Présentation
Humbert Helboldt
Âge : 42 ans
Race et ethnie : Humain (ascendance Hinïonne à 1/16)
Traits raciaux :
- Résistance au poison : Permet de minimiser les effets des poisons, et rend impossible la mort par le poison.
- Témérité : Par son caractère ou les épreuves qu'elle a vécues, la personne est plus résistante à la peur et n'hésitera pas à aller au devant du danger. (résistance à la peur magique)
Description physique et de la personnalité :
Avec une paire d'épaules larges, une forte carrure et une taille avoisinant le mètre quatre vingt-cinq, l'être qui se tient en face de vous a tout l'air d'un être humain. Cette impression est renforcée par ce visage carré, ce nez trop généreux pour être elfique et cette barbe enveloppant doucement le menton, coupée bien droite comme pour renforcer l'impression de rigueur qui se dégage de l'homme. Mais ses cheveux sont d'un blond cendré virant, selon les mèches, sur un blond platine bien trop typiques du peuple Hinïon, et restent coiffés en une tresse d'une dizaine de centimètres retombant dans le dos de ce qui semble bien être un Demi-Elfe. Enfin, aucune ride ne vient troubler ce visage mûr à qui il reste encore de nombreuses années à vivre.
Si l'on commence à discuter avec lui, il est aisé de se rendre compte qu'Helboldt a bénéficié d'une bonne, et même d'une excellente éducation. Souvent neutre à l'égard des autres, la rigidité de ses traits peut apparaître comme glaciale ou même cruelle, quand bien même l'absence d'expression ne signifie guère l'absence de sentiments. S'il est difficile à amadouer et souvent distant, Helboldt n'en reste pas moins un érudit doté d'un sens du devoir important. Sa loyauté n'a pour réserve que son jugement personnel et, au-delà des êtres, ce sont les connaissances qu'ils renferment en eux qui l'intéressent, ou les ouvrages qu'ils peuvent transporter avec eux. Féru de lecture, l'accumulation du savoir l'intéresse plus que tout autre chose au monde, sans doute. Ayant appris l'alchimie durant ses jeunes années, il s'agit d'un de ses domaines d'étude, ses connaissances y étant pointues.
Si l'on commence à discuter avec lui, il est aisé de se rendre compte qu'Helboldt a bénéficié d'une bonne, et même d'une excellente éducation. Souvent neutre à l'égard des autres, la rigidité de ses traits peut apparaître comme glaciale ou même cruelle, quand bien même l'absence d'expression ne signifie guère l'absence de sentiments. S'il est difficile à amadouer et souvent distant, Helboldt n'en reste pas moins un érudit doté d'un sens du devoir important. Sa loyauté n'a pour réserve que son jugement personnel et, au-delà des êtres, ce sont les connaissances qu'ils renferment en eux qui l'intéressent, ou les ouvrages qu'ils peuvent transporter avec eux. Féru de lecture, l'accumulation du savoir l'intéresse plus que tout autre chose au monde, sans doute. Ayant appris l'alchimie durant ses jeunes années, il s'agit d'un de ses domaines d'étude, ses connaissances y étant pointues.
Biographie générale :
Fils aîné et resté unique de la famille d'Helboldt, il fut destiné dès son plus jeune âge à devenir Comte à la suite de son père, unique héritier des domaines que sa famille possédait dans le Royaume de Kendra Kâr, à la bordure avec les Duchés. Ses parents se montrant soucieux de son éducation, il reçut dès l'âge de 4 ans un professeur particulier, lui permettant de se révéler un élève particulièrement doué et doté d'une mémoire exceptionnelle : ce qui poussa ses parents à l'envoyer dès ses neuf ans chez des professeurs spécialisés des matières qu'il se plaisait à étudier, que ce fût l'arithmétique, la géométrie et l'astronomie ou encore la musique, la rhétorique et la dialectique : mais il se prit d'une affection toute particulière pour l'alchimie. Pour ses quinze ans, il partit pour l'Ynorie où il resta deux ans, consacré à l'étude du pays ; il rentra chez lui pour repartir aussitôt au Royaume d'Anorfain, où il resta quatre ans de plus chez ses lointains cousins Hinïons.
Ce second voyage l'empêcha de voir sa famille sombrer. Une missive de sa mère l'informa, un mois après les faits, que son père avait été assassiné ; lorsqu'il fut revenu, sa famille était ruinée, les différents nobles de la région s'étant empressés de fondre sur les terres sans maître. Il récupéra quelques effets et partit avec sa mère à la capitale, où il parvint en moyennant ses services d'alchimiste amateur à survivre pendant quelques cinq années supplémentaires, après quoi sa mère, entièrement humaine, contracta une maladie proche de la lèpre et fut jetée hors de l'enceinte de la ville par les autorités. Bien que suivie par son fils, elle le fuit et mourut à peine quelques jours plus tard, autant de sa maladie, de son âge et du manque cruel de nourriture qu'elle s'infligeait. Helboldt revint à Kendra Kâr où il continua sa vie et essaya d'oublier le destin tragique de sa famille en se réfugiant dans l'étude et l'enseignement, parvenant petit à petit à se forger une réputation de professeur auprès des familles nobles de la cour. Si ses leçons furent dans un premier temps très sommaires et dispensées à des classes nombreuses, il obtint après quelques années un poste de professeur particulier dans l'une des familles nobles influentes de la ville.
Au fil des ans, il était renvoyé, les élèves devenant trop grands, soudainement bien plus intéressés par les armes ; embauché dans une autre famille, renvoyé à nouveau, celle-ci n'ayant plus les moyens de le payer – ou pour une autre raison quelconque... Aujourd'hui, il est à nouveau à la recherche d'un emploi, continuant à vendre quelques potions en attendant de trouver quelque chose de plus stable. Mais Kendra Kâr est grande et peuplée...
Ce second voyage l'empêcha de voir sa famille sombrer. Une missive de sa mère l'informa, un mois après les faits, que son père avait été assassiné ; lorsqu'il fut revenu, sa famille était ruinée, les différents nobles de la région s'étant empressés de fondre sur les terres sans maître. Il récupéra quelques effets et partit avec sa mère à la capitale, où il parvint en moyennant ses services d'alchimiste amateur à survivre pendant quelques cinq années supplémentaires, après quoi sa mère, entièrement humaine, contracta une maladie proche de la lèpre et fut jetée hors de l'enceinte de la ville par les autorités. Bien que suivie par son fils, elle le fuit et mourut à peine quelques jours plus tard, autant de sa maladie, de son âge et du manque cruel de nourriture qu'elle s'infligeait. Helboldt revint à Kendra Kâr où il continua sa vie et essaya d'oublier le destin tragique de sa famille en se réfugiant dans l'étude et l'enseignement, parvenant petit à petit à se forger une réputation de professeur auprès des familles nobles de la cour. Si ses leçons furent dans un premier temps très sommaires et dispensées à des classes nombreuses, il obtint après quelques années un poste de professeur particulier dans l'une des familles nobles influentes de la ville.
Au fil des ans, il était renvoyé, les élèves devenant trop grands, soudainement bien plus intéressés par les armes ; embauché dans une autre famille, renvoyé à nouveau, celle-ci n'ayant plus les moyens de le payer – ou pour une autre raison quelconque... Aujourd'hui, il est à nouveau à la recherche d'un emploi, continuant à vendre quelques potions en attendant de trouver quelque chose de plus stable. Mais Kendra Kâr est grande et peuplée...
Croyances :
Humbert Helboldt a une attitude des plus défiantes envers les divinités. Son destin autant que sa rigueur scientifique l'ont conduit à se méfier d'elles et de n'en adorer aucune. La guerre avec Oaxaca a contribué à renforcer ce sentiment : il voit la Reine Noire comme l'héritage laissé par les divins à Yuimen, et cela n'aide pas à les apprécier davantage.
