort qui l’avait entièrement conquis. Il dut combattre le père de sa dulcinée pour prétendre pouvoir l’épouser. Son maniement de l’espadon était tel qu’il réussit à obtenir la main de sa belle qui lui en fit voir de toutes les couleurs.
Ayant comme titre celui de chevalier, le Wiehlenois était plus ou moins respecté et l’excentricité de sa femme semblait excusée. Bien que certaines tensions commençaient à naître ça et là, rien de bien contraignant vis-à-vis des relations importantes du couple n’apparaissait. Ils vécurent heureux, enfantèrent deux enfants, un garçon, l’aîné, puis une fille, la cadette. Ce bonheur au goût aussi sucré que les raisins Tulorien dura quatorze ans.
Un soir, où les cieux étaient noirs, couverts de nuages sombres, l’obscurité s’abattit sur la vie pourtant paisible du Verlorgot ; Fraulig Verlorgot ainsi que ses deux enfants furent retrouvés morts, assassinés. Une ruelle malfamée, un quartier prohibé, les marques d’une lutte acharnée… La main de la Mort avait emporté sa famille, sans raison apparente. Tant de questions, aucune réponse. Ce fut comme un éclair le foudroyant, déchirant son cœur et son âme.
Les proches de Fromritt tentèrent de l’aider, de le soutenir, de l’épauler… En vain. Au début, rageant contre ce destin funeste, il empoigna son espadon, puis remua ciel et terre pour trouver les commanditaires. Sans succès. Sa colère montait avec le temps, Tulorim la nourrissant tant par les souvenirs du chevalier que les rappels incessants de sa famille. Fatalement, la décision de partir s’imposa pour son bien et ceux d’autrui.
Un an passa, une année à refouler la souffrance et les larmes d’un homme brisé, détruit, anéanti. Son voyage rédempteur se termina aux portes de Yarthiss.
Il connut sans doute la pire journée de ces dernières années à Yarthiss. Exténué après des mois de voyage, à errer sans but, il cherchait juste à se reposer. Néanmoins, sa rencontre avec un dénommé Riosodi Cappelindro entama le début d'une spirale de merde dans ses mésaventures. Ils discutèrent normalement dans un premier temps, puis, l'espadonneur, dans un excès de bonté voulut aider l'inconnu à propos d'une histoire de bague même après avoir poliment refusé. ici commença l'horreur. Une fois arrivé à l'auberge de l'Au-delà, il y resta boire, manger et dormir et tenta de s'emparer d'un anneau persuadé de la légitimité de son acte. Rapidement, il comprit avoir été trompé par Riosodi, ce charlatan de malheur et dut quitter la taverne aussi rapidement qu'il en était rentré.
Furieux d'avoir été utilisé ainsi, il alla retrouver le manipulateur et, une fois de plus, se laissa embobiner dans une magouille. Allé livrer une lettre dans une salle de paris. Rien de grave ne pouvait se passer, avait-il été rassuré. Comble de l'ironie, celui qui devait réceptionner la lettre se servit de l'épéiste comme gladiateur contre un redoutard. Un combat intense et risqué, très risqué s'en suivit mais le grand brun l'emporta en se remémorant pourquoi il devait rester en vie : venger la mort injuste de sa famille. Ainsi, il regagna sa bourse, un anneau magique puis fut envoyé chez un guérisseur pour être rafistolé. Pas de chance, ce dernier voulait le tuer mais Cappelindro était déjà là, et il tua le guérisseur avant qu'il ne le fasse.
Après avoir réglé un certain quiproquo entre ces deux-là, Fromritt et Riosodi, alias Mange-Merde, durent s'enfuir illico presto hors de la ville pour atteindre un camp de gitans. Sur le chemin, ils passèrent à travers une foule vénérant Yuimen, une fête en son honneur, puis plus loin, le fieffé menteur chuta, assailli par les maux d'un poison. Tiraillé entre l'envie de fuir et son humanité, Fromritt fit son possible pour le sauver et y arriva, ayant au passage une sincère reconnaissance du coquin. Tout deux réussirent à rentrer au camps de voyageurs, mais une autre embrouille arriva : des hommes de main armés prêts à en découdre pour tuer et Cappelindro, et le Verlorgot. Une bataille faillit s'engager mais fort heureusement, grâce à une gitane, les voyageurs purent s'enfuir en toute sécurité.
À la suite de cela, Fromritt se remit peu à peu de ses blessures et vécu deux-trois aventures en compagnie des gitans, entre traque et chasse, entrainement au combat sur charrette en mouvement, défense contre des nuées d'insectes géants dans un marécage poisseux... Les compagnons arrivèrent à Tulorim, là où ils devaient trouver un navire pour partir en direction d'un nouveau monde. L'espadonneur voulait remettre de l'ordre dans ses pensées et s'échapper de ce monde-ci semblait être une bonne solution, mais une terrible nouvelle l'attendait à sa vie natale : Tulorim. Une chose qu'il n'aurait jamais pu imaginer."
Les choses se corsèrent à son adolescence. Un peu plus rebelle que certains de ses camarades, il aimait vagabonder dans les ruelles après ses différents cours. Plutôt fort pour son âge, il arrivait parfois que des truands solitaires tentent de le voler, lui un fils de noble… Ça l’excitait qu’un combat s’enclenchait ainsi, il ne gagnait pas tout le temps mais cela avait le mérite d’endurcir son corps… Et d’énerver ses parents.
Après le rituel ayant fait de lui un adulte, Fromritt rencontra une jeune femme au caractère… Explosif. Contrairement à la norme au sein du peuple Wiehl, cette dernière n’aimait guère la vie toute tracée qui l’attendait. Plus dans l’incompréhension que la colère, son entourage avait, depuis toujours, essayait de l’orienter vers son destin monotone. Après tout, les femmes, en tout temps, étaient affairées aux affaires de la maison et cela fonctionnait parfaitement…
L’amour investit son cœur à la seconde où il l’avait vu. Le jeune homme était devenu plus sage à la suite de son passage à l’âge adulte. Cependant, il reconnut en elle une part de son enfance. Une touche nostalgique saupoudrée d’une beauté sans pareille et d’un caractère fort qui l’avait entièrement conquis. Il dut combattre le père de sa dulcinée pour prétendre pouvoir l’épouser. Son maniement de l’espadon était tel qu’il réussit à obtenir la main de sa belle qui lui en fit voir de toutes les couleurs.
Ayant comme titre celui de chevalier, le Wiehlenois était plus ou moins respecté et l’excentricité de sa femme semblait excusée. Bien que certaines tensions commençaient à naître ça et là, rien de bien contraignant vis-à-vis des relations importantes du couple n’apparaissait. Ils vécurent heureux, enfantèrent deux enfants, un garçon, l’aîné, puis une fille, la cadette. Ce bonheur au goût aussi sucré que les raisins Tulorien dura quatorze ans.
Un soir, où les cieux étaient noirs, couverts de nuages sombres, l’obscurité s’abattit sur la vie pourtant paisible du Verlorgot ; Fraulig Verlorgot ainsi que ses deux enfants furent retrouvés morts, assassinés. Une ruelle malfamée, un quartier prohibé, les marques d’une lutte acharnée… La main de la Mort avait emporté sa famille, sans raison apparente. Tant de questions, aucune réponse. Ce fut comme un éclair le foudroyant, déchirant son cœur et son âme.
Les proches de Fromritt tentèrent de l’aider, de le soutenir, de l’épauler… En vain. Au début, rageant contre ce destin funeste, il empoigna son espadon, puis remua ciel et terre pour trouver les commanditaires. Sans succès. Sa colère montait avec le temps, Tulorim la nourrissant tant par les souvenirs du chevalier que les rappels incessants de sa famille. Fatalement, la décision de partir s’imposa pour son bien et ceux d’autrui.
Un an passa, une année à refouler la souffrance et les larmes d’un homme brisé, détruit, anéanti. Son voyage rédempteur se termina aux portes de Yarthiss.
Il connut sans doute la pire journée de ces dernières années à Yarthiss. Exténué après des mois de voyage, à errer sans but, il cherchait juste à se reposer. Néanmoins, sa rencontre avec un dénommé Riosodi Cappelindro entama le début d'une spirale de merde dans ses mésaventures. Ils discutèrent normalement dans un premier temps, puis, l'espadonneur, dans un excès de bonté voulut aider l'inconnu à propos d'une histoire de bague même après avoir poliment refusé. ici commença l'horreur. Une fois arrivé à l'auberge de l'Au-delà, il y resta boire, manger et dormir et tenta de s'emparer d'un anneau persuadé de la légitimité de son acte. Rapidement, il comprit avoir été trompé par Riosodi, ce charlatan de malheur et dut quitter la taverne aussi rapidement qu'il en était rentré.
Furieux d'avoir été utilisé ainsi, il alla retrouver le manipulateur et, une fois de plus, se laissa embobiner dans une magouille. Allé livrer une lettre dans une salle de paris. Rien de grave ne pouvait se passer, avait-il été rassuré. Comble de l'ironie, celui qui devait réceptionner la lettre se servit de l'épéiste comme gladiateur contre un redoutard. Un combat intense et risqué, très risqué s'en suivit mais le grand brun l'emporta en se remémorant pourquoi il devait rester en vie : venger la mort injuste de sa famille. Ainsi, il regagna sa bourse, un anneau magique puis fut envoyé chez un guérisseur pour être rafistolé. Pas de chance, ce dernier voulait le tuer mais Cappelindro était déjà là, et il tua le guérisseur avant qu'il ne le fasse.
Après avoir réglé un certain quiproquo entre ces deux-là, Fromritt et Riosodi, alias Mange-Merde, durent s'enfuir illico presto hors de la ville pour atteindre un camp de gitans. Sur le chemin, ils passèrent à travers une foule vénérant Yuimen, une fête en son honneur, puis plus loin, le fieffé menteur chuta, assailli par les maux d'un poison. Tiraillé entre l'envie de fuir et son humanité, Fromritt fit son possible pour le sauver et y arriva, ayant au passage une sincère reconnaissance du coquin. Tout deux réussirent à rentrer au camps de voyageurs, mais une autre embrouille arriva : des hommes de main armés prêts à en découdre pour tuer et Cappelindro, et le Verlorgot. Une bataille faillit s'engager mais fort heureusement, grâce à une gitane, les voyageurs purent s'enfuir en toute sécurité.
À la suite de cela, Fromritt se remit peu à peu de ses blessures et vécu deux-trois aventures en compagnie des gitans, entre traque et chasse, entrainement au combat sur charrette en mouvement, défense contre des nuées d'insectes géants dans un marécage poisseux... Les compagnons arrivèrent à Tulorim, là où ils devaient trouver un navire pour partir en direction d'un nouveau monde. L'espadonneur voulait remettre de l'ordre dans ses pensées et s'échapper de ce monde-ci semblait être une bonne solution, mais une terrible nouvelle l'attendait à sa vie natale : Tulorim. Une chose qu'il n'aurait jamais pu imaginer."
Croyances :
Fromritt était avant un croyant dans l'humanité des gens, avant l'existence des Dieux. Il y croyait, mais n'en priait aucun. Il respectait leur existence, sans pour autant se soumettre à leur culte. Aujourd'hui, il se dit qu'il a bien fait, vu les malheurs qu'il a subi. Il continu de ne pas les insulter, ça ne servirait à rien. Cependant, il ne peut pas croire qu'ils veulent le bien de l'humanité. Il y a des choses qui... Qui ne peuvent pas passer. Pourtant, il a bien perdu sa femme et ses enfants, du jour au lendemain, alors, des Dieux comme ça ne méritent pas ses prières. Jamais.
